Rougir 1 : Histoires à faire rougir, nouvelle génération
69 pages
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Rougir 1 : Histoires à faire rougir, nouvelle génération , livre ebook

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Description

Les célèbres Histoires à faire rougir font peau neuve!
Sensuellement explicites, délicieusement coquines, voici les sept premières Histoires à faire rougir, les célèbres nouvelles érotiques de Marie Gray, mises au goût du jour pour titiller une nouvelle génération de lecteurs de 18 à 88 ans. Une voisine accommodante, un cadeau d’anniversaire unique, un visiteur entreprenant, un cours très privé, une transformation étonnante… Ces récits sont empreints de sensualité, d’humour et de tendresse. Dans chacune de ces histoires, l’érotisme est mis en vedette pour pimenter le quotidien.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 21 novembre 2011
Nombre de lectures 29
EAN13 9782894554128
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0500€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Publiés par la même auteure:

Histoires à faire rougir (t.1)
Édition originale: format régulier 1994, format poche 2000
Stories to Make You Blush  2000
Nouvelle Édition (Rougir 1: Histoires à faire rougir ) 2011

Nouvelles histoires à faire rougir (t. 2)
Édition originale: format régulier 1996, format poche 2001
More Stories to Make You Blush  2001

Histoires à faire rougir davantage (t. 3)
Édition originale: format régulier 1998, format poche 2002
Stories to Make You Blush volume 3  2004

Rougir de plus belle (t. 4)
Édition originale: format régulier 2001, format poche 2004

Rougir un peu, beaucoup, passionnément (t. 5)
Édition originale: format régulier 2003, format poche 2006

Coups de cœur à faire rougir  2006
(le meilleur des Histoires à faire rougir )

Aussi publiés dans la collection Oseras-tu?
Pour les jeunes de 14 ans et plus:

La Première Fois de Sarah-Jeanne  2009
Le cœur perdu d’Élysabeth  2009
Le roman de Cassandra  2010
Le vertige de Gabrielle  2010

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

Gray, Marie, 1963-
Rougir
Sommaire: 1. Histoires à faire rougir.
ISBN 978-2-89455-411-1 (v. 1)
I. Titre. II. Titre: Histoires à faire rougir.
PS8563. R414R67 2011 C843’.54 C2011-940733-7 PS9563. R414R67 2011

Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremisedu Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition ainsi que celle de laSODEC pour nos activités d’édition. Nous remercions le Conseil des Arts du Canadade l’aide accordée à notre programme de publication.

Gouvernement du Québec — Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres — Gestion SODEC

© Guy Saint-Jean Éditeur inc. 2011
Conception graphique: Christiane Séguin
Révision: Sophie Ginoux
Illustration de la page couverture: Ping Lee / Getty Images

Dépôt légal — Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Bibliothèqueet Archives Canada, 2011
ISBN: 978-2-89455-411-1
ISBN ePub: 978-2-89455-412-8
ISBN PDF: 978-2-89455-436-4

Distribution et diffusion
Amérique: Prologue
France: De Borée/Distribution du Nouveau Monde (pour la littérature)
Belgique: La Caravelle S. A.
Suisse: Transat S. A.

Tous droits de traduction et d’adaptation réservés. Toute reproduction d’un extraitquelconque de ce livre par quelque procédé que ce soit, et notamment par photocopieou microfilm, est strictement interdite sans l’autorisation écrite de l’éditeur.

Guy Saint-Jean Éditeur inc.
3440, boul. Industriel, Laval (Québec) Canada, H7L 4R9. 450 663-1777
Courriel: info@saint-jeanediteur.com • Web: www.saint-jeanediteur.com

Guy Saint-Jean Éditeur France
30-32, rue de Lappe, 75011, Paris, France. (1) 43.38.46.42 • Courriel: gsj.editeur@free.fr
Chères lectrices, chers lecteurs,

Qui aurait cru, en 1995, que mes petites Histoires à faire rougir, écrites sur un coup de tête et publiées sans la moindre attente,seraient un jour qualifiées de «classiques»? Certainement pasmoi! Mais je me réjouis évidemment de l’aventure et remercie bienchaleureusement tous ceux et celles qui y ont contribué de près oude loin.
Ce n’est que lorsque j’ai compris, il y a quelques années, queles nouveaux lecteurs de la série avaient bien souvent découvertces ouvrages dans la bibliothèque de leurs parents, que j’ai réaliséque le temps avait passé et que les Histoires étaient toujoursd’actualité. Les couples d’aujourd’hui cherchent autant que ceuxd’hier à maintenir la flamme bien vivante! Quoique… Avec durecul, j’ai bien dû constater que mes coquineries avaient besoind’un petit coup de fraîcheur et que, forcément, certaines chosesavaient changé avec l’arrivée d’un siècle nouveau!
C’est pourquoi je me suis amusée à reprendre certains passages, à en fignoler d’autres, à peaufiner quelques dialogueset à actualiser plusieurs scènes. Voici donc les Histoires à fairerougir, qui ont gagné le cœur de mes chers lecteurs — et leurcorps, à en croire certains commentaires! —, en version vingt-et-unième siècle. J’espère que ceux et celles qui les découvrent iciy trouveront tout autant leur compte que les générations passées.
Bonne lecture et, surtout, bonnes rougeurs!
Marie
xxx

