(Parenthèses…
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Description

Cette année-là... Gainsbourg et Birkin chantaient « 69, Année érotique » ! Au rendez-vous : vacances, mer, soleil, musique des Sixties, une bande de copains, coup de foudre et amour passion... Loin d’en être conscients, Isiana et Louis ouvraient leur première Parenthèse d’un amour intemporel... sur le sable de la Punta Santa Anna à Blanes ! Pour nous qui avons fêté nos 20 ans dans les années soixante et connu l’Amour, au son des inoxydables musiques qui ont bercé nos premiers émois... Ce « truc qui m'colle encore au cœur et au corps »demeurera ce maelström sonore, que nos arrière-petits-enfants écouteront, encore et encore, avec émerveillement. Et aussi, pour tous ceux qui souhaitent visiter quelques-unes des Parenthèses... de la passion fusionnelle d’un homme et d’une femme qui leur ressemblent.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 12 août 2015
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332863324
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-86330-0

© Edilivre, 2015
A Martine…
Mon mentor au féminin, prématurément envolée…
Pour m’avoir dit, un jour :
« Yves-Luigi, le hasard, n’existe pas ! »,
Puis, un autre jour :
« S’il est juste de dire que la mythologie grecque est une dramaturgie, il me semble que nous avons toute notre vie pour découvrir notre Panthéon »
Puis, un autre jour :
« Tout écrit commencé mérite d’être achevé… Il faut que tu termines ton livre ! »
A la suite de quoi, elle a su me convaincre et m’a, vivement, encouragé à terminer ce roman .
Ainsi va la vie…
« Si l’exil ne vous tue pas sur le coup, il vous donne des ailes »
Maïa ALONSO
Et, Yves-Luigi de constater, a posteriori , qu’ainsi va l’amour… aussi !
Remerciements à…
Maman… qui m’a tout donné,
Pépé Michel & Mémé Dédée… de qui j’ai tout pris,
Pépé Louis… de qui j’ai beaucoup appris,
Nicky… mon épouse que j’aime par-dessus tout,
Mes enfants… dérobés,
Jean et Josée… qui m’ont accueilli,
Norbert E.M… qui est passé trop vite,
Gilbert… qui m’a ouvert la voie,
Alain V., alias Billy Elliots 1 … qui m’a le plus étonné,
Patrick, Faby, Jade, Florent, Nathan et Mina,
Jean, Anne, David, Delphine et Thomas,
Jean et Véronique,
Alain W… qui nous a quittés trop tôt,
Agnès N.,
Irène S.,
Sarah et Laure,
Hervé Fabregues de l ’E cole C ommunale Cinématographique de Sidi M oussa,
Jo SOHET… mon mentor au masculin,
Maïa ALONSO 2 … passionnément surnommée : MaHia, son eau de Vie…,
Mes copains et copines de la Punta Santa Anna ,
Le peuple Pied-Noir déraciné,
Jean BRUNE et son œuvre magistrale 3 ,
La Sépia – Jean BRUNE – Asie Pacifique –
Le Cercle Algérianiste de Nouvelle Calédonie,
Louis MEYZEN, le plus grand des Grands Calamars,
Samuel SAFRANA… qui me fait toujours rire aux larmes,
Pierre MARESCA 4 , Philippe GOMES et Corinne VOISIN,
Sydre, le plus adorable des Clebs,
… avec tout ou partie, de ma gratitude, de mon admiration, de mon affection et de mon amour.
1 – Un week-end sur deux et la moitié des vacances – Éditions Edilivre –
2 – L’odyssée de Grain de Bled en terre d’Ifriqiya – Éditions L’Harmattan. Le Soleil colonial – Au Royaume des cailloux – Éditions Atlantis-. Les enfants de la Licorne – Edition Atlantis –
3 – Cette haine qui ressemble à l’amour – Edition Atlantis –
4 – La caverne d’Alexandre – Éditions Edilivre –
Invitation
Outre une bonne dose d’impudeur, écrire, suppose audace, vanité, orgueil, prétention, mais aussi, humilité et courage. Humilité et courage, car, lorsque l’écriture est authentique, se livrer n’est pas une chose simple ; c’est, parfois même, très difficile…, et sauter le pas, relève du défi.
