Les Secrets cachés d Eros - Tome 1
74 pages
Français

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Les Secrets cachés d'Eros - Tome 1 , livre ebook

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Description

Entre sentiments et fantasmes, en passant par ses pulsions exprimées, Eros vous livre une partie de ses expériences intimes.

Que vous soyez accro au sexe ou bercé par de torrides fantasmes, nul doute que ce premier ouvrage fera écho en vous et saura vous apporter ce que vous recherchez.

Que ce soit par curiosité ou parce que vous avez vécu des choses similaires, vous y trouverez des récits relatés avec toute la sincérité et la générosité de l’auteur.

Lire Les Secrets cachés d'Eros, c’est comme partager un moment de confidences intimes avec un ami de longue date.
Et si, lorsque vous déposerez ce livre, certains tabous sont brisés et/ou que l’inspiration de nouvelles expériences résonne en vous, l’auteur sera parvenu à atteindre son but.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 31 décembre 2015
Nombre de lectures 6
EAN13 9782334002394
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-00237-0

© Edilivre, 2016
Introduction
Pourquoi ce Pseudo ?
Tout d’abord, je préfère, comme beaucoup, garder un certain anonymat pour éviter d’en choquer quelques-uns…
Eros, dans la mythologie grecque, est le dieu de l’amour et du pouvoir créateur. Non pas que je me considère comme Dieu, bien au contraire !
Pourquoi ce livre ?
J’ai écrit ce livre pour éteindre certains tabous et que mes lecteurs se reconnaissent dans mes histoires et puissent s’identifier et se dire simplement : « Moi aussi, je peux le faire ! ». Cela vous donnera des idées sur les réalités d’une vie sexuelle épanouie.
Car il y a un piège à éviter dans les relations conjugales, c’est la monotonie. Dans la vie, rien n’est jamais acquis et pouvoir s’exprimer ouvertement sur ses sentiments et ses pulsions sexuelles, sont deux points très importants.
Je vous souhaite une bonne lecture, prenez votre pied !!!
Karen, l’étudiante
Karen était en service pour un mois chez nous. Au boulot, ils engageaient régulièrement des étudiants pour les grandes vacances.
Juillet était un mois très chaud… une chaleur étouffante, laissant les femmes se vêtir de robes fleuries, montrant leurs plus belles courbes à qui voulait les voir. Sachant que nous passons la majorité de notre temps au boulot, qui n’a jamais succombé aux charmes de collègues jeunes et sexy ?
Une sorte d’escapade pour la plupart, l’assurance pour leur égo et leur bien-être de savoir si elles plaisaient toujours.
Agée d’à peine 19 ans, Karen avait une peau déjà charmée par les rayons du soleil, une chevelure éclaircie par ces derniers, un mannequin à ses heures perdues.
Je ne vais pas mentir, elle me faisait craquer de par ses formes très respectables, pratiquant du fitness pour maintenir sa forme et… ses formes !
J’étais célibataire à cette époque, c’était après avoir rompu avec la secrétaire de direction de mon boulot.
Et oui…
Je dois avouer que c’était mon terrain de jeu. Il ne faut pas se leurrer ; je n’avais qu’à me pencher pour ramasser ces petites coquines en manque de tendresse, de sexe ou d’amour. Bien sûr, il arrivait des fois que les sentiments prenaient le dessus sur le reste.
Dans la vie, il y a des évènements que l’on ne peut contrôler.
Evidemment, Anne, la secrétaire, se manifestait toujours par des regards de jalousie quand mes yeux tombaient sous le charme d’une autre femme, ou lorsque mes paroles titillaient ses oreilles par des conversations à faire rougir une nonne.
Un matin, je retrouvais par hasard Karen à la machine à café. C’était un lundi, je ne peux pas oublier ce jour. Vous comprendrez aisément pourquoi à la fin de l’histoire. Je la voyais triste, le regard perdu, une mine qui en disait long sur son week-end.
Je lui proposais de descendre dans les sous-sols pour griller une clope ou deux et, par la même occasion, m’enquérir de la raison de ce joli minois en perdition.
