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Description
« Encore, on recommence
La plume dédiée au pupitre
Quand le poète se tait
Pour faire briller les faits
Je me tuerai à le suivre
Dans un monde enfin serein
Donnerai naissance à ce qui vient
Bannir les maux, bénir les tiens. »
Dans ce recueil de poèmes en prose et en vers, les lettres de Kévin Louis-David Saade se dirigent vers une lumière, celle de la vérité et de la rédemption. Précédemment esquissée et annoncée dans des poèmes révélateurs d’un monde étrange, l’auteur nous livre cette fois une version éclaircie qui trouve une résonance dans les événements de jadis et d'aujourd'hui. Entre joies communes et tourments voisins, chacun peut se reconnaître et savoir ce prochain plus proche de soi.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 23 novembre 2016 |
Nombre de lectures | 4 |
EAN13 | 9782334235662 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-334-23564-8
© Edilivre, 2016
Dédicace
Dédié à toutes les personnes bienveillantes.
L’égard onirique
Mon pinceau
De rinceaux
S’épuise
A rêver
D’austères
Maleterres
Aux traîtrises
A souiller
Rivalisent encore
Ici et là
Entre plaines insonores
Et hantises d’état
D’un espoir perdu
D’une chute de lune
Du mal vécu
Des peines de l’une
Au silence d’aménité
Des solitudes d’agonie
A l’aurore aconchée
Des natures vernies
Sous la raison
D’une oraison
Paraît la neuve
Génuflexion
Pour la grandeur sans fin
Fertile au matin
Quand l’élection veuve
Se présente au pèlerin.
L’armistice du juste
L’océan de sang
Commencé tristement
Par l’hémorragie indignée
Du seul innocent
Comme une perte
L’Humanité ouverte
Souffre, chagrinée
Quand s’use la serte
L’autre est ce joyau
Notre pierre fondatrice
Salvateur étau
Ferme les cicatrices
J’irai vers le soleil
Sans qu’il ne m’aveugle
Accueillerai les lumières
...