En effet, s’il est facile de voir où la plume commence son chemin, nul ne sait, à l’avance, où et quand, elle s’arrêtera… Et, entre ces deux points, le contenu, dans la forme et dans le fond, ne sera connu… une fois le stylo à plume refermé.
Sachant que la seule règle imposée consiste à conserver en l’état l’ensemble des écrits, il sera aisé de comprendre, dans ce cas, qu’en écrivant, tout auteur prend un risque.
« Et moi donc !
Cette règle, je la fais mienne, et advienne que pourra à la lecture des pages qui vont suivre :
Toi, qui en est encore à suivre le tracé de ces lettres ordonnées en mots et phrases, couchées en pleins et déliés, à l’encre violette sur cette page blanche…, si tu as aimé, si tu aimes encore ou si tu t’apprêtes à aimer, accepte les (Parenthèses… qui vont suivre…
Sinon, je t’invite à reposer ce manuscrit, là où tu l’as trouvé, rien en lui ne te concerne, tu ne t’y retrouveras pas ! »
Louis.
Préambule
Dans les pages qui vont suivre, certains passages ou certaines situations présenteront de fortes ressemblances ou feront référence au roman de Benoîte GROULT : Les vaisseaux du cœur.
Dans le cas de ressemblances, ceci n’est le fait, de ce que d’aucuns nomment, communément, des coïncidences. Des coïncidences – troublantes, certes ! –, mais des coïncidences dont le constat a eu pour effet de troubler Louis, sinon de le laisser empli d’interrogations, tant il n’a pu en percer les mystères.
Dans le cas des références, ceci ne tient qu’au grand émoi, dans lequel l’a plongé la lecture de la mirifique histoire de George et Gauvain . 5
Loin de lui la tentative de plagiat, tant il revendique sa qualité de Cormoran 6 et tant ces deux histoires originales sont à la fois similaires et distinctes.
Louis avait trente trois ans tandis qu’il commençait l’écriture de leur histoire, bien avant la parution du roman de Benoîte GROULT. C’était la première fois qu’il osait écrire, et qui plus est, sur le thème de ses sentiments et de ses amoures.
Voilà, au moins, un point commun entre ces deux histoires : celle de George et Gauvain , et celle d’Isiana et Louis. Elles sont, suffisamment, insolites et belles pour générer, chez des personnages très différents, des réactions, des agissements et un mode d’expression identiques.
Certes, (Parenthèses … est un roman. Mais toutes ressemblances avec des lieux et des personnages existants ou ayant existés, ne sont pas le fait du hasard : elles sont, tout simplement, authentiques et volontaires. Ceci, afin de confirmer qu’un tel bonheur peut très bien arriver à tout un chacun, et, que le hasard n’existe pas.
D’une manière générale, les faits ne correspondent pas à la réalité des personnages. Toutefois, tout le matériau utilisé est réel et, donc, véritable. Ce roman est une adaptation très libre des véritables moments de vie de plusieurs personnages en qui tout un chacun se reconnaîtra aux détours de leurs parcours personnels. Malgré tout, ce livre n’est pas une biographie ni une autobiographie… c’est bien un roman !
5 . Les deux personnages du livre Les vaisseaux du Cœur. Toute référence consciente et volontaire, au livre Les vaisseaux du Cœur, sera signalée, dans ce récit, par un *.
6 . Surnom de Gauvin dans Les Vaisseaux du Cœur
Dédicace
À Isiana…
À quarante trois ans, et après mon infarctus d’octobre dernier, je ne sais, aujourd’hui, ce qui, des « vaisseaux » ou du « cœur », est le plus important…
Et puis, dans la vie, il y a le cœur, et, il y a le sexe… !
De même, qui dit « vaisseaux », peut rêver « voyages » !
Et qui rêve « voyages », peut penser « transports ».
Alors, quand les « transports » sont ceux de l’âme, du cœur, et de l’esprit, cela s’appelle aussi l’Amour.
Et l’Amour, ça passe par le sexe… aussi !
Alors, avec tout cela, je ne saurais qualifier notre histoire tant les sentiments s’entrecroisent, s’entremêlent et s’interpénètrent, et, tant notre belle histoire est un tout en elle-même.


Aussi, m’arrive-t-il souvent de songer à cette cruelle réalité : « Les amants sont seuls au monde et hors du temps. Ou plutôt, ils s’en retirent volontairement et pendant une durée, fatalement, limitée… » 7
… et ce…, jusqu’à leur prochaine (Parenthèse…
Et, « Si les plus beaux jours sont ceux qui restent à vivre ! » d’avance je t’offre tous les miens… car rien n’est plus beau qu’une vie de Cormoran *, avec toi.
Louis.
7 . Réflexion empruntée à un auteur inconnu. Que celui-ci me pardonne et accepte mes remerciements.
Un quart de siècle plus tard…
Vingt-trois heures quarante cinq, dans son lit, Louis parcourt, dubitatif, un ouvrage sur La solitude . Cette solitude qui, aux dires de l’auteur, possède toutes les vertus du retour à soi-même… Cette solitude qui nourrit l’imagination, la créativité, et – allons-y, ne lésinons pas ! –, la découverte d’un moi authentique… Ou comment apprendre à se suffire à soi-même !
– « Rien que ça, Fils ? Tu parles ! » marmonne-t-il, sceptique, les yeux au plafond, tandis qu’en sourdine, ses deux Cabasse 8 distillent, fidèlement, Listen To The Music des DOOBIE BROTHERS emmenés par la voix unificatrice de Tom JOHNSTON amplifiée des chœurs irradiants de ses frères allumés. 9
Au diapason sur les paroles et la mélodie de cette chanson culte… il lit ce livre dans le secret espoir de trouver un remède, une conviction… Et surtout, en attendant que son comprimé de Stilnox ne fasse son effet, et ne l’emporte dans un sommeil amnésique. Car sa souffrance n’est pas de vivre seul, mais de survivre sans Elle.
Assurément, de plus en plus souvent, il aimerait disposer de moins de temps pour un retour sur lui-même… Moins de temps pour imaginer, moins de temps pour créer. Pour autant, n’en serait-il pas, capable d’accéder à la découverte de son moi authentique ?
– « Je demande à voir ! » se propose-t-il.
Hélas, oui ! Combien aimerait-il ne pas disposer de tout ce temps disponible imposé pour lui tout seul et sa seule introspection ? Ô combien aimerait-il…
Le téléphone sonne…, un coup d’œil sur sa montre de plongée…, à cette heure-ci, ça ne peut être qu’Isiana !
– Allô, Ponzoirh !, lui dit-elle, la voix douloureusement enrouée et le nez complètement bouché, par dessus son accent qui le fait toujours craquer, depuis… un quart de siècle.
– How do you feel? I hear that you feel bad! 10
– Yes! My allergy is stronger now, years after years! 11
Et lui, de tenter de la convaincre, sur le thème de :
– Viens te faire soigner, ici, à Paris. Cela prendra dix jours, à l’Institut Pasteur… Dix jours que nous passerons ensemble, avec pour toi, le plus sérieux des alibis !
– Yes, you are right! I will do this in September! This will be our next Parenthesis…! Now, tell me about your book? 12
– You know, now it’s been years since I write; it’s been over three hundred seventy manuscript pages. I’m working hard on it… But I cannot put a final point to this book… to our history. I’m afraid that means I only want to put a final point to our story. And this, I don’t want it. However, you must know.

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