Sans interdit - Tome III
300 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Sans interdit - Tome III , livre ebook

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
300 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Troisième volet des sulfureuses aventures d'une femme mariée. Menant une vie d'apparence très ordinaire, la vie secrète de cette quadragénaire mérite d'y porter une attention soutenue, laissant découvrir la polissonne qu'elle est en réalité, dotée d'un appétit sexuel hors norme, aux performances impressionnantes.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 19 janvier 2018
Nombre de lectures 6
EAN13 9782414139163
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0075€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-13914-9

© Edilivre, 2018
Introduction :
Encore une fois, les limites de mes principes sont balayées par ces accès de débauche qui m’emportent aux confins du plaisir. Le septième ciel existe, je vous l’affirme, et je m’y rends désormais souvent, comme en témoignent mes dernières aventures, à ne pas laisser à la portée des enfants !
1 Cousinade
L’été est là. Nous organisons dans notre grande maison une sorte de cousinade, afin de réunir la famille dispersée aux quatre coins de pays. Quelques uns dorment à la maison, d’autres en caravanes ou camping-car dans la propriété, les derniers dans les gîtes alentours. Cela fait deux jours que j’ai tout ce petit monde, et j’avoue commencer à fatiguer de cette surpopulation momentanée et du travail qui en découle, même si la piscine où chacun barbote actuellement est un bon moyen de les occuper. Conscient de ma lassitude, mon mari lance l’idée de les conduire à la plage, argumentant le fait que certains ne la voient pas souvent, de par leur situation géographique. Acquiescement général, et mon chéri se transforme en guide touristique pour les accompagner tous à la mer. Prétextant avoir quelque chose à faire, je reste seule au domicile, et c’est avec un clin d’œil complice et reconnaissant à mon époux que je les regarde tous partir, heureuse de pouvoir souffler un peu.
La maison est maintenant silencieuse, et je décide de m’étendre un moment sur le lit pour me reposer. Il fait chaud et j’enlève mon paréo et mon maillot mouillé – je sors de la piscine – avant de m’allonger. Nue sur le lit, un courant d’air me donne une sensation de fraîcheur sur les seins et mon sexe encore humide. Inévitablement, cela réveille en moi des sensations indéfinissables… Je constate que mes tétons sont tout durs, et me mets à les caresser. Le désir monte en moi. Ce n’est plus de la fraîcheur mais un bouillonnement que je ressens à l’entre-jambe ! Je descends une de mes mains entre mes cuisses, tandis qu’avec l’autre je continue à me titiller les bouts à présent fort gonflés. Je suis là, allongée au milieu du lit, les jambes fléchies bien écartées, promenant mon doigt le long de ma fente, dans ma maison enfin vide ! Enfin vide… c’est du moins ce que je crois ! Le mari d’une de mes cousines hébergées sur place, est finalement resté pour remplir un papier urgent pour son entreprise. Voulant m’emprunter une calculatrice, il est venu jusqu’à la porte de la chambre pour me la demander. Me croyant seule, je n’ai même pas pris la peine de la repousser complètement. Quant à lui, encore en maillot et pieds nus, je ne l’ai pas entendu arriver.
A l’instant où il va frapper à ma porte, il constate par l’entrebâillement mon petit manège, et observe un moment la scène. Surexcité, il pousse doucement la porte pour mieux mater. Ce qu’il voit le rend dingue, et il a tôt fait d’ôter son maillot et de s’infiltrer dans la pièce. Profitant de mes yeux clos par le plaisir que je m’octroie, il se positionne silencieusement au bout du lit, juste en face de moi. Ses yeux ne peuvent décrocher de mon doigt qui se promène à l’entrée de ma vulve, et quand mon majeur s’insinue à l’intérieur, le voyeur ne peut s’empêcher de se palucher ! Vous imaginez le tableau ? Moi, me masturbant inconsciemment sous le nez de ce cousin par alliance, lui même en train de se branler !
Ma jouissance est proche et je lâche de petits gémissements en accélérant les mouvements de mes doigts, car j’ai fini par en plonger un deuxième dans mon vagin. Mes yeux s’entrouvrent au moment où je jouis, et je sursaute, sidérée, en découvrant ce cousin à poil, debout au pied du lit, la bite à la main, le regard rivé entre mes cuisses. Je reste figée par l’étonnement et la honte, mais en plein orgasme, je ne peux plus m’arrêter et le bas de mon corps est pris de petites convulsions. Alors que mon sexe palpite encore, mon voyeur n’en peut plus ! Il se rue sur moi, et je n’ai pas le temps de réagir. Il faut dire que je suis déjà en position ! A peine ai-je prononcé un :
« Héé !!!??? Mais qu’est ce que tu f… »
qu’il est déjà couché sur moi. Le visage crispé, il déclare…
« Attends ! J’ai mieux que tes doigts, moi ! »
En trois coups de reins rageurs, il me pénètre jusqu’à la garde et plaque sa bouche sur mes lèvres. Sa langue passe en force et vient retrouver la mienne. Je tente quelques secondes de repousser cet homme, sans grande conviction d’ailleurs, et rapidement ma langue vient jouer avec la sienne. Mon corps se contorsionne sous ses mains qui m’explorent, et je me mets à l’agripper fermement, mes bras autour de son cou et mes jambes croisées dans son dos, comme pour l’emprisonner. Me sentant plus que réceptive, le mâle redouble d’effort et me besogne furieusement.
