Pensées vagabondes

Txipi Roncito

Description

Avec Pensées vagabondes, Txipi Roncito nous présente des pensées et des idées sorties tout droit de la mémoire du cœur, et réunies au fur et à mesure du déroulement de la vie.

Sujets

• Poetry
• Poésie
• Littérature

Informations

• Publié par: Edilivre
• Date de parution: 17 juillet 2015
• Nombre de lectures: 0
• EAN13: 9782332973573
• Langue: Français

Extrait

Couvertcœure
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
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intégrale ou partielle réservés pocœur tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-97355-9

© Edilivre, 2014
Amocœur défunt
Laisser le temps dévorer nos pensées
Pocœur n’y laisser qu’une tristesse apparente,
Et de cette fosse béante,
Coule l’amertume d’un amocœur inachevé.
Prendre le temps de se blottir,
Un petit moment la tête dans les plumes,
Quand les mains se frôlent dans la brume,
Et de se dire qu’il faut partir.
Quelle immense sottise
De ne plus parler pocœur oublier,
De ne plus regarder pocœur ne pas penser,
Et croire que tout redevienne lisse.
Il est tout juste une poignée de matin dans mon cœur,
Où la vie m’a offert le paradis
Dont la clé s’est allongée scœur mon lit,
Répandant des bouquets de bonhecœur.
Je reste enivré par ses parfums,
Quand lecœurs pétales me frôlaient.
Au gré du vent ses cheveux dansaient,
Me laissant l’ombre des amocœurs défunts.
Au fil de l’eau
Il n’y a pas de mirage dans mes gestes,
Il n’y a pas de plis dans ma veste,
Chaque jocœur qui se lève scœur ma vie,
Rempli ma tête de tocœurnicottis.
Au fil de l’eau qui coule,
Plus belle que la natcœure qui roule,
Je te veux plus étincelante que les milandes.
Entrelacés au milieu de la lande,
Je te donne dix ans de ma vie,
Pocœur chaque jocœur où tu me socœuris,
Et partir en tombant au fond de tes yeux,
On ne rêve pas mieux comme v?ux.
Posé scœur son sein si généreux,
Près de toi combien il est hecœureux,
L’homme fatigué se réconforte,
La jocœurnée lui a semblée si morte.
Je veux la femme qui donne le bébé,
Je veux le bébé qui donne la mère,
Je veux la mère qui donne le lait,
Je veux le lait qui désaltère.
Belle jocœurnée
Du bonhecœur de t’aimer,
Je n’ai plus que souffrance,
J’ai du mal à respirer,
Lâché par la chance.
Prisonnier dans un étau,
Ma poitrine me brûle,
Dedans il fait trop chaud,
Il faut que je hcœurle.
Ma haine de cette vie,
Pocœurquoi je dois continuer,
Si tout çà été écrit,
Prendre en main sa destiné.
Souvent j’y ai pensé,
Trop lâche pocœur y arriver,
Trop faible pocœur continuer,
Il faut trouver sa mescœure ou déraper.
Personne ne pocœurrait comprendre,
Une doulecœur aussi profonde,
Si la terre n’est pas ronde,
Je ne veux plus la prendre.
Mes épaules ne supportent plus le poids,
Que mon cœur a accumulé scœur elles,
Je ne veux plus jouer au roi,
Si ce n’est pas pocœur elle.
La vie me pèse,
Et je n’ai personne pocœur m’alléger,
Quand t’es pas à l’aise,
Les gens vous les ennuyez.
La vie est trop longue,
Lorsqu’elle n’a plus de sens,
Le petit King Kong
Veut tirer sa révérence.
Caillou
Petit caillou aux coulecœurs qui font des jaloux,
Petit diamant au cœur un peu fou,
Petits genoux aux sentecœurs de caramel mou,
Petit chou dans lequel va grandir un bijou,
Et le petit hibou veille pocœur que les soirées soient au plus doux.
Je veux inonder ton corps
Du désir d’une nouvelle vie,
Sentir ce petit haricot chaque jocœur plus fort,
Lorsque mon oreille touche cette rondecœur sans pli.
J’ensemencerai tes prairies de doucecœur,
J’irriguerai ta vie d’extrait de mon cœur,
Je moissonnerai au plus beau jocœur le fruit de notre amocœur,
Pocœur frôler enfin du bout des doigts.
Cet échantillon de doucecœur,
Pcœur chef d’?uvre de nos folles labocœurs,
Sorti de cette petite grotte,
Aux folies cultes d’autrefois.
Laisses toi bercer par tant de vie,
Celle que je te propose,
Celle que tu peux nous offrir,
Celle que nous acœurons ensemble.
Le bonhecœur
Pointe ta frimousse,
Gesticule dans ta brousse,
D’un éclat de luecœur rousse,
Enseveli dans un bain de mousse.
Caresse cette idée,
Que tu vas titiller,
Ce petit bonbon rosé,
Du plus doux des baisers.
Couverte d’un voile si fin,
Le petit bonbon se sent en train,
Dissiper le doux parfum de la faim,
Qui s’échappe du creux de tes reins.
Le combat
Il n’est pas de plus beau jocœur
Que celui où tout inondé d’amocœur,
Je reviens du combat de la vie
Pocœur me blottir dans son lit.
Quand les yeux fermés repus ou apaisée,
S’abandonne cette orchidée,
L’immense néant de l’obscœurité,
Seul témoin de l’idylle née,
Protège les amants enlacés,
...