Poèmes de coeur, poèmes de combat
172 pages
Français

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Poèmes de coeur, poèmes de combat , livre ebook

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Description

Mohamed Laïd Athmani est licencié de lettres françaises. Poète, nouvelliste et romancier, il a à son actif sept recueils de poèmes, deux recueils de nouvelles, un recueil de contes et un roman. Son premier recueil de poèmes intitulé « Octobre noir » relatant les « événements d'octobre 1988 » en Algérie fut édité en France en 1992 auprès de La Pensée universelle. Son nouveau recueil de poèmes, « Poèmes de cœur, poèmes de combat » est un écrit qui signifie, on ne peut mieux, que la vie est faite d'amour pour soi et pour son prochain. Mais qu'elle est aussi une lutte constante entre le bien et le mal, et pour notre « notre frère l'homme ». Composé de cent onze poèmes, « Poèmes de cœur, poèmes de combat » est un « recueil-cri » d'amour, de bonne justice et de pure fraternité.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 31 août 2016
Nombre de lectures 5
EAN13 9782342055061
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0075€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Poèmes de coeur, poèmes de combat
Mohamed Laïd Athmani
Mon Petit Editeur

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Mon Petit Editeur
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
Poèmes de coeur, poèmes de combat
 
 
 
« Qu’est-ce que des cœurs
Sans flammes ?
Et qu’est-ce que des âmes
Sans cœurs ? »
 
« Entre les peines du cœur
et les souffrances du corps
mon âme se balance. »
 
« Il y a un cœur qui bat
pour un autre cœur qui bat
et à qui saura le mieux
battre pour l’autre. »
 
« Vous est-il arrivé un jour
que l’on vous dise qu’il y a
des paroles qui valent de l’or ? »
Préambule
Poèmes de cœur, poèmes de combat est le titre de ce nouveau recueil de poèmes imprévus. Pour dire à la fin que la poésie dans sa pratique s’impose beaucoup plus au poète qu’elle ne se commande d’un coup de baguette magique.
La poésie est un élan du cœur, une flamme qui vous enflamme, une impulsion qui prend possession de vous, qui vous entraîne dans des sentiers forts sinueux et très souvent escarpés qui, fortement, vous étreint et vous commande jusqu’à son accomplissement définitif, jusqu’à la fin.
Nul repos pour le poète tant qu’il n’a pas exprimé ce qui le touche, ce qui le navre, ce qui le sollicite, ce qui lui plaît, ce qui le submerge, ce qui l’envahit ou ce qui, fortement, le séduit jusqu’au point de l’asservir.
Véritable plaque de résonance, le poète « résonne » ; il pleure, il crie, il balbutie, il s’émeut, il tonne, il scande, il a meute tout le monde, il pleure sur son sort et sur le sort d’autrui, sur le sort de ses frères et de ses sœurs, sur le sort de son pays, sur le sort de la nature, sur le sort des animaux, sur le sort du monde entier.
Rien n’est prévu et ne peut être prévu en poésie tout vous tombe dessus, vous submerge, vous envahit, et nulle fuite en avant, nulle échappatoire pour le poète tant qu’il ne s’est pas libéré, vidé de ce qui prend tant possession de lui en un moment donné, et qui est fort imprévu, de ce qui le domine, de ce qui devient le maître à bord de sa personne et de son âme, de ce qui, définitivement, s’agrippe de toutes ses serres crochues très fortement à lui.
 
Le recueil, Poèmes de cœur, poèmes de combat , se trouve, par la force de la réalité des choses et des faits qui le constituent, composé de deux parties :
une première : « Poèmes de cœur » qui est l’expression de mes sentiments, mes sensations au jour le jour concernant ce qui se passe en moi en tant qu’être humain fragile, sensible, aimant et très attachant et, une deuxième partie : « Poèmes de combat » pour exprimer ce qui se passe tout autour de moi, dans le monde, un monde déboussolé qui perd le nord, un monde où l’être humain dévalorisé ne pèse presque plus rien. Un monde secoué qui est actuellement plus que jamais le théâtre de faits qui n’ont jamais eu lieu en nos temps modernes, des faits si bouleversants et auxquels je ne peux : ni échapper, ni y demeurer indifférent, ni me dérober en tant que poète qui se veut au départ déjà : « Poète engagé ».
 
 
 
Je dédie ce recueil de poèmes à tous
ceux qui aiment, qui ont aimé, que
j’aime et qui m’ont aimé ainsi qu’à
tous ceux qui ne cessent de militer
pour un monde meilleur.
Poèmes de cœur
Un poème à ta mesure
Un éclatant rayon de lune tout doré
Tout à fait inattendu
Tout près de moi
Ô merveille !
Dans mon soir tombant
Miraculeusement vint à passer
Tout souriant de tout son éclat
Rayonnant il m’est apparu
Il m’est apparu tel qu’en un songe
Il m’est apparu tel un ange
 
Quelle ne fut pas ma surprise
Et tout mon ravissement aussi
En le voyant de mes yeux éblouis
Tout aussi brillant
Tout aussi éclatant
Tout près de moi passer
 
Faites ô mon Dieu
Qui êtes si haut dans les cieux
Que je puisse à chaque fois
Avoir le privilège
Et aussi ce plaisir de le voir passer !
Puisqu’à son passage je me suis senti
Ce soir-là
Si heureux
Si enchanté de l’avoir vu tout près de moi passer.
22 septembre 2012
 
 
Éblouissement matinal
Dans ce matin naissant
Qui tout doucement
S’étire et s’éclaire
Tout est rayon et lumière
Et si belles odorantes senteurs
Et voilà ô agréable surprise que je la voie
Ainsi que Toi parfois certainement tu la vois
Toute en fleurs elle est venue
Elle est venue toute rayonnante et tout heureuse
Ma muse
Ma si Chère Muse !
Heureuse vers moi elle est venue
M’offrir ses si belles fleurs tout en émoi
En émoi aussi je l’étais
Tout m’est permis dans le rêve
Et dans le rêve tout est à moi
J’y fais tout ce que je veux
Je suis le maître le plus heureux
Le plus heureux qui soit
Tout obéit à ma loi
Et les lettres
Et tous les mots
Tout est en moi et en moi j’ai tout ce qu’il me faut
Les mots anciens autant que les mots nouveaux
Ceux qui font rire les enfants
Ceux qui font réfléchir les grands
Ceux qui font pleurer les injustes mécréants
Ceux qui font frétiller les cœurs
Et ceux qui vous emplissent de bonheur
En moi j’ai tout ce qu’il me faut
Asseyez-vous auprès de moi
Ou bien permettez-moi de m’asseoir auprès de vous
Je vous en prie
Prenez donc le temps qui m’est donné que je vous donne
Sachez bien que vous êtes mon ange et ma madone
Vous êtes cet air qui en moi chantonne
Et cet état d’âme envahissant qui m’envahit
Vous êtes aussi cet air que je respire
Voilà mon Cher
Voilà ma Chère
Que tout éveillé je délire
Je vois ma fleur
Je vois ma si douce Fleur tout en couleur
Tout en couleurs chatoyantes avancer
D’un pas ferme et décidé
Toute en fleurs elle est venue
Elle est venue de tout son cœur
Heureuse vers moi elle est venue
Je vois en elle tout le sacré bonheur
Qu’elle me ramène dans son élan
Grandissant à mon approche
Et moi pris dans son halo parfumé
Excitant l’esprit à l’extrême et envoûtant
Je demeurais tout ébloui et à ma place tétanisé
Mais l’esprit poétiquement très vivement sollicité
Comme à mon habitude chaque fois qu’elle me visitait.
22 octobre 2012
 
 
Beauté 1
Une douceur !
Un délice !
Un être en chair et en os
Véritable calice
Ou un être tellement beau
Qu’il nous semble être factice ?
 
Un être souriant de toutes ses belles couleurs !
Et de toutes ses si petites
Et ses si belles dents
Ses si belles perles
Un être si beau auréolé de lumière
Un être au sourire si brillant et si fin
Ô bonheur !
Un être paraissant sans vouloir l’être
Si enjôleur !
 
Un vase !
Une coupe !
Un verre étincelant
Laissant filtrer une si étrange phosphorescence
Et bien au-dessus
Les reflets d’un arc-en-ciel inlassablement scintillant
Aurores boréales émanant du néant
Véritables fluorescences
 
Mon regard est divinement ébloui
Mon cœur frétille
Ma langue devant tout ce bonheur rapidement se délie
Pour faire ce poème
En l’honneur de cet être éblouissant que j’aime déjà
Et que je vous confie.
12 juin 2013
 
 
Ma muse
TRÈS CHÈRE MUSE !!!
BONJOUR !
Perdue de vue
Cela est bien vrai !
Tu viens donc me réveiller ?
Comment vas-TU ?
Et les études comment elles vont ?
Quant à moi je vais très bien
Comme TU vois je tourne en rond
Tiens cela !
Tu veux un bonbon ?
En voici prends-en !
Toujours poète ?
Bien sûr toujours poète !
Comme tout poète qui ne fait qu’à sa tête
À PLUS !
Poétesse.
 
 
Je t’en prie
Viens ici mon ami(e)
Je t’en prie
Viens ici mon ami(e)
Moi non plus aussi je n’en peux plus
Viens ici mon ami(e)
Je t’en prie
Je t’en prie au nom de l’amour
Et de ceux qui un jour
T’ont donné naissance
T’ont donné le jour
Je t’en prie au nom de la vie
Et de tous ceux que tu as toujours chéris
Je t’en prie au nom de la fidélité
Et de celle qui t’a enfanté(e)
 
Viens ici mon ami(e)
Je t’en prie
Viens ici mon ami(e)
Moi non plus aussi je n’en peux plus
Viens ici mon ami(e)
Je t’en prie.
 
 
Dévouement
Il suffit que je vous rencontre
Il suffit que j’entende votre voix
Il suffit que je vous voie
Pour que mon cœur se réveille
Pour que mon cœur appréhende votre cœur
Et aussitôt s’y noie
 
J’ai affectionné mes frères
J’ai affectionné mes sœurs
Et sans nulle distinction
J’ai affectionné et respecté mes pairs
Comment pourrai-je donc trahir
Et ne point pour tout ce qui vous survient compatir ?
 
J’ai vu la peine dans vos yeux
Et la douce bonté dans votre cœur
Comment ne pas vous tendre ma main
Quand vous vous tendez les deux ?
À tous ceux qui viennent
À tous ceux qui s’en vont
 
Vous n’avez jamais hésité à aider
Comme vous n’avez jamais osé ne pas donner
À ceux auxquels il fallait donner
Aux uns et aux autres
Aux plus pauvres
Aux plus démunis
À tous ceux aussi qui avaient le mérite
Le mérite de ne point mendier
Quoique dans le besoin vous étiez.
 
 
Autre vision
Autrement branchés
Mes Frères le sont
Devant un enfant et un vautour
Ils ne voient que le vautour
 
Un vautour qui guette sa proie
Et bientôt un cadavre
Un cadavre envahi de vermine
 
Quand
Révolté
Je vois un enfant affamé
Cherchant par terre quelques grains à manger
Je parle de famine dans le monde
 
Quand hélas mes frères voient
Tout autre chose en la machine
Qui n’est pas du tout ronde
 
Allons mes Frères !
Mettez un bâton à la main de l’enfant
Un bon bout de pain entre ses dents
Et voilà que le vautour apeuré
Aussitôt son envol prend.
 
 
Anissa G.
En l’honneur d’un être cher : une parente qui n’est autre
que la jeune chanteuse et musicienne algéro-italienne :
Anissa G. qui mène un long et dur combat en Algérie et en
Italie pour réussir, et elle réussira certainement.
Elle s’occupe aussi en Italie de l’ébergement, de l’insertion
de la

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