Passé cet instant de folie, je reprends mes esprits et l’invite illico à « mettre quelque chose » s’il veut continuer. A son regard ennuyé, je comprends qu’il n’a rien prévu. Compréhensive, je pioche d’une main fébrile dans la table de nuit un des préservatifs de mon époux. A peine s’en est il équipé qu’il me reprend, cette fois avec plus de douceur. Il me sait consentante, et ne se presse plus. Nous nous embrassons à pleine bouche quand je sens coulisser son pénis de tout son long en moi.
« Quand même » me dis-je, « me faire sauter par le mari de ma cousine ! C’est vraiment gonflé !… et dans le lit conjugal, avec une capote de mon chéri en plus ! »
Rien que de penser à tout cela, je suis en ébullition. Mon sexe est inondé et le pilonnage de ce phallus produit des sons obscènes, qui loin de nous gêner, décuple notre ivresse. C’est un rapport extrêmement charnel et torride qui nous uni. Lui pousse puissamment de ses reins son membre loin dans mon ventre, et je vais à sa rencontre en avançant le bassin, pour m’offrir davantage. Ses mains me parcourent intégralement, puis s’arrêtent sous mes petites fesses pour s’affairer de manière indécente. Elles se mettent à les empoigner, à les malaxer. Devant l’absence d’interdit, le cousin s’autorise à promener son doigt le long de ma raie, puis frôle à plusieurs reprises mon anus avant de le toucher carrément. Prenant de l’assurance, il introduit timidement le bout de son majeur comme pour tester mes limites. Je suis dans un tel état que ma main descend rejoindre la sienne. Mon amant croit d’abord que je veux la lui enlever, mais découvre son erreur quand j’appuie fortement sur son doigt inquisiteur, me l’enfonçant tout entier dans le fondement, en lui susurrant :
« C’est bien ça que tu voulais faire, vilain ? Mmmm… te gêne pas… vas y… »
Je sens son sexe pris de spasmes gonfler dans ma vulve, pendant que son doigt s’agite dans mon petit orifice et que sa langue tournoie dans ma bouche. HHHHH … j’ai un fulgurant orgasme.
Mon partenaire s’en rend compte et se retire. Je crois d’abord que c’est pour me laisser récupérer, mais il n’en est rien. Il se jette sur mon sexe et lape vulgairement ma vulve trempée. Le coquin me nettoie la sève de ma fente avant de me dévorer littéralement la vulve. Sa bouche est maintenant collée sur ma chatte, et se démène avidement sur et en elle. Il découvre aussi mon clitoris, et joue un moment avec mon petit bouton, se plaisant de me voir me tortiller sous sa divine torture. Pour y échapper, je saisie sa queue et l’embouche aussitôt. Il a droit à une démonstration zélée de mes prestations buccales, et je sais le coquin prendre son pied à me regarder le sucer. Aussi, je m’arrange pour qu’il me voit bien m’occuper de sa verge, le fixant dans les yeux en donnant quelques grands coups de langue le long de sa hampe, avant de le happer voracement pour le pomper comme une damnée. Plusieurs fois il me repousse la tête pour m’interrompre et ne pas jouir, mais ma bouche est accrochée à son sexe comme une ventouse. A la fin, il libère vivement son gland d’entre mes lèvres et se redresse. Il me retourne comme une crêpe, et contemple un moment mon fessier. Saisissant mes hanches, il me remonte d’autorité à quatre pattes et plonge sa figure dans ma raie. Il me bouffe goulûment la croupe. Je murmure :
« HHHH !!! Oooohh… c’est pas bien ça… … Mmmm… Cochon… »
M’entendre marmonner ces paroles incohérentes l’énerve encore plus, et le vicieux m’écarte les fesses au maximum avant de me sodomiser avec sa langue. Rassasié, il me pousse en avant et je me retrouve à plat ventre. Il se glisse instantanément sur moi et se plante à nouveau dans ma vulve. Tout en m’empalant, il me tourne la tête et me roule un pelle baveuse. Sans chercher à dissimuler mon plaisir, je n’arrête pas de lui répéter :
« Tu es un vilain ! Tu n’as pas honte ? »
Comme pour me prouver qu’il ne croit absolument pas en mes remontrances, il s’extirpe de mon vagin et s’enfonce illico dans mes fesses. Mon petit trou s’élargit fortement pour laisser passer son membre prêt à exploser. La surprise m’arrache un cri et je ne peux m’empêcher de lâcher un
« Aïe ! Tu me fais mal ! Va doucement sale brute ! »
Mais il se fiche royalement de ma plainte et continue imperturbable son pilonnage anal.
Mieux, il attrape un oreiller à proximité – celui de mon mari ! – et le glisse sous mon ventre, pour me maintenir le postérieur en l’air et plus offert encore. Heureusement, la douleur disparaît en quelques secondes et laisse place au plaisir, surtout qu’il vient délibérément de passer sa main sous moi, et me tripote frénétiquement le clitoris du bout des doigts ! Le résultat est redoutable…
Alors qu’il va et vient dans mon orifice encore baveux, je me cambre pour tourner la tête et le regarder, avant de lancer :
« Ben voyons !! Ça t’a pas suffit de te taper ta cousine ! En plus, il faut que tu l’encules ! »
M

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents