La loi des deux, Tome 2 : L apprenti contre attaque
91 pages
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Description

La loi des deux, Tome 2 : L'apprenti contre-attaque
Jordan Béranger
Roman de 329 000 caractères, 59 000 mots. 220 pages équivalent papier (moyenne des pages livres Textes Gais).
Filipe est devenu étudiant en architecture. Nathan, son meilleur pote, l'a naturellement suivi.
Il file le parfait amour avec Axel qu'il a su conquérir grâce à sa détermination. Un amour singulier, caché et secret que son copain lui interdit de révéler à quiconque.
Face à l'insistance de Filipe, Axel accepte de manière inattendue de mettre Nathan dans la confidence. Mais pour cela, le Maître lui exige de payer le prix fort...
Alors que l'été s'annonce plus mouvementé que jamais, les deux amis découvrent par accident le côté obscur de David et Damien, les frères jumeaux de Filipe. Ébranlé par cette révélation qu'il vit comme une véritable trahison, notre apprenti n'a pas d'autre choix que de prendre le pouvoir... et de contre-attaquer en planifiant une vengeance aussi terrible qu'excitante.


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Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 12 mai 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9791029402067
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

La loi des deux
 
Tome 2 : L’apprenti contre-attaque
 
 
Jordan Béranger
 
 
 
 
– 1 –
 
 
L’été arrivait à grands pas. Ma première année en école d’architecture s’était déroulée sans encombre et j’avais validé tous mes partiels avec une avance confortable. Nathan, mon meilleur ami, avait finalement décidé de me suivre. Son choix avait davantage été dicté par son incapacité à se séparer de moi que par une motivation réelle pour la conception de bâtiments. Selon toute logique, il avait un certain nombre de matières au repêchage et risquait d’être condamné au redoublement.
 
Dans quelques jours, Axel et moi allions fêter notre premier anniversaire. Un an que nous sortions ensemble en le cachant à notre entourage. Mes parents ignoraient tout de notre relation. Mes frères avaient des soupçons qu’ils n’avaient a priori pas cherché à confirmer. Nathan savait. Je ne lui en avais jamais touché le moindre mot, mais ses sous-entendus et allusions ne laissaient planer aucun doute quant à ses certitudes. Ce qu’il ne savait pas en revanche, c’est que j’étais l’esclave sexuel d’Axel. Sa chienne qu’il avait dressée méticuleusement pendant de longues semaines et qui lui obéissait désormais au doigt et à l’œil. La plupart du temps en tout cas. Une fois sur cinq, à peu près, nous inversions les rôles et je prenais alors le contrôle de notre couple en faisait subir à mon copain les châtiments qu’il m’avait fait endurer les fois précédentes. Nous avions signé un avenant au contrat qui nous liait mutuellement. La nouvelle clause, la plus importante, insistait notamment sur le fait que nous avions le droit de nous embrasser et de faire preuve de tendresse l’un envers l’autre comme n’importe quel couple d’amoureux. C’est ainsi que nous étions arrivés au point où Axel pouvait me faire subir les pires humiliations en me baisant pendant la nuit et me faire l’amour avec sensualité et tendresse au réveil le lendemain.
Axel avait cette extraordinaire capacité de me faire sentir vivant. Je l’aimais autant qu’il m’aimait. Et j’avais envie de crier cet amour à la face du monde.
 
