Nolli Secondus
120 pages
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Nolli Secondus , livre ebook

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Description

Le détective et personnage principal, Art, alias John Antoine Nathan Indiana Art, se retrouve encore une fois face à de multiples affaires qu’il doit résoudre.
Art, ce vendredi 10 octobre 2535, les musiciens :
« Re-bonjour Nathan. Je suis ravie de vous revoir ! Comme vous pouvez le présumer, je vais très bien. C’est étonnant comme la mort de l’être humain, de ce côté de l’espace-temps, peut paraître insignifiante... Ici sur le plénitude avec ce transporteur et du fin fond de l’infini où nous sommes... »


(Les aventures de John Antoine Nathan Indian Art.)

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 17 octobre 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334220811
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-22079-8

© Edilivre, 2016
Épisode précédent (Anamorphose, papillons et étoiles filantes). Publiez-le, 2 mars 2015.
Voilà ma mission était accomplie, je venais de récupérer le dossier « Ecopeinter ». Il ne me restait plus qu’à attendre l’heure de mon retour et de mon réveil. Il ne me restait à peu près plus que 15 heures avant l’heure programmées sur le convecteur temporel. Exactement 15 heures 6 minutes et 66 secondes pour pouvoir revenir indemne en 2012. Ou bien alors je n’avais plus qu’à rester là et être définitivement perdu dans un espace-temps parallèle à celui qui n’était déjà plus qu’une fraction de seconde de mon passé. Et j’avoue que d’être relativement conscient à la fois 9 années dans le futur et conscient ici dans le présent ça me foutait les pétoches. Le fait que pour moi encore une fois mes pensées puissent se balader dans des mondes parallèles encore inconnus jusqu’alors. Et qu’ici mon enveloppe charnelle risquait de disparaitre, de ne plus être réanimé. Ça me provoquait aux mêmes moments dans le cerveau, des décharges d’adrénaline qui me mettaient déjà en totale addiction. Avec toujours ce genre de désir pervers de ne plus revenir, cette envie de fuir. Ce genre de mal qui vous prend une fraction de seconde sur le bord d’une falaise, comme possédé par un démon. Une fraction de seconde juste, avant de sauter, juste avant de se fracasser les os sur les rochers une centaine de mettre plus bas dans l’océan.
Le temps de fermer la centrale d’ordinateur, de descendre les escaliers des trois étages qui séparait le poste de travail de la porte d’entrée de l’immeuble. Et j’étais sur le trottoir qui me menait vers chez moi, certainement.
La rue entre les autos et les piétons était plutôt bandée de monde pour cette fin de journée du 3 mars 2000… Une rue relativement étrange, aux allures futuristes. Ou l’on pouvait immanquablement remarquer quelques frises antiques aux dessus des façades. Quelque reste d’échoppes, surement, si je pouvais parler d’architecture ainsi dans ce monde. Sur la route elle-même dans les deux sens des autos aux couleurs pastel avec dessus de multiples dessins naïfs. Autos d’où l’on ne pouvait entendre sortir de leurs mécanismes de moteurs hybrides, qu’un léger tournoiement de rotor de bobine de cuivre. Avec tout autour semblait-il de nos mêmes rues de l’an 2000, des adjonctions contemporaines additionnées à des bâtiments qui furent existants jadis apparemment. Des adjonctions coutent que coute comme si un greffe architectural devait prendre se polymériser, pour donner naissance à une forme homogène. Dans une masse de béton de parpaing et de ferraille qui semblait maintenir vivante une entité de vie bien propre à elle ; une forme monolithique, une opération chirurgicale magnifiquement bien réussie avec de multiples injections de silicone et sans un seul rejet somme toute. Machinalement deux cents mètres plus loin comme si je l’avais toujours fait ainsi, je m’arrêtais devant une vitrine de magasin de jouets.
Introduction La sixième rencontre Le dossier Ecovoltaïque-Painters
Voilà ! « L’affaire était dans le sac à main… dans le sac je veux dire ». Enfin si je peux me permettre d’utiliser cette métaphore que vous aurez notée quelque peu railleuse, sans pour autant mon tenir rigueur. Je venais de convertir le dossier Ecopainters d’un seul clique sur l’ordinateur du clone, en un dossier de devises bancaires de quelques milliards d’euros. Le transfère devait être déjà opéré en ce moment même où je me réveillais au travers de multiple connectaient de liens informatiques dont seule la machine cybernétique en elle-même pouvait connaitre le système et la procédure algorithmique qui devait être opérée. En même temps que l’autre extrémité reliée à mon cerveau.
Les conversions de données au travers de ce système qui recevaient ses informations depuis un espace-temps parallèle. Avait surement après de savants calculs mathématiques déjà dû transformer toutes les images numériques qu’elle avait pu enregistrer. En même temps que mes informations cérébrales synaptiques et les pulsations de mon cœur en de multiples devises bancaires et en une intelligente monnaie sonnante et trébuchante. Il ne me restait plus qu’à revenir à moi en l’an 2012. Le calendrier du convecteur temporel sