Voyage en Belgique vers l enfer
152 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris

Voyage en Belgique vers l'enfer , livre ebook

-

Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement

Je m'inscris
Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus
152 pages
Français

Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage

Obtenez un accès à la bibliothèque pour le consulter en ligne
En savoir plus

Description

Léa a 26 ans. Pierre, son mari, avec qui elle a eu deux enfants, lui a toujours fait croire qu’il avait une entreprise près de chez eux, à Valenciennes. Elle va en fait s’apercevoir qu’il a succédé à son père à la tête de plusieurs maisons de passe en Belgique et que, pour vivre avec sa maîtresse, il n’hésite pas à monter un stratagème pour qu'elle finisse par se prostituer dans ses propres maisons.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 30 avril 2015
Nombre de lectures 8
EAN13 9782332907400
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-90738-7

© Edilivre, 2015
Voyage en Belgique vers l’enfer
 
 
J’habite dans la banlieue de Valenciennes dans le Nord de la France. J’ai 26 ans et à ce qui m’est dit, je suis une jolie femme blonde. J’ai même entendu dans la rue un homme s’approcher de moi et me glisser à l’oreille que j’étais « bandante »
Mon mari me dit souvent, Léa tu ferais bander un mort.
J’ai deux enfants qui sont élevés par mes beaux-parents près de Sète. L’aînée est une fille de 8 ans et ½ et l’autre un garçon de 7 ans.
Pierre et moi, nous-nous sommes mariés car nous avons fauté une seule fois et qui a été gagnant. Je venais d’avoir 18 ans et je ne connaissais rien de la vie. Nos familles se sont dépêché de publier les bans pour éviter tous les ragots. Ma fille est née avec une maladie demandant beaucoup de soleil. Elle pourrait s’aggraver ici.
Nous avons envisagé d’aller dans ces régions ensoleillées mais il était difficile de délocaliser la boîte de haute technologie que mon mari a créée à Valenciennes. Les chercheurs auraient été obligés de changer de vie pour nous suivre. Pierre aurait eu du mal à en recruter d’aussi bon là-bas.
La seule solution a été de les faire vivre chez ses parents qui se sont retirés près de Sète après une vie de labeur en Belgique.
Nous n’avons pas voulu séparer les 2 enfants et je vais les voir en avion une fois par mois.
Familialement je suis fille unique. J’ai perdu mes parents à quelques mois d’intervalle il y a deux ans. Nous vivions dans la banlieue de Valenciennes.
Je n’ai jamais connu d’autres personnes proches de nous.
Je sais que, l’entreprise de mon mari est très florissante. J’ai essayé une fois de m’intéresser à son travail. Lorsque je me suis présenté à la grille d’entrer des bâtiments et que j’ai dit que je voulais voir Pierre le patron, un gardien m’a dit que la société que je demandais était bien dans ces bâtiments. Il a regardé sa liste du personnel, il n’y avait pas de Pierre. Il m’a même ajouté que le patron s’appelait Roger.
Je suis reparti pleine d’interrogation et le soir j’en ai parlé à Pierre.
Il ne m’a pas disputé de ma visite mais il m’a expliqué que la société qu’il a créée travaillait pour la défense nationale. Les gardes sont embauchés par une société de gardiennage dépendant de la défense. Ils ne savent même pas son vrai nom.
Ces hommes sont des militaire habillés en civil.
Il m’a demandé de ne jamais recommencer à venir, ma démarche serait toujours vouée à l’échec. A partir de ce jour, je me suis désintéressé d’un travail aussi bien protégé et qui risquait de porter préjudice à son autorité.
Le principal, c’est que ses bénéfices soient substantiels et ne m’obligent pas à travailler.
A la maison, nous avons aide ménagère et entreprise de jardinage qui entretient les 4000 mètres carrés de terrain et les 200 mètres de la maison de plain-pied.
Mon seul plaisir c’est de me coucher tard pour me lever tard.
Grâce à lui, même si par moments je m’ennuie, j’ai une vie de rêve hormis l’absence de mes enfants.
Tous les mardi après-midi, je vais prendre le thé dans un salon avec cinq copines. Nous restons deux heures ensemble à nous raconter les derniers ragots à la mode sur les habitants de Valenciennes.
Question sexe, Pierre et moi, même si nous faisons l’amour en moyenne une fois par semaine nous n’avons pas une imagination débordante. Il y a peu, nous-nous sommes disputés car lorsqu’il désirait me prendre, je relevais simplement ma chemise en pilou jusqu’à ce que mon vagin soit dégagé.
Depuis, je fais un effort et j’ai repris l’habitude de la retirer. Il s’est même permis en rigolant de me dire.
– Un jour il faudra que je t’envoie dans un bordel en Belgique, cela t’apprendra à tortiller tes fesses.
J’étais tellement offusquée que j’ai refusé qu’il me fasse l’amour pendant presque un mois.
Au début de notre relation, Pierre une ou deux fois m’a présenté sa verge pour que je la suce. Trouvant cela dégradant pour une femme mariée, je l’ai repoussé et depuis, il ne m’en parle plus. J’avais toujours entendu que ces pratiques sexuelles étaient réservées aux prostitués.
Dans nos premiers moments, j’acceptais de me mettre en position de la levrette. Un soir qu’il avait réussi à me faire prendre cette position et qu’il avait investi mon vagin, l’idée saugrenue lui est venue de positionner sa verge sur mon petit trou. Il a voulu y entrer. Je me suis retourné et lui ai balancé une gifle. Je me suis tout de suite excusée mais cela la refroidie définitivement.
