La Vengeance de Sarata
72 pages
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La Vengeance de Sarata , livre ebook

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Description

L’Homme, devenu son propre dieu en même temps qu'un loup pour l’Homme, dit ce qu’il ne fait pas et fait ce qu’il ne dit pas. Sarata, déçue par cette peur des adultes de la lumière, appuie sur le déclic du " Bado " contre tous les grands hypocrites de son chemin. Le masque et les notables sombrent dans le ridicule.



Elle rencontrera quelques victimes des bourreaux sociaux, dont tante Makalé. Cette dernière l’utilisera pour une vengeance utile puis l’orientera vers le lâcher-prise.

C’est le début d’une nouvelle aventure chez l’oncle Sam, en quête de pensées dévoratrices de l’échec. C’est là qu’elle rencontre une autre arme plus puissante à savoir le MPH.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 30 décembre 2021
Nombre de lectures 3
EAN13 9782414558247
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
Immeuble Le Cargo, 157 boulevard Mac Donald – 75019 Paris
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-55825-4

© Edilivre, 2022
Note d’intention :
La terre est en feu et dommage pas d’escaliers pour monter au ciel. Le commun des mortels est dépourvu d’ailes pour y accéder. Les seuls nantis à bord d’appareils sophistiqués et appropriés tentent le dépaysage dans des planètes comme Mars et Lune afin d’échapper à l’effet de serre. Malheureusement ils se heurtent à d’insurmontables obstacles dont le train de vie y afférant. Les habitants terrestres sont devenus homo homini lupus (l’homme est devenu un loup pour l’homme).
Du coup, le principe de sauve qui peut a battu le record. La nécessité s’impose et les innovations se multiplient. La majorité écrasante regarde le ciel pour voir la lune. Ceux qui ne voient que la boue sous les pieds ont désormais pour mission de tirer par la queue le diable. Chaque vivant use ses moyens de défenses pour intégrer le royaume des rescapés. Celui-ci constitue désormais un ilot de prospérité dans un océan de pauvreté ! Conséquence, la perpétuelle quête du double bonheur (le bonheur du bas-monde et celui de l’au-delà) se résume en une seule bataille plus préoccupante. Et puisqu’il s’agit de la montée au paradis et de la descente aux enfers, la quasi-totalité des habitants terrestres les yeux fermés opte pour l’épreuve la moins difficile et se laisse glisser sur la pente comme une pierre roulant du sommet vers le pied d’une colline !
Et à l’instar d’une ruée de criquets pèlerins, les humains se livrent partout aux controverses et à la course aveugle contre la montre pour un enrichissement à outrance. La vente de charme dans l’indignité, l’espièglerie, la tyrannie, le mensonge, le vol, le viol et autres fléaux dont la toxicomanie s’érigeant en véritable stimulant, ont pris d’assaut les humains à 90% sans la moindre pitié. L’infime minorité constituant le grain idéal espère jouir du bonheur éternel tant chanté dans les promesses prophétiques. Hélas ! Elle se voit condamnée à trouver l’aiguille dans un sac de foin pour échapper à la noyade.
Faute de sagesse et d’intrépidité, le bateau est sur le point de chavirer car le capitaine de bord au lieu de se préoccuper à ajuster le voilier s’entête à changer la direction du vent.
Ce qui ne ressemble qu’au mythe de Sisyphe ou le perpétuel recommencement !
A ma mère chérie Salématou Camara et à la mémoire de mon défunt père Feu Thierno Amadou Ly, grand érudit des sciences spirituelles.
Ceux qui malgré leurs précarités financières nous ont inculqué mes frères et moi des vertus qui en tout cas moi m’ont permis de faire de notre monde ce que je veux qu’il soit et cela dans toutes les circonstances.
Ces vertus sont entre autres l’art de traiter les autres avec dignité, l’amour inconditionnel du travail, de la persévérance, de la droiture, du control du tambour-major, de la patience et surtout de l’éduction de mes émotions.
Je préfère une œuvre d’utilité publique à un enfant déstabilisateur des droits civiques.
Remerciement :
Dans le monde, il n’y a que neuf à dix personnes de vraiment très méchantes et misérables.
Le fait est qu’elles se déplacent beaucoup et vous donnent l’impression que le ciel finira par vous tomber sur la tête dans un futur très proche. Si un jour vous tombez sur l’une d’entre elles, dites-lui qu’il n’y a que neuf personnes au plus dans le monde entier comme elle et que les gérer est aussi facile qu’affronter une toile d’araignée ! C’est une façon pour moi de signaler que vouloir ici dresser une liste de gens de bien à qui témoigner ma gratitude serait synonyme d’une restriction de ma sphère de réflexion. A réfléchir, je me rends compte que la nature me met dans une abondance tellement immense que je ne saurais ni ne pourrais citer toutes les composantes sociales grâce auxquelles la réalisation de cette œuvre a été possible.
Toutefois, je tiens à mettre un accent particulier sur l’apport d’un certain nombre de personnes comme mes parents biologiques, adoptifs, ma mère adoptive Aissatou sy, le peuple laborieux de ma Guinée profonde et toutes les personnes de bien à travers le monde qui m’ont servi de source d’inspiration, de motivation et bien sûr d’encouragement sans surtout, surtout et surtout oublier le staff Edilivre sans lequel cette œuvre serait restée dans les abysses de l’océan ! Par ailleurs, je ne pourrai guère tenter de fermer cette page sans surtout témoigner une gratitude illimitée à la Source Providentielle dont l’abandon entre deux clins d’œil n’expose purement et simplement qu’à un fiasco inimaginable.
Pour, finir, je demande humblement à tous les acteurs professionnels de la communication et de la rédaction de notre belle langue française de bien vouloir me pardonner pour ma décision à prendre la plume et tenter de pénétrer dans la cour de la grande maison magique des écrivains de près ou de loin.
Hélas, je ne suis maître que des mots entre mes lèvres ! Or il y’a environ 18.000 mots couchés sur ces pages. Oh, combien donc suis-je esclave pour les avoir lâchés ? Ce qui néanmoins me sert de consolation, c’est lorsque Denzel Washington citant Einstein déclare « Celui qui n’a jamais commis une erreur n’a jamais innové !’ » Je suis donc ici armé de ce courage indien juste parce qu’animé de ce sentiment d’innovation. Permettez tous alors que je commette des erreurs et apprendre de celles-là afin de mieux pouvoir vous emboiter les pas et participer simplement aux processus des miracles !
Sans Edilivre cette œuvre ne pouvait guère voir jour.
L’auteur
Continuer à croire que rien n’est et ne sera possible, c’est être têtu comme une mule.
Mon Mentor Jim Rohn dit et je le crois fermement, qu’il y’a toujours une demi-douzaine de choses qui sont censées faire quatre-vingts pour cent de différences.
Epilogue
Ne jugeons jamais un homme avant la fin de ses jours. Le bonheur est individuel et non collectif. A chacun son jour et à chaque jour ses polémiques !
Les brindilles utilisées par l’oiseau pour la confection de son nid sont certes futiles à nos yeux. Cependant pour lui c’est le trésor aussi précieux ou voire plus précieux qu’une œuvre d’art pittoresque comme le Tableau de Picasso !
Nous ne sommes point dans un monde idéal. Il nous incombe donc chacun de se pencher à l’améliorer sans surtout transgresser ! Car il peut bien pleuvoir à Conakry sans qu’aucune goutte ne tombe à Coyah. Mais c’est seulement en s’armant de patience et surtout de foi que l’on parvient à comprendre que Dieu parfois nous emporte dans des eaux troubles non pour nous noyer mais pour nous purifier. Respecter alors ses engagements pourrait créer une possible loyauté.
Sachons surtout qu’en rêvant à la richesse, on ne saurait devenir riche. De même l’appétit ne vient qu’en mangeant ! Tous ceux qui ont qui ont écrit leurs histoires avec de l’encre d’or et indélébile, se sont baignés dans la marre de la conscience et ont ensuite étudié sans relâche avant de passer à l’action ! Certes, on ne gagne pas forcément matériellement tous les jours mais on devrait acquérir de la sagesse chaque minute écoulée si l’on accepte de considérer tout un chacun comme une source d’inspiration !
Maya Angelou disait ‘On ne peut guère avoir tout ce que l’on achète mais on ne peut rien avoir sans payer le prix’ Ne voulait-elle pas dire que vivre aux charités ne pourrait que nuire à la réputation ?
Que tout le monde se noie alors jusqu’au cou et ose braver l’enfer sur les chemins épineux et rocailleux de la liberté pour non seulement profiter pleinement de ce bas monde mais aussi et surtout provisionner pour le futur où existe le bonheur incommensurable et éternel !
Tant que ce message reste mal assimilé, il y’aurait plus de consommateurs que de producteurs et tous nos indénombrables démons couverts par l’expression destin , se manifesteront sous diverses formes à cause de la lâcheté de nos repentirs dans l’intention de dévorer le peu de ressource à notre portée et faire de chaque vivant un fugitif sur des culs de sac à la quête d’une éventuelle terre d’asile appelée par la communauté anglophone, ‘ No man’s Land’ qui en réalité n’existe nulle part.
Et Nous voilà tous exposés au mythe de Sisyphe, le cycle de répétition ou le perpétuel recommencement !
Vivez comme si vous devriez mourir dans les minutes qui suivent ; apprenez comme si vous étiez immortel ; agissez comme s’il vous était impossible d’échouer et rappelez-vous enfin que pour des raisons inconnues la réussite arrive généralement de son autorité privée tandis que l’échec quant à lui arrive en public.

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