Elle m’expliquait sans trop tarder qu’elle s’était disputée avec son copain, un jaloux maladif qui la suivait lors de ses sorties avec ses amies.
Quoi de plus normal à 19 ans de vouloir s’amuser entre copines ?
J’étais triste pour elle…
Karen continuait à se confier, laissant passer quelques cigarettes et une heure de ce lundi matin. Mais malheureusement, nous devions justifier notre salaire.
Ne voulant pas la laisser dans sa souffrance, je lui proposais de m’accompagner pendant l’heure de table afin de partager un repas et un moment de détente. Elle était au deuxième étage, moi au premier.
Elle portait un jeans très moulant, un chemisier très ouvert sur sa poitrine dont je bavais dessus, voulant m’en occuper avec toute l’attention que cela pouvait mériter.
Lors des vacances d’été, les couloirs sont déserts, c’est le calme plat, le téléphone reste silencieux. Je n’avais pas du tout envie de bosser mais plutôt de rejoindre l’étudiante dans son bureau.
La savoir toute seule à l’étage, à se morfondre sur son week-end merdique, alors que je n’avais en tête que de pouvoir la consoler à ma manière, la réconforter par une excitation purement sexuelle.
Je me décidais à la rejoindre pour aller manger, laissant toute cette administration en pause.
Je cherchais à la séduire, certainement pour lui ouvrir les yeux et lui faire comprendre que je n’étais pas indifférent à ses charmes.
A ma grande surprise, quand je suis rentré dans son bureau, elle était au téléphone.
Assise sur son bureau, le chemisier toujours aussi provocateur, la dentelle de son soutien-gorge me donnait des sueurs froides et une chaleur dans le pantalon.
Trop tard pour cacher quoique ce soit, elle avait compris que je bandais.
Fixant mon pantalon, elle disait à sa copine qu’elle quittait son mec et qu’elle devait la laisser car elle devait aller manger avec un collègue, très charmant. Je me mettais à rougir de ce compliment, quand elle raccrochait le téléphone.
Elle descendait du bureau, se rapprochant de moi, le regard coquin. Aucun mot ne filtrait, je sentais sa main sur mon érection.
J’étais un peu gêné de cette franchise…
Elle n’était pas farouche la Karen ! Certainement attisée par un sentiment de vengeance, mais moi, cela m’allait très bien.
Elle commençait par me caresser, sa bouche se rapprochait de la mienne, s’en suivait un long baiser, doux, rempli de tendresse. Je ne pouvais retenir mes mains et les laissais se balader sur ses fesses, bien fermes. Dans une tornade qui m’emportait à me poser sur le bureau, me caressant toujours le sexe qui ne demandait qu’à sortir, elle se mettait à genou devant moi, me fixant toujours dans les yeux, n’esquissant aucun mot.
Elle me suçait sans demander son reste, saisissant ma grosse verge dans sa bouche, touchant ses lèvres pulpeuses, excitant mon gland avec sa longue langue, sentant son piercing me titiller.
Tout cela provoquant chez moi des sensations de plaisirs immesurables, je me laissais faire. Au revoir dîner, place au dessert !
Elle avait une manière bien à elle d’exercer la fellation ; des va-et-vient de plus en plus rapides, tantôt masqués par une douceur, lente, faisant grossir encore un peu plus ma verge, tantôt une brutalité dans son exercice, cherchant à me dominer, me laissant des traces de dents. Elle voulait me rendre fou de désir.
Toujours sans un mot, toujours en me fixant dans les yeux, une nouvelle tornade nous emportait. Je lui laissais ma place, elle ouvrait son chemisier.
Entièrement offerte à moi, la queue en érection, le pantalon sur les genoux, je ne demandais pas mon reste pour déguster ses magnifiques poires, bien juteuses de par mon excitation.
Je lui suçais les tétons avec une envie particulière de lui rendre la monnaie de sa pièce pour ses morsures sur mon sexe. En même temps, j’ouvrais son...

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