Tranche de vie
400 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Tranche de vie , livre ebook

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
400 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Un couple, maintenant quinquagénaire, avait fait le choix de mettre entre parenthèses leurs pratiques libertines pour élever leurs enfants. Il renoue avec celles-ci, au hasard d’une improbable rencontre.

Si tant est qu'il soit vrai que rien ne soit interdit, en amour, entre adultes consentants, il est une règle qui ne devrait jamais être transgressée, quelles que soient les circonstances.

Cette règle est le respect des uns et des autres, ainsi que l’absolue confiance qui doit exister entre les différents partenaires. La recherche du plaisir de la chair est à ce prix et ne devrait jamais y déroger.



Êtes-vous prêt à les suivre, et, avec eux, explorer le vaste et insondable territoire de la jouissance ?



Serez-vous capable, sans fil d’Ariane, de visiter ce labyrinthe que composent les « jardins des délices », de repaître vos sens des fruits de la luxure, sans craindre d’y perdre votre âme ?



Alors, qu’attendez-vous ?



Suivez-les !

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 17 juillet 2015
Nombre de lectures 3
EAN13 9782332866592
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0097€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-86657-8

© Edilivre, 2016
Mot de l’auteur
Je remercie mon grand ami Dominique, auteur du livre « D’un monde à l’autre » de m’avoir poussé à écrire et faire publier cette histoire.
Il m’a également autorisé à utiliser quelques unes de ses sentences et maximes pour illustrer et résumer les différents chapitres.
Après avoir ensemble débattu, lors de nos fréquentes réunions, au sujet de la limite entre l’érotisme et la pornographie, nous en sommes venus à la conclusion qu’il n’y a pas à proprement parler de limite clairement définie, cela tient plus d’une alchimie complexe. L’un comme l’autre procure du plaisir au lecteur.
Comme dans un bon plat préparé, c’est l’équilibre des éléments du plat, ainsi que, les épices qui exhalent les saveurs.
L’érotisme est ce juste équilibre entre le phantasme raconté et le zeste de vulgarité qui épice l’histoire.
Trop de l’un ou de l’autre terni l’histoire.
Mais comme pour tout, tous les goûts sont dans la nature, les romans à l’eau de rose ont leur public, tout comme les plus vulgaires des récits.
C’est comme dans la vie de tous les jours, d’un côté la « restauration rapide » et l’autre le caviar et les truffes, l’un comme l’autre sont écœurant à haute dose, au milieu, il y a les restaurants dont les plats sont un plaisir des sens et un festival de saveurs.
Nos rêves ou nos phantasmes ne sont que le miroir dans lequel se mire notre âme.
Bernard Noël
Chapitre I Un chaud weekend d’été le réveil du papillon
« Le plaisir n’a de limite que celle que s’imposent les partenaires »
Quel été magnifique, chaud et sec, il est vrai que le côté sec de l’air, parfois, est difficile à supporter, une température d’une trentaine de degrés reste malgré tout supportable, mais cela fait maintenant trois semaines que nous n’avons pas connu la moindre averse.
Peut-être le prélude au réchauffement climatique ?
Trouver un peu de fraîcheur ne pourrait faire que du bien, un bord de rivière à l’orée d’un bois perdu au milieu d’un no man’s land de verdure. Une après-midi tranquille à se détendre et s’étendre, prendre un livre et espérer un petit vent de fraîcheur soufflant de la rivière vers les terres.
Le site idéal serait d’avoir un petit bois en bord de rivière et des champs derrière, l’air chaud montant créerait un appel d’air venant de la rivière, rien que d’y penser, la chair de poule me vient et je ressens par anticipation ce petit souffle de fraîcheur sur la peau.
Finalement pourquoi pas ?
Il y a pas mal de temps que cela ne nous est plus arrivé.
Nous pourrions envisager de nous offrir un weekend à nous, ne pas se stresser par le temps qui passe, prévoir le nécessaire au cas où éventuellement nous choisirions de ne pas rentrer le soir et passer la nuit dans un petit hôtel perdu loin de tout.
Bien entendu pour cela, le temps devrait se maintenir, prévoir c’est bien, mais chacun sait que la météo est une femme très capricieuse.
Mais aussi, pourquoi ne pas envisager de reprendre nos vies là où nous les avions suspendues et renouer avec nos désirs et plaisirs du passé ?
Cela fait maintenant plus de vingt cinq années que nous nous consacrons exclusivement au bien être de nos deux enfants, devenus grands maintenant.
Après si longtemps, cela sera sans doute difficile, peut-être devrions-nous réapprendre à franchir les étapes, reculer lentement les limites que nous nous sommes volontairement imposées toutes ces années.
A moins que, comme pour le vélo, il est des gestes qui ne s’oublient pas.
Un bord de rivière perdu dans un sous bois n’est certainement pas le lieu idéal pour renouer avec le passé.
Mais inutile de forcer le trait et tirer des plans sur la comète, déjà que nous envisageons de nous consacrer un weekend à nous seuls, sans les enfants, est déjà en soi un miracle.
Où aller ?
Nous décidons d’aller sur GOOGLE EARTH pour voir des endroits qui seraient conformes à nos attentes et suffisamment éloignés des habitations pour plus de tranquillité.
Un weekend sans cris, ni pleurs d’enfants, sans les soucis familiaux habituels.
Le soir nous visionnons sur le portable, les images satellites et nous nous arrêtons sur un endroit. C’est assez loin de chez nous et proche de la frontière.