— Je veux tout dire à Nathan. Je n’en peux plus de lui cacher la vérité. Et puis j’ai besoin d’en parler à quelqu’un.
— Tu n’en as pas le droit. Le contrat te l’interdit.
— C’est bien la raison pour laquelle je te demande l’autorisation.
— C’est non, Filipe. N’insiste pas.
— Tu n’es pas heureux avec moi ? Tu n’as pas envie de le dire à tout le monde.
— Si. Parfois j’en ai envie. Mais ensuite je me ravise en me disant que notre relation est parfaite comme elle est.
— Clandestine ?
— Qualifie-la comme tu veux, mais elle me convient sous cette forme. Et je t’ai autorisé à te branler une fois par mois avec Nathan. Je n’y étais pas obligé, je te signale.
— Monsieur est trop bon.
— Écoute, ma petite salope. Je ne vais pas me répéter. C’est non. Maintenant tu vas te taire sinon je vais être obligé de te punir. Et remémore-toi la dernière fessée que je t’ai administrée. Tu t’en souviens ?
— Oui, Maître. Je m’en souviens.
— Pendant combien de temps tu as eu du mal à rester assis sur une chaise sans te tortiller.
— Deux jours, Maître.
— Deux jours ! Exactement ! Alors je pense que la conversation est close.
— Oui, Maître, elle l’est.
— Parfait ! Alors maintenant tu passes sous le drap et tu me suces.
J’ai pris une profonde inspiration comme si j’allais plonger dans l’océan pour battre le record du monde d’apnée. La queue d’Axel était déjà bien raide. Je l’ai aussitôt léchée avant de la décalotter et d’engouffrer son gland turgescent dans ma bouche. Je me suis installé à la perpendiculaire de son corps pour qu’il me palpe les fesses pendant que je lui taillais la pipe exigée. Il a léché son majeur avec lequel il a tout d’abord caressé mon trou. Puis il a exercé une légère pression et me l’a enfoncé, m’arrachant un gémissement de plaisir. Quand il sentirait sa sève monter, il m’ordonnerait d’arrêter de le pomper et m’obligerait à me mettre à quatre pattes pour m’enculer d’un coup sec. C’était le déroulement logique de nos ébats. J’ignorais cependant les agréments qu’il ajouterait. Axel n’était pas avare de surprises et trouvait toujours quelque chose de nouveau pour me surprendre ou me montrer qu’il était mon maître.
 
Alors que j’enfonçais sa queue au fond de ma gorge en contrôlant de mon mieux le réflexe de vomissement qu’un engin de son calibre provoquait naturellement, je n’acceptais toujours pas qu’Axel se cache derrière le contrat pour m’interdire de tout révéler à Nathan. Les représailles si je trahissais notre accord étaient gravées dans le marbre : Axel avait en sa possession une collection complète de photos et de vidéos de moi nu, certaines prises en situation d’humiliation extrême. Il serait alors libre de les diffuser à sa guise. Je savais pourtant qu’il ne le ferait jamais. C’est la raison pour laquelle je lui faisais une confiance aveugle.
Je devais trouver un stratagème pour l’amener à me donner l’autorisation que j’espérais. Mais lequel ? J’ai fait le tour du sujet pour en arriver à la conclusion qu’il devait m’accorder sa bénédiction contraint et forcé. Alors que je venais d’élaborer un stratagème infaillible, Axel m’a attrapé par les cheveux :
— Maintenant, arrête. Mets-toi en position de soumission.
J’ai obéi à ses instructions. Je me suis mis à quatre pattes sur le lit, pieds joints, genoux écartés, cambré à la perfection pour lui offrir mon cul. Je l’ai entendu cracher sur sa bite alors qu’il se positionnait derrière moi. Et j’ai tout de suite compris que j’allais prendre cher.
 
 
 
– 2 –
 
 
J'ai enfourché mon vélo pour me rendre chez Nathan qui avait sollicité mon aide pour ses révisions. Largué en structure des bâtiments, il redoutait de se planter si je ne lui expliquais pas les concepts de cette matière à fort coefficient. J'ai sonné et patienté quelques secondes devant la porte d'entrée avant que Nathan vienne m'ouvrir dans le plus simple appareil :
— C'est comme ça que tu travailles ? lui ai-je demandé avant même de lui dire bonjour.
— Que tu le veuilles ou non, j'étais vraiment en train de réviser. Je suis seul chez moi et avec cette chaleur, je ne vais certainement pas m'encombrer d'un short et d'un tee-shirt.
Il s'est approché de moi et m'a fait une bise sur la joue.
— Bonjour, quand même, a-t-il repris.
— Ouais, bonjour Nath, lui ai-je répondu en lui faisant une bise à mon tour. Donc maintenant que je suis là, tu vas pouvoir t'habiller pour qu'on se mette au travail.
— Ou tu vas pouvoir te foutre à poil comme on a l'habitude de le faire, pour qu'on se mette au travail.
J'ai poussé un soupir d'exaspération :
— Mais putain, Nathan. Tu es au repêchage. Tu sais ce que ça veut dire ? C'est sérieux ! Si je me fous à poil, tu sais très bien ce qu'il va se passer : dans moins de quinze minutes on se retrouve devant un film porno à se taper une queue.
— J'ai bien remarqué que tu prenais de moins en moins de plaisir à faire ça avec moi. Si ça te dérange je ne t’embêterai plus.
— Ce n'est pas que ça me dérange, mais je ne veux pas me retrouver seul en deuxième année parce que tu n'auras pas réussi tes examens. Tu comprends ?
— Tu es sûr que ce n'est pas une excuse ? Parce que depuis bientôt un an on ne se branle ensemble qu'une fois par mois. Et comme par hasard, c'est à date fixe. Le...
— 15, ai je poursuivi en lui coupant la parole.
— Exactement. Le 15. Aujourd'hui nous sommes le 10 et je sais très bien que tu vas trouver tous les prétextes possibles et imaginables pour éviter de te masturber avec moi. Et comme par hasard, dans cinq jours, c'est toi qui vas me proposer une séance de branlette commune. Tu as quoi à répondre à ça ?
— Que tu pourrais peut-être commencer par me laisser entrer ?
— Et en plus tu changes de sujet... Allez, montons dans ma chambre.
 
Nathan m'a précédé en grimpant les escaliers. J'avais son petit cul qui se dandinait juste devant mes yeux et, sans doute pour la toute première fois depuis que je le connaissais, des pensées hautement sexuelles à son égard m'ont traversé l'esprit. Je me suis imaginé en train de le baiser sauvagement et cette simple perspective a commencé à me donner un début d'érection qui n'échapperait pas à mon ami s'il venait à se retourner. J'ai fermé les yeux pour me concentrer et penser à autre chose en réfléchissant à ce que je pourrais bien dire à Nathan qui ne lâcherait pas le morceau cette fois. Il avait relevé la date du 15 que j'avais choisie pour me masturber avec lui. Date que j'attendais chaque mois avec impatience, car, contrairement à ce qu'il l'avait laissé entendre, je prenais toujours un plaisir inouï à faire des bêtises en sa compagnie. Arrivés dans sa chambre, il s'est assis derrière son bureau et m'a désigné du doigt une chaise que j'ai attrapée pour m’installer à côté de lui. Il relisait déjà ses notes en faisant semblant de se concentrer. J'ai posé ma main sur son épaule :
— Nathan, regarde-moi.
Il a relevé la tête en contenant ses émotions. Son échec aux partiels et mon éloignement tout au long de l'année l'avaient fragilisé psychologiquement. Je sentais qu'il était au bord de l'effondrement.
— Tu ne vas peut-être pas me croire, mais tu es une des personnes les plus importantes dans ma vie. Contrairement à ce que tu peux le penser, je ne cherche pas à t'éviter. J'attends même avec impatience le 15 de chaque mois pour te proposer de te branler avec moi. En venant ici, je me disais même que je n'avais plus que cinq jours à attendre avant qu'on s'amuse de nouveau ensemble.
— Mais si c'est important pour toi, pourquoi te priver le reste du temps ? Pourquoi tu m'évites ? C'est à cause d'Axel, c'est ça ?
— Je ne peux rien te dire, Nath.
— Tu ne peux rien me dire ? Et après tu vas essayer de me faire croire que je suis ton meilleur ami et la personne qui compte le plus au monde pour toi ?
— Oui parce que tu l'es vraiment. Je voudrais juste que tu ne me poses pas de question et que tu acceptes cette fréquence mensuelle en attend

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