Mission 6 : Quand l'amour revient

Christi Snow, Rose Seget

Description

Il était sa plus grosse erreur.

Elle était son plus grand regret.

Autrefois, Felicia Parks et Gage Winston étaient tout l’un pour l’autre. Mais une nuit d’ivresse, Gage a tout gâché et a brisé le cœur de Felicia.

C’était il y a longtemps et ils sont tous les deux allés de l’avant, ne s’attendant jamais à se revoir.

Mais en prenant son poste comme nouveau commandant d’escadre à la base locale de l’Air Force, Gage trouve une chose dans cette mission à laquelle il ne s’attendait pas... son premier amour.

Le problème... elle est amoureuse d’un d’autre.

Le destin peut être le meilleur ami d’un amant, mais le karma peut être un ennemi vengeur...

Et une obsession dangereuse menace tout cela.

Sujets

• Littérature
• Fiction
• Suspense
• Romance
• Suspenso

Informations

• Publié par: Juno Publishing
• Date de parution: 26 mars 2020
• Nombre de lectures: 61
• EAN13: 9782376767848
• Langue: Français

Extrait

Publié par
JUNO PUBLISHING
2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt
Tel : [phone]
Siret : 819 154 378 00015
Catégorie juridique 9220 Association déclarée
http://juno-publishing.com/
 
 
 
Quand l’amour revient
Copyright de l’édition française © 2020 Juno Publishing
Copyright de l’édition anglaise © 2018 Christi Snow
Titre original : When love comes back
© 2018 Christi Snow
Traduit de l’anglais par Rose Seget
Relecture et correction par Valérie Dubar, Sandrine Dangriaux
 
Conception graphique : © Francessca Webster
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing :
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ISBN : 978-2-37676-784-8
Première édition française : mars 2020
Première édition : mars 2018
 
Édité en France métropolitaine
 
 
Table des matières
Avertissements
Dédicace
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Épilogue
À propos de l’Auteur
Résumé

 
 
 
 
Avertissements
 
 
 
 
 
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur, ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement existées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
 
Ce livre contient des scènes sexuellement explicites et un langage adulte, ce qui peut être considéré comme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertissement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous avez effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne seront pas accessibles à des mineurs.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Dédicace
 
 
Ce livre est dédié à la véritable Felicia.
Oui, il y a une véritable Felicia.
Elle m’inspire quotidiennement par son amour et son dévouement pour les animaux, et c’est pourquoi, lorsqu’est venu le temps de créer un vétérinaire fictif, je savais quel devait être son nom.
À l’époque, je ne savais pas que ma Felicia fictive aurait sa propre histoire.
Mais une personne aussi dévouée aux animaux fait une héroïne sexy qui déchire, et je n’ai pas pu résister.
Mais rassurez-vous, la véritable Felicia est une personne à part entière. Outre son amour pour les animaux, la Felicia fictive est entièrement issue de mon imagination.
 
Mission 6 :
Quand l’amour revient
Quand la mission se termine
 

 
Christi snow
 

 
Chapitre 1
 
 
 
 
La vie était belle.
Felicia Parks se souriait toute seule, la main tendue dans la cage où étaient installés les animaux. Elle gratta l’oreille de la chatte, toute jeune mère qui allaitait ses cinq chatons de cinq semaines, tous confortablement installés contre son ventre.
— Tu es une bonne mère.
La superbe femelle brune écaille de tortue se mit à ronronner aux mots de Felicia.
Son sourire s’élargit. Cela n’avait plus rien à voir avec la chatte de gouttière qui avait été amenée à la clinique vétérinaire deux semaines auparavant. Elle aurait craché et griffé les gens, leur laissant de grandes balafres sanguinolentes.
Son téléphone vibra dans la poche arrière de son uniforme d’hôpital. En découvrant le nom qui s’affichait sur l’écran, elle sourit de plus belle.
— Tu ne m’appelles pas pour annuler, j’espère ?
— Hors de question, gronda la voix de basse de Steven. J’ai prévu beaucoup de choses pour toi, ce soir.
Son ton sexy fit courir des frissons le long de sa colonne vertébrale.
— Non, j’appelais simplement pour savoir s’il y avait eu une urgence quelconque à la clinique qui t’empêcherait de venir ce soir.
Elle ferma à clé la cage de la femelle et vérifia rapidement les autres pensionnaires de la clinique, dans les différentes cages. Tout était calme et fermé pour la nuit.
— Non, la journée a été tranquille.
Ils sortaient ensemble depuis six mois et Steven Hardesty ne s’était jamais plaint quand elle annulait un de leur rendez-vous à la dernière minute, ce qui arrivait bien trop souvent à son goût.
En règle générale, la médecine vétérinaire était moins exigeante que d’autres, mais comme Felicia dirigeait la clinique de Valley View et qu’elle en était la seule vétérinaire, les urgences avaient singulièrement ralenti sa vie sociale et lui avait coûté plus d’une relation amoureuse.
Steven était différent. Il la soutenait et approuvait sa vision de son travail. Des petits papillons s’envolèrent dans son ventre en pensant à ce que cela pourrait signifier pour eux. Elle avait quarante-deux ans. Avait-elle fini par trouver le bon ? Seul le temps le dirait, mais au bout de six mois, elle commençait à le croire.
— Très bien, dit-il, l’air soulagé. Tu vois, le destin est de mon côté. Cela devait arriver.
Son cœur manqua un battement quand il prononça ce mot. Destin . Elle n’y croyait pas. Plus maintenant.
Mais elle n’allait certainement pas penser à son histoire avec ce mot, alors que Steven faisait tant de mystères sur cette soirée depuis des semaines.
Cela devait arriver. Les papillons s’envolèrent dans son ventre lorsqu’elle envisagea le sens que pouvaient avoir ces mots.
— Tu n’as pas eu d’autres problèmes, n’est-ce pas ? demanda-t-il.
— Non, tout va bien. Je pense que c’était juste une mauvaise blague de gamins.
Deux jours auparavant, quelqu’un avait dégonflé ses pneus. Plutôt ennuyeux, mais pas vraiment grave non plus.
Elle jeta un coup d’œil à la pendule sur le mur.
— J’allais te demander plus de détails sur cette soirée, mais comme tu seras là dans quarante-cinq minutes et que je risque d’être en retard si je ne raccroche pas, je te laisse tranquille… Pour le moment.
Il eut un petit rire bas.
— Cela ne change rien du tout, je ne te dirai rien de toute façon. C’est une soirée spéciale et une partie du plaisir est dans l’attente. Je serai là à dix-huit heures. J’ai très envie de te voir, ma belle.
— Moi aussi. À tout à l’heure, Steven.
Elle s’empara de son sac à main, resté sur son bureau, éteignit les lumières et sortit par la porte de derrière.
Parfois, elle se demandait si elle avait bien fait de s’installer dans la petite maison derrière la clinique, parce que cela lui permettait d’être appelée à toute heure. Mais, des soirs comme celui-ci, où elle n’avait qu’à traverser le parking et emprunter le petit chemin de pierre qui conduisait à sa maison, elle en était soulagée.
Il lui restait quarante-cinq minutes pour passer de sa queue-de-cheval et de son uniforme couvert de poils à femme fatale, déesse du sexe pour son rendez-vous.
Elle éclata de rire.
De qui se moquait-elle ? Ce serait déjà bien si elle reprenait une figure humaine. Avoir l’air féminine, ce n’était pas son truc, du moins pas depuis pas mal de temps. Mais elle ne voulait pas penser aujourd’hui à ses premières années d’études de médecine. Non, ce soir, elle se tournait vers le futur.
Un futur, elle le sentait qui était intimement lié à Steven Hardesty, un major de l’armée de l’air américaine.
 
 
Gage Winston crispa les mâchoires, tentant de garder son sang-froid alors qu’il franchissait l’entrée principale de la base aérienne de Vandeman au Nouveau-Mexique. Hurler sur sa fille de dix-sept ans, déjà bouleversée, qui le suivait en voiture n’arrangerait rien.