Ceci n'est pas de la poésie

Audrey Michel

Description

Les apparences sont parfois (souvent ?) trompeuses

Approche minimaliste, dépouillée et décomplexée de la poésie, tels sont les maîtres mots de cet ouvrage qui aurait pu s’appeler « Les mots qui dansent dans le but de donner du sens aux choses de la vie ». Mettant en avant une esthétique visuelle, chaque mot suggère d’abord image, ensuite émotion.

Mais il y a aussi cette dimension ludique, briseuse de codes classiques, rendant le livre accessible, divertissant et intense, qui se base sur:

- Le fait de devoir trouver le sens du texte tel un enquêteur

- La double dimension des textes (relire le texte une seconde fois après avoir pris en compte le titre permet de susciter d'autres émotions que lors de la première lecture)

Envolez-vous, en toute liberté, aux côtés des mots et de leurs mélodies.

Sujets

• Littérature
• Poésie
• Dimensión

Informations

• Publié par: Nombre7 Editions
• Date de parution: 22 octobre 2021
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782381538044
• Langue: Français

Extrait

ISBN : 9782381538044
 
L’œuvre présente sur le fichier que vous venez d’acquérir est protégée par le droit d’auteur. Toute copie ou utilisation autre que personnelle constituera une contrefaçon et sera susceptible d’entraîner des poursuites civiles et pénales.
 
 
Ceci n’est pas de la poésie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La SAS 2C4L — NOMBRE7, ainsi que tous les prestataires de production participant à la réalisation de cet ouvrage ne sauraient être tenus pour responsables de quelque manière que ce soit, du contenu en général, de la portée du contenu du texte, ni de la teneur de certains propos en particulier, contenus dans cet ouvrage ni dans quelque ouvrage qu’ils produisent à la demande et pour le compte d’un auteur ou d’un éditeur tiers, qui en endosse la pleine et entière responsabilité.
Audrey Michel
 
 
 
 
Ceci n’est pas de la poésie
 
 
 
 
 
 
 
À mes filles, qui chaque jour me font découvrir la véritable poésie de ce monde.
 
Sous sa peau, Un labyrinthe de veines, Pour un cœur qui bat à perdre haleine, Et des cellules qui se tournent le dos.
Sur son corps, L’évidente beauté universelle, Toujours vêtue de fines dentelles, Et, les jours de fête, d’or.
Sur son visage, Le contraste inattendu, Entre un jeune nez pointu Et les majestueuses traces de l’âge.
Dans son cœur, Des larmes violettes Coulent sur des blessures ouvertes. Ils ont voulu lui faire peur.
Mais dans ses yeux, Brillent toujours les Lumières Celles de la fête et des Lettres, Et d’un monde joyeux.

 
Paris.
Je les observe. ...