Bref après 8 ans de mariage, je suis une femme qui ne s’assume pas. Ce qui me sauve, c’est que je ne le sais pas moi-même. Lors de nos mardis avec les copines certaines allusions me font douter de mes pratiques sexuelles.
Trop fier, pour leur poser des questions sur certains sujets abordés. Lorsqu’une question directe me touche, j’ai pris l’habitude de biaiser et jusqu’à ce jour je m’en suis toujours très bien sorti.
Dans notre villa, au fond du jardin il a fait construire un petit chalet au bord d’un bois de bouleaux et d’une piscine.
Autour, des transats me permettent de me faire bronzer intégralement nue n’ayant aucun risque d’être observés.
Pour entrer dans la propriété un portail ne peut s’ouvrir que par un déblocage du système de sécurité.
Si quelqu’un se présente une sonnette se déclenche dans le chalet.
La seule entorse faite se trouve au fond du petit bois où un petit portillon toujours fermé nous donne un accès direct à la rivière. Pierre aime aller pêcher, une fois par an, en passant par un petit chemin sans avoir à contourner plusieurs résidences.
Fin août alors que nous avons raccompagné les enfants dans le Sud, je me fais bronzer profitant des derniers rayons du soleil.
Depuis le début de l’été sauf lorsque les enfants étaient là, je n’hésite pas à découvrir mes parties intimes.
Je somnole depuis une heure lorsque le ciel me tombe sur la tête.
– Bonjour, je ne vous dérange pas ? Au pardon.
Ma première réaction est de me croiser les bras sur mes seins oubliant mon vagin qui est offert. Doublement offerte car dans ma somnolence l’une de mes jambes s’est écartée et l’on doit voir l’intérieur de ma vulve entièrement ouverte.
Prenant conscience du spectacle que j’offre, discrètement je ramène ma jambe et je serre les cuisses sur ma toison aussi blonde que mes cheveux.
L’homme qui est devant moi est le bellâtre qui vient d’acheter la propriété voisine.
Il a emménagé avec une Bimbo aux gros seins sûrement peu naturels.
Le peu de fois où je l’ai vue, un mouvement de rejet, c’est fait sentir en moi.
– Par où êtes-vous entré ?
– Par le petit portillon derrière votre petit bois !
– Il était ouvert ?
– Je ne me serai pas permis d’entrer sinon !
– Pierre a dû oublier de le fermer dimanche quand il a été pêché.
Je protège toujours mes seins et trouve puérile de cacher mon vagin après ce qu’il a déjà vu de moi.
Mieux, il s’assoit sur la margelle de la piscine à mes pieds.
Je suis piégée, si je cherche à me relever pour récupérer mon maillot posé sur une petite table hors de portée de ma main, mon vagin lui sera encore plus offert à quelques centimètres de ses yeux.
– J’étais venu vous demander si nous pouvons nous permettre d’aller à la rivière par votre chemin.
– Je ne vois pas d’inconvénient mais j’en parlerai à Pierre qui vous le confirmera.
– Merci, j’attendrai sa réponse !
Alors qu’il aurait dû se lever pour quitter les lieux, non seulement il ne bouge pas mais il avance sa main qu’il pose sur mon mollet.
– On vous a déjà dit que vous avez un corps magnifique ?
À ce moment, même si je lui fais voir mon vagin, j’aurai dû me lever et lui retourner une paire de gifles.
Pourquoi, je m’entends dire !
– Merci.
Ce « merci » doit lui faire croire que tout lui est permis car il remonte et il descend sa main en s’arrêtant juste avant de me toucher les parties intimes.
Ces frottements m’électrisent tous le corps et c’est dans un brouillard profond que j’ouvre mes jambes m’offrant impudiquement à cet homme, qu’il y a peu, me révulsait.
– Je vois que vous avez envie.
– Oui !
Je suis folle, mais où tout cela va s’arrêter, même si je ne risque rien, je suis en train de me comporter comme une vraie salope.
– Je peux vous caresser la vulve ?
La vulve, je connais ce mot, comme beaucoup d’autres d’ailleurs mais c’est un mot banni dans notre monde. Avec mes copines, ils nous arrivent de parler de ces choses principalement lorsqu’il s’agit de problèmes médicaux mais nous employons seulement les termes de « vagin » et de « verge »
Le temps que ces pensées me traversent, ma non-réponse doit lui faire penser que j’accepte car je me retrouve avec trois doigts dans la chatte.
En employant ce mot, je laisse s’ouvrir les vannes à toutes les luxures. Ces doigts dans ma grotte me libèrent de tous mes tabous.
Pourquoi, j’enlève l’un de mes bras de mes seins pour porter ma main sur son short qui est extrêmement tendu.
Comment dans la seconde qui suit sans que je m’en sois aperçu, il se relève et présente son sexe à ma bouche.
Pourquoi je le laisse s’installer à l’intérieur allant même jusqu’à l’absorber et le laisser toucher ma glotte !
Pendant ce temps, ses doigts continuent à être dans ma petite fente qui mouille énormément.
Veut-il m’asservir pour que je sois à lui corps et âme quand-il sort sa main et qu’il monte ses doigts qu’il vient d’enlever de moi vers ma bouche qu’il vient de libérer.
Veut-il m’asservir lorsqu’il me fait lécher mes propres sécrétions ?
Dès cet instant plus rien en moi ne m’appartient. J’attrape sa queue pour la masturber.
Je me sers de mon autre main pour me maltraiter la chatte.
J’insiste principal

  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents