Frère Tick et l Ordre du Nouveau Monde
40 pages
Français

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Frère Tick et l'Ordre du Nouveau Monde , livre ebook

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Description

Frère Tick et l'Ordre du Nouveau Monde
Yobuhl
Roman de 164 000 caractères, 29 000 mots, 136 pages en équivalent papier.
Alors que le Royaume de Cranfe sort de longues années de guerre, l’Ordre du Nouveau Monde confie une mission des plus importantes à frère Tick : sauver le trésor. Il va vivre de nombreuses aventures, dans tous les sens du terme, qui vont être autant d'embuches à surmonter. Entre découvertes, nouvelles expériences et contretemps, frère Tick réussira-t-il à arriver à bout de sa mission ?



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Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 18 octobre 2019
Nombre de lectures 0
EAN13 9791029403781
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Frère Tick
et l’Ordre du Nouveau Monde
 
Yobuhl
 
 
Glossaire
Frère Tick et l’Ordre du Nouveau Monde
 
 
 
 
Glossaire
 
Lieux  :
Cranfe  : Pays au centre de l’Epoure. Il compte de nombreux paysages variés et la population a prêté allégeance au Prince Philibert de Lu, car il a su ramener l’espoir auprès de ses contemporains.
Elitai  : Pays limitrophe de la Cranfe, et isolé du monde sur les trois quarts de ses côtes par la mer Entrademirée.
Sanple  : L’un des ports d’Elitai
Mallegnae  : Pays limitrophe de la Cranfe, reliée par une montagne au nord-est du royaume.
Epoure  : Rassemblement de pays, dont la Cranfe, L’Elitai et la Mallegnae, pour tenter de garder la paix dans ce monde encore fragile.
 
Personnages  :
Le roi Mage  : monarque défunt de Mallegnae
Le roi Kalli  : monarque d’un royaume au fin fond du monde
Le roi Armi Berreta  : monarque du royaume d’Elitai
 
Le Prince Philibert de Lu  : nouveau monarque de Cranfe après la guerre de mille ans, qui déchira la planète.
Le Prince Emanuele Berretta  : prince d’Elitai, fils du roi Armi Berretta
 
Roman Cook  : capitaine de la garde du Prince de Lu
Jacquet Vollkornbrot  : grand argentier de la Couronne de Canfre
Josselin d’Aucy  : conseiller et vice-chancelier de la Couronne de Canfre
Colombo Bahadourian  : grand inquisiteur, originaire des pays arides du sud
Fleuri de Saint Hubert  : grand guide de l’Ordre du Nouveau Monde
C. Hervé Soignon  : l’un des plus grands banquiers de Cranfe, et membre de l’Ordre du Nouveau Monde
Marie  : Jouvencelle, servante du Prince de Lu
Antoine Gervais  : secrétaire et trésorier du l’Ordre du Nouveau Monde
Franck Carasso  : prévôt des marchands de Canfre, second dignitaire de l’Ordre du Nouveau Monde
 
Frère Tick  : moine aux formes exprimant sa gourmandise
Frère Tack  : moine physiquement opposé à frère Tick
Frère Jacques  : moine supérieur d’une abbaye perdue dans la montagne
Frère Igor  : moine de l’abbaye gérée par frère Jacques
Frère Grichka  : moine de l’abbaye gérée par frère Jacques
 
Sofia Poltroné  : noble de la cour d’Elitai, qui soutient l’Ordre du nouveau Monde
Mario Poltroné  : époux de Sofia Poltroné, propriétaire du domaine viticole vers Sanple
Napoleone Poltroné  : fils du couple Poltroné
 
Alessandro  : marin sur un navire d’Elitai
Franco  : jeune homme kidnappé par l’équipe d’un navire d’Elitai
 
Aubert  : paysan pas très loin de la frontière entre le Cranfe et l’Elitai
Yvain  : fils d’Aubert
Edmond  : ami d’enfance d’Aubert
Monsieur d’Entremont  : maître de ferme d’une soixantaine d’années
 
 
 
 
Frère Tick et l’Ordre du Nouveau Monde
 
 
Son Altesse le prince Philibert de Lu, monarque de Cranfe, vient de donner un coup de bâton sur le gong suspendu noir, qui lui a été offert par le roi de Kalli quelques années auparavant. S’agissant d’un cadeau royal, ce gong est parfaitement circulaire et les cordes qui le tiennent suspendus sont des liens de soie tissées. Au centre du disque irréprochable, une protubérance en forme de bol renversé en or massif, donne du relief à cet instrument de musique qui a traversé une bonne partie des terres connues pour arriver ici et orner cette chambre princière. Même le bâton sort de l’ordinaire puisque la partie haute, destinée à percuter le gong, est recouverte de cuir et décorée de tissages en laines de cachemire, ainsi que des pierres précieuses tout le long du manche. Étant plus grand d’une tête au moins par rapport à la moyenne de ses contemporains, un visage tendre et carré à la fois encadré de cheveux châtains blonds, légèrement ondulés, le Prince a l’allure d’un dieu de la beauté masculine. Large d’épaules, musclé comme un sportif de haut niveau, cet homme inspire non seulement le respect, mais aussi la crainte, car à aucun moment il ne laisse transparaître ses émotions, telle une statue de marbre. Bon nombre des gens de sa cour lui envient son physique et ont quelques pensées salasses à son égard, qu’il s’agisse d’hommes ou de femmes.
Sa tenue vestimentaire, liée à l’époque, va légèrement en contradiction avec son physique imposant et solide. En effet en ce début de Réviviscence, nous entrons dans l’époque dite « moderne ». La Réviviscence qui fait suite à de longues guerres entre les peuples de toute la planète, met fin à cette période de barbarie et d’incivilité, et change la façon de vivre et de penser de chaque être humain tout autour du monde, mais davantage pour l’homme vivant en Cranfe, ou plus généralement encore en Epoure. Le costume masculin, reflète, lui aussi ces changements, et le Prince lui-même se laisse influencer par la mode venue d’Elitai qui lui donne élégance, luxe et raffinement dans des étoffes plus légères et colorées qui rompent avec la relative austérité qui prévalait jusqu’alors. Les anciens ont du mal à accepter ce genre de tenues vestimentaires, car le corps est plus dénudé, et surtout il n’y a plus autant d’austérité et de rigueur dans le visuel comme l’imposaient les sombres tenues d’antan.
En cet été indien, le Prince porte un simple pourpoint de lin blanc, fluide et léger, et est chaussé de cuir fin avec pour seul indice qui prouve qu’il s’agit là d’un des plus puissants monarques de la planète est la fleur d’étoile d’argent en or massif qu’il porte autour de son cou musclé et massif, suspendu à une chaîne en maille d’or. Dans un coin de la chambre se trouve un jeune homme de couleur qui semble être un peu perdu et qui affiche un air gauche, regarde le Prince avec attention. Voyant qu’il ne comprend pas trop ce qu'il doit faire, le Prince invite le bel éphèbe à se rapprocher du lit princier, et pendant que celui-ci se déplace d’un pas hésitant, comme s’il était mené à l’abattoir, le Prince enlève la pièce de lin qu’il porte et la jette par terre. Tout en fixant le jeune homme avec un sourire carnassier, le Prince pose sa main sur la bosse de son entrejambe qui semble être plus grosse que celle que le jeune serviteur possède et il commence à se caresser en disant :
— Déshabille-toi !
Comprenant tout de suite où il voulait en venir, un frisson de peur et de plaisir parcourt le corps du serviteur, qui ne cache plus sa nervosité et son excitation mêlées. À ce moment-là, il sentit son pénis commencer à durcir. Apercevant son début d’érection, le Prince se lève en continuant de se caresser et lui ordonne :
— Retourne-toi et va face au mur.
Le beau jeune homme, soumis, s’exécute en laissant tomber à ses pieds ce qui lui sert de pourpoint, un pauvre morceau de tissu qui ne semble plus être de toute jeunesse, et ne gardant qu’une sorte de grande culotte trouée de-ci de-là. Ce sont les yeux regardant le mur, que le bel éphèbe presse le Prince venir derrière lui. Sa respiration accélère lorsqu’il sent les mains du Souverain qui, passées sous le tissu abimé, caressent ses fesses nues et son sexe tendu tel un arc, sous ce qui devait être il y a quelques années, un pantalon d'armée. Les doigts princiers dansent sur son fessier et se mettent à chatouiller l’anus ainsi offert.
— Tu as un cul super excitant, j'ai hâte d'y glisser ma queue et te défoncer, mais avant tu vas bien me sucer pour quelle glisse bien dans ton beau p'tit cul.
Le jeune soumis, se retourne, s'accroupit devant lui, en retirant son propre « pantalon ». La queue souveraine est bien droite, bien dure, une forme idéale et surtout une longueur impressionnante. Elle fait au moins vingt et un centimètres. L’éphèbe lèche alors avec douceur et une certaine maîtrise le gland qui sort du prépuce tout en caressant les couilles de son Prince. Sentant son excitation bien présente, il commence un mouvement de va-et-vient buccal sur sa queue. La chaleur de sa bouche qui monte et descend sur le pieu princier, fait gémir Son Altesse. Plus il gémit et plus l’homme à ses genoux le pompe avec ardeur et envie. Sans en avoir eu l’autorisation, le passif se masturbe pendant que sa bouche, affamée et totalement offerte, dévore le sexe qui lui est donné, sans oublier de s’occuper, manuellement et parfois avec la langue des bourses de la Principauté. Le Prince, plus que très excité, lui saisit les épaules pour le relever et d'un coup sec, le repousse sur le sol, sans ménagement. Du coup le jeune black, se retrouve par terre, à quatre pattes. En un éclair, tombant à genoux derrière lui, le Souverain lui écarte bien les cuisses et lui bouffe la rondelle avec délectation. Sa langue titille l’anus rose du beau serviteur, et parfois ses dents mordillent le petit trou pour le détendre. Et sans perdre plus de temps, mais avec une certaine lenteur, certainement pour sentir et vivre pleinement la situation. Avec une grande maîtrise malgré tout, mais sans véritable préparation, il enfonce sa grosse queue dans l’anus du jeune homme, et s’y introduit dans un mouvement unique et puissant, jusqu’à ce que ses couilles viennent au contact du fessier noir. Il la pousse bien au fond dans un déplacement maîtrisé et volontaire. Cela fait mal au soumis offert, car il n’avait jusque-là jamais eu l’occasion d’offrir son orifice à qui conque. Le Prince aime sentir le boyau serré autour de son pieu, et c’est le sourire aux lèvres qu’il commence des va-et-vient de plus en plus vigoureux. Petit à petit la douleur de sentir le glaive souverain aller et venir en lui, se transforme en une jouissance indescriptible qui progressivement envahit tout l’être du beau passif. De sentir et d'entendre le bruit de ses couilles qui lui frappent les fesses, le rende complètement fou. C‘est un duo de puissants gémissements du Prince et de son jouet du moment qui se mêlent l'un à l'autre. Après une bonne période, le Souverain le fait se coucher sur le dos, sur une sorte de bureau et le pénètre de nouveau, mais avec mille fois plus de puissance et de violence. Le jeune esclave sexuel peut voir le plaisir de son Souverain, son excitation sur son visage. De plus en plus de gouttes de sueur perlent sur le front du Prince. Le jeune black saisit alors sa

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