— Ça y est, la dernière boîte!
— Il était temps!
Steve a essuyé distraitement une goutte de sueur qui coulaitle long de sa joue.
— Tu crois vraiment qu’on va rester ici plus d’un an?
— On verra bien… Pour le moment, dépêche-toi, on a encorebeaucoup à faire!
Un autre déménagement. Le troisième en autant d’années.Steve et moi ne semblions jamais, du moins depuis plusieursannées, trouver l’endroit idéal où habiter. Cette fois-ci, cependant, j’avais un bon pressentiment. J’avais passé trois mois àratisser systématiquement la ville pour trouver la perle rare etj’avais vraiment l’impression de l’avoir dénichée.
Nous aurions bien aimé avoir enfin notre propre maison, maiscomme Steve devait être muté dans une autre ville, nous avionsremis encore une fois ce rêve à plus tard. Après des semaines dedéceptions, de fausses joies et de journées de visite interminables, j’étais prête à tout laisser tomber. Pourtant, un matin qui neprésageait rien de particulier, j’étais enfin tombée sur une petiteannonce décrivant une «magnifique copropriété, le calme de lacampagne près du centre-ville. Aubaine». Ayant lu des tonnesd’annonces du même genre, j’avais failli ne pas m’en occuper. Àla dernière minute, toutefois, et sans vraiment en être consciente,j’avais décroché le téléphone, composé le numéro et pris unrendez-vous. En arrivant devant l’immeuble, j’avais été séduite; en pénétrant dans l’appartement, conquise. C’était exactementce que nous cherchions.
Premièrement, le logement disponible se trouvait au dernierétage, au vingtième. Donc, personne pour nous marcher sur latête à toute heure du jour ou de la nuit. Deuxièmement, le bâtiment était construit en croix avec seulement un logement paraile et l’ascenseur au centre. Résultat: pas de voisins imméd iatspour nous faire partager leurs batailles ou leurs émissions detélé favorites. Le bonheur! Et la liste des avantages ne cessaitde s’allonger. Un joli parc entourait l’édifice, permettant deprendre l’air en toute sécurité. Il y avait un gardien en permanence à l’entrée et, chance suprême, le logement était abordablecompte tenu du quartier et de sa superficie. Nous avons biensûr sauté sur l’occasion, ou plutôt J’AI sauté sur l’occasion sansprendre le temps de consulter Steve, tant j’étais certaine qu’ilserait aussi emballé que moi. Effectivement, il a été enchantépar cet endroit.
Le jour du déménagement, malgré la fatigue et les multiplespetits embêtements, nous étions heureux. Ce que nous avions vudu quartier nous plaisait et nous avions déjà rencontré l’une denos voisines de palier, Diane, qui nous avait paru charmante.Peut-être un peu trop charmante, d’ailleurs, à en juger par leregard appréciateur de Steve sur ses divers attributs, mais j’avaisdécidé de passer outre.
Nous avions ensuite travaillé fort pendant quatre jours avantde pouvoir nous dire «installés». Steve et moi avions pris quelques jours de vacances dans ce but et, vraiment, c’était du beautravail. Les fenêtres du logement avaient représenté le plus grosproblème. Elles étaient immenses dans le salon et la chambre àcoucher, et nos anciens rideaux ne leur convenaient pas.Cependant, une fois cet obstacle surmonté, l’appartement avaitune allure des plus satisfaisantes. Et ces fenêtres, si grandes étaient-elles, nous procuraient une vue tellement spectaculairequ’elles valaient bien un peu de tracas.
Le quatrième soir, après notre premier vrai repas en tête-à-tête dans notre nouveau chez-nous, nous avons enfin décidé deprendre l’air sur notre magnifique terrasse. Cette soirée dejuillet était douce et chaude, et nous berçait d’une brise légère etcaressante. Ce n’était pas encore la canicule, qui se manifesteraitsûrement dans quelques semaines. Juste une belle, une parfaitesoirée d’été.
Nous avions pris soin d’éteindre toutes les lumières poursavourer la vue superbe qui s’offrait à nous: la vi

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