La Chaise dorée

Bévic

Description

Dans un pays fictif d’Afrique, le Gocon, une femme vient pour la première fois de remporter les élections présidentielles, et la nation semble être en bonne voie pour se sortir de la misère sociale et économique à laquelle l’avaient condamnée les excès du communisme. La présidente Marie-Pierre Sydoé est résolue à atteindre ses objectifs, mais son prédécesseur semble prêt à tout pour regagner le pouvoir. En alternant les vues d’ensemble et la subjectivité, le passé et le présent, Victor Béry peint d’un geste vif les grandes lignes d’un récit à la fois global et intime qui se déroule, comme un conte, dans une temporalité liquide et brumeuse au sein de laquelle tout semble pouvoir se passer.

Informations

• Publié par: publibook
• Nombre de lectures: 30
• EAN13: 9782748359336
• Langue: Français

Extrait

La Chaise dorée

Du même auteur

Le Rescapé de l’afric’enfer Editions Publibook, Roman, 2006 L’enracinement culturel dans l’œuvre de Guy Menga Editions Publibook, Recherche, 2006 La Légende de Diamoussolo ou Le fusil qui parle Editions Publibook, Roman, 2009

Bévic La Chaise dorée

Publibook

Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : [phone] IDDN.FR.010.0115121.000.R.P.2010.030.31500 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2010

Rambert dit qu’il avait encore réfléchi, qu’il continuait à croire ce qu’il croyait, mais que s’il partait, il aurait honte. Cela le gênerait pour aimer celle qu’il avait laissée. Mais Rieux se redressa et dit d’une voix ferme que cela était stupide et qu’il n’y avait pas de mal à préférer le bon- heur. — Oui, répondit Rambert, mais il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul. Camus. La Peste p.228