La lecture à portée de main
Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisDécouvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisVous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Description
Après la publication, au sortir de l'adolescence, d'un premier recueil de poèmes parus en 1957 aux Éditions de Minuit, l'auteur a continué à écrire de la poésie en fragments dispersés presque tous les jours ; mais il ne l'a plus jamais publiée ni montrée : l'apprentissage de la vie, surtout professionnelle, était trop passionnant, pour que le partage de l'émotion d'un écrit lui semble indispensable pour satisfaire son empathie naturelle.
Le temps de la sagesse étant venu, les premiers de ces textes, écrits entre 1958 et 1970, ont été rassemblés aujourd'hui dans ce recueil en vue d’être publiés. Un autre recueil suivra de poèmes, écrits aussi au quotidien entre 1970 et 1982, jusqu'à ce que la peinture, devienne pour lui le meilleur vecteur pour parler à l'autre.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 01 juillet 2015 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782332934598 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-93457-4
© Edilivre, 2015
Du même auteur
Du même auteur :
L’Étude intérieure , Éditions de Minuit, Paris, 1957.
L’Impasse infinie
J e t’aime
Mais comment le dire sans t’affoler
Comment laisser
Parler tous les soleils déchirés
Qui t’espéraient le soir
Marcher
Te raconter les arbres
Les chemins sans désirs et les sillons gelés
Suivis en répétant ton nom que j’ignorais
L’ajonc tiédi des pins lisait vers l’océan souvent
Une impression de toi l’image naviguée
De tes hanches invisibles effleurait des parfums
Jetés en touffes au vent du soir
La mer
Lumineuse ou nuptiale la neige
Entre mes doigts démontrés avaient tes yeux pour les aimer
Mais les ciels interdits des vitraux de vacances
Inséraient ta venue dans l’or de leur passé
Sur les labours du monde
Une charrue laissée pour te dire ma présence
Attendait ton passage,
L’ombre verdie des pailles nues
Dans l’eau ensommeillée
Veillait
Et pâle et las d’étendre ses plages bleues déçues
...