L’endroit semble parfait, s’il n’est pas occupé par des scouts, ce qui est souvent le cas en été. Faisons appel au hasard, ce sera la surprise.
– Chéri, qu’allons-nous mettre pour nous y rendre ?
Comme nous prévoyons d’éventuellement passer la nuit à l’hôtel cela n’a que très peu d’importance.
– Chérie, on se fera un petit sac de voyage avec de quoi se changer, une tenue décente. Je n’ai pas dit austère, mais aller diner en short ne me convient pas vraiment, voire une tenue dites de soirée pour toi, sexy et sensuelle, sage et provocante sous certains aspects.
– Toi, tu as une idée derrière la tête ?
– Pas du tout mon amour, J’aime que tu joues avec cette ambigüité, comme lors de la présentation de nos vœux de fin d’année, tu étais parfaite, sage au premier regard mais, en insistant, on pouvait deviner la naissance de tes charmes par la légère transparence de ton débardeur. Il ne manquait pas grand-chose pour que tu sois parfaite, un peu plus de légèreté peut-être mais pour présenter les bons vœux !!, et l’hiver reste l’hiver.
Voilà, nous avons arrêté notre destination, et préparé la liste de nos petits sacs avec notre nécessaire de toilette, ne reste que la liste de notre petit pique-nique.
– Serait-ce trop que de prévoir une bouteille de champagne que nous mettrons à rafraîchir dans la rivière, mon chéri ?
– Soyons fou !
Nous complétons la liste des préparatifs avec de quoi nous désaltérer, de l’eau, un thermos avec de l’eau bouillante pour un petit thé, quelques fruits pour une petite faim éventuelle sera suffisant, nous trouverons toujours bien un restaurant ou un hôtel où nous pourrons éventuellement manger et passer la nuit. N’oublions pas le nécessaire pour le soleil et de grands essuies pour s’étendre, un tapis de sport pour plus de confort, un livre pas trop prise de tête et pas de radio, juste le chant des oiseaux et des crickets, ce sera amplement suffisant pour passer un peu de bon temps.
La liste est complète, nous irons acheter ce qui manque, il ne reste plus qu’à attendre la fin de la semaine et espérer que le temps se maintienne. Il est vrai qu’un peu de pluie ramènerait de la fraîcheur mais aussi ruinerait notre weekend.
Vendredi enfin est arrivé, la chaleur est vraiment difficile à supporter, une petite douche après le travail fera du bien, nous entrons tous les deux dans la salle de bains, tu fais couler l’eau de la douche et te déshabilles.
Je te trouve magnifique en tenue d’EVE.
– Tu sais que tu es belle et que tu me plais !
Tu me souris, déposes un baiser sur mes lèvres, pour ensuite te glisser sous le jet.
– Je sais, je me répète, mais que veux-tu, je t’aime et te trouve superbe, un vrai dauphin, ta peau brillante et lisse est un réel appel à la caresse.
J’entre avec toi et te savonne, fais glisser mes mains le long de ton dos et viens épouser le galbe de tes fesses.
– On ne t’a jamais dit que tu as un beau petit cul !
– Non !
– Je ne peux le croire ma chérie.
– hum hum !!!
– Cela veut dire quoi ce hum hum ?
– Ce que bon te semble mon chéri.
Mes doigts jouent les indiscrets en s’insinuant entre les deux globes charnus et viennent caresser ta petite rosette intime. J’y glisse un doigt et tu te cambres un peu pour m’en faciliter l’accès. Je m’agenouille et viens glisser la langue dans le sillon de tes fesses pour venir aguicher ton œillet serré, l’eau qui ruisselle m’empêche de respirer. Je suffoque et tousse.
– Tu vois ce qui arrive quand tu n’es pas sage !
Je remonte et vient boire cette eau qui coule le long de tes reins, je continue mon ascension pour venir te mordre les épaules. Mes mains abandonnent ton dos et viennent cette fois emprisonner tes seins que j’aime et admire. Je caresse ton ventre et tu ressens l’émoi que le contact de ton corps nu contre le mien éveille en moi. Mes mains rampent sur ton ventre et viennent caresser les lèvres de ta chatte. Je me glisse doucement entre elles pour venir pincer doucement ton clitoris durci. Tu gémis doucement, mon autre main remonte doucement le long de tes hanches pour venir aguicher le bout de tes seins.
Une douche hollandaise aurait été parfaite pour laisser libre court à nos envies et ébats, mais l’espace est trop exigu et nous empêche de s’y adonner. Je sens que mes caresses ne te laissent pas insensible et doucement tu te mets à respirer un peu plus fort, signe que tu apprécies. Mais tu te dérobes.
– Tu veux que je te rase les poils rebelles qui repoussent ma chérie ?
– Non je préfère que tu le fasses plus tard, lorsque nous serons dans la chambre, seuls tous les deux !
– Tu as raison, ce sera mieux, en plus, nous pourrons en profiter.
Nous échangeons nos places et te glisses toi aussi dans mon dos pour me savonner. J’aime sentir tes mains parcourir mon corps, toi aussi tu me fouilles la raie des fesses et me pinces le bout des seins, évidem­ment cela ne me laisse pas de marbre. Je me retourne et tu me lâches, l’eau qui continue à ruisseler sur mon corps glisse le long de mon sexe faisant naître sur le bout un filet d’eau.
Tu t’approches de mon oreille et me susurres :
– Regarde, on dirait que tu pisses, j’ai envie de te boire.
– Ma chérie, serais-tu d’humeur coquine ?
– Plus que tu ne peux l’imaginer.
– Oh là ! je ne demande qu’à découvrir mon amour.
– Attention, tu ne sais pas de quoi je suis capable, ni à quoi tu t’engages !
– Et toi, tu sais que j’aime lorsque tu te libères des chaines de la convenance.
– Attentio

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents