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Description
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 05 juillet 2013 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782332578068 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-57804-4
© Edilivre, 2013
Citation
Je ne peux m’étendre, m’apaiser,
Je dois quitter les voix anciennes,
Me projeter au loin, voler,
Partir où l’infini me mène.
Hermann Hesse
Dédicace
A la mémoire de Philippe, trop tôt disparu.
Remerciements
Merci à :
– Hélène, Béatrice, Jeanne et Raymond, pour votre soutien et votre amour intemporel.
– Sandrine, Frédérik et Gérard pour vos attentives et amicales relectures.
– Mes enfants, Léa, Quentin et Coline, éternelles sources d’inspiration .
Amitié, Amour, Passion
Vous aviez mon cœur,
Moi, j’avais le vôtre :
Un cœur pour un cœur ;
Bonheur pour bonheur !
Marceline Desbordes-Valmore
Evocations du partage
Là où partout subsiste encore la transe
Des rencontres multicolores,
Tel un chercheur sans emphase,
Je m’enivre des parfums de l’extase,
Délicate et soyeuse illusion d’un abord.
Ainsi, je m’en vais là, toucher du regard,
Et sentir de mes yeux,
La grâce tourbillonnante d’un sens,
Où les rires, les pleurs et parfois la chance,
D’un face à face, m’attire ici, bien des égards ;
Aussi, dans l’intime et subtil bosquet d’une danse,
Je vois briller étincelante, la sublime évocation
De nos cœurs complices sans au revoir.
Comme d’avides et providentielles attractions,
J’entends par mes sens,
L’éternelle magie du partage d’un soir.
Enfin boire à la coupe de l’amitié,
Et de l’amour, lancer vers toi une flèche.
Celle tendue telle une corde à nos âges,
Où pas un jour, sans toi revêche,
Je caresse ton corps dans l’orage.
Et, amoureux en partance,
Je savoure le temps où sans ombrage,
Nous voguons sur nos lits rassasiés,
Chevauchant tendrement les fils tissés,
De nos fières chevelures ailées.
Rêve
Encore et toujours
D’un espace, d’un lieu
Dans l’infini des possibles
Où chaque jour
Ne jamais finit,
Où chaque nuit
A jamais tu chéris,
L’ivresse
Et la grandeur de l’amour ;
Toujours et sans cesse
Recommencer,
Et frémir à l’idée,
D’un premier baiser
Volé, à l’éternité.
Cœur à cœur
Nos corps à corps
Dans nos formes s’accordent,
A parfaire nos cœurs à cœur,
A refaire nos bords à bords,
Touché serein, caresses à nos pores.
Et quand nos langues s’entremêlent,
En verbiages intenses de nos douleurs,
A défaut, la douceur de nos lèvres,
Evoque plus de sentiments
Que nos maux lâchés, pêle-mêle.
Contresens ou contrefaçon des comment,
Les pourquoi s’installent en vainqueurs,
Conquérant...