Dans les tourmentes de l amour
104 pages
Français

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Dans les tourmentes de l'amour , livre ebook

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Description

« Je ne suis que des mots d’amour perdus sur les pages de votre vie. Des mots qui se veulent plein de prières sourdes, ballottés par les vents, arrosés par les embruns. Des mots forts, emplis d’émotion, qui s’attardent sur votre passé, éveillent toute votre sensibilité, amenant parfois les larmes salvatrices de vos plus beaux et douloureux souvenirs. »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 24 juin 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334172370
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-17235-6

© Edilivre, 2016
C’était avant toi
J’ai vu sur mon chemin
Plus d’un au revoir
Aux fenêtres des trains
Beaucoup trop de mouchoirs
Essuyant des regards éteints.
Sous la pluie, dans le souffle du vent
J’ai entendu des mots doux qu’un baiser accompagne
Ces baisers emportés par le vent
Finissant leur course dans les flots, où souvent,
Mon cœur sombrait comme enseveli sous une montagne.
J’ai vu malgré mes frayeurs, espérer un autre avenir
L’amour m’abandonner dans cette froidure
Senti mon cœur doucement mourir
Pour avec toi, renaître et à nouveau battre la mesure.
Est-ce l’amour derrière ma voix ?
Là, derrière ma voix
Est-ce qu’enfin tu vois
Ce qu’est ma vie de l’intérieur
L’amour que j’ai dans mon cœur
Là, derrière mes mots
Est-ce que tu sens tous mes sanglots ?
Ceux que je dissimule
Depuis tant de lunes
Là, si tu aperçois
Ce que je porte au fond de moi
C’est que, comme moi, tu es tendresse
Et que tu portes en toi, l’allégresse.
Là, derrière ma voix
Est-ce qu’enfin tu vois
Ce qu’est ma vie de l’intérieur
L’amour que j’ai dans mon cœur
Je t’aime dans tes silences
Toi qui lis dans mes poèmes
Ces tristes voix, ces accents désolés,
Sache que je n’ai pas toujours été
Celle que tu connais, la même.
J’ai donné des ailes d’aigle
A mes vers, pour qu’ils s’élèvent
Et enfin t’atteignent
Au-delà des frontières, du règne,
Celui de l’amour
Qui grandit chaque jour.
Je t’aime dans tes silences !
Mon amour n’est qu’errance !
L’amour renaîtra toujours
Quand un souffle d’amour traverse nos poitrines
Sur des flots de bonheur nous tient suspendus
La beauté de nos vies soudain se dessine
Alors l’amour se donne à corps perdus.
Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Qui couvent dans nos flancs et nous étreignent
Chaque jour gonflent, grandissent la voilure
Jusqu’à ce que les lumières s’éteignent.
Alors un autre cœur s’ouvrira ; il reprendra la trame
De nos espoirs perdus, de nos amours défunts
Immortalisant nos rêves et notre flamme
Pour les jours à venir, les mois prochains.
Ma vie n’est, que si elle est vécue avec toi
Comme tu peux le voir bien des fois
Ma vie n’a de valeur pour moi
Que si elle est vécue avec toi
Si chaque jour tu me serres dans tes bras.
Quand tu pars, avec toi me quitte
Tout ce qui me reste de joie
Je ressens cette solitude avec effroi
Je me sens désertée, plus rien ne m’habite.
Il ne reste plus qu’en moi, cette violence
De cet amour, de ses feux passionnés
Qui me laissent parfois comme hébétée
Mais emplie de joie, d’espérance.
Mes belles saisons
J’aime la neige qui tombe en mordant mon visage
La cheminée où le feu crépite, la pluie, le vent,
Le temps incertain, la course des nuages
Alors que tes bras enserrent mon corps tremblant
Le soleil de mon cœur ne peut disparaître
Il sait se montrer caressant, brûlant,
Et lorsque les pensées frappent à ma fenêtre,
Voguent les vagues de tristesse sur l’océan.
J’aime sortir de ces profondeurs abyssales
Dans tes bras, emprisonnée,
Me souvenir de ces senteurs orientales
Si enivrantes au cœur de l’été.
Rien ne vaut ta bouche
Aucune de tes pensées, en vol vers moi
Aucun des rayons de soleil qui t’éclairent de leur intense lumière
N’exaucera la plus belle de mes prières
Me noyer dans tes yeux, sentir la caresse de tes doigts
Mais rien de ce que je touche
Ne vaut la saveur de ta bouche
Où je me suis vue mourir de plaisir
Et appeler encore plus de désir,
Que ta bouche malmène et enflamme
Cette fleur, centre de ce désordre
Qu’elle me vide l’âme
Et laisse mon corps se tordre.
Ton amour me ressource
Au plus fort de la tempête, les vagues s’échouent
Les goélands étirent leurs ailes alourdies
Dans les fortes bourrasques leurs cris s’enrouent
Le froid paralyse mes mains, elles sont engourdies
Arrosée par l’écume qui continue de voler
Je savoure cet instant, je pense à lui
Lorsque ce matin il s’est levé
Tendrement il m’a attiré contre lui
Déposant sur mon visage encore endormi
Les baisers sortis de ses lèvres si douces
Sur cette plage où l’horizon disparait dans l’infini
Je comprends que seul son amour me ressource.
Tu es le serviteur de mes joies
Tu es ma lumière, mon bonheur
Et les jours pour moi, les plus heureux,
Sont ces nuits où d’un regard amoureux
Je lis l’amour dans tes yeux, cette douce lueur
Tu es le serviteur de mes joies
L’éternel et le plus fidèle de ma vie
Tu donnes à mes jours, la douceur, cette tendresse infinie
Et à mon cœur, la beauté d’autrefois.
Il ne saurait me manquer de plus grand bonheur
Que de garder à tout jamais la faveur
La chance d’avoir encore pour très longtemps
Cet amour d’antan.
Tu ne m’as pas tuée
Parfois je disparais car la douleur fond sur ma chair
Elle annihile mon cerveau, efface toute ma volonté
Alors je me bats contre elle, oubliant d’être fière
Dans ce combat qui parfois me prend toutes mes journées.
Elle parvient à s’immiscer jusqu’à mes os rafistolés
Me fait tordre dans ce lit comme une bête sauvage
Serrer les poings pour que ma bouche ainsi muselée
Ne puisse crier, cette colère, cet outrage.
Alors, dans ces moment-là, je disparais complètement
J’attends le répit, une trêve,
J’en oublie mes amies, mes amours, un court instant
Je concentre mon énergie sur moi ; Alors je me relève
Pour écrire ces mots si pleins d’amour
Te dire que tu ne m’as pas tuée, je suis vivante
Que s’éparpillent un peu plus chaque jour,
Ces mots griffonnés que je chante.
Dis-moi que tu m’abandonnes ta beauté
J’ai admiré ton corps altier
Je l’ai regardé sans oser l’effleurer
Les mains rivées sur mes genoux
Caressant parfois mon cou
Perdue dans la contemplation de ta splendeur
Incapable de contrôler les battements de mon cœur.
Alors, je t’ai aimé passionnément
Sous le charme de ce moment
Je me suis soudain sentie soumise
Mes sens envoûtés par cette douce, étrange musique.
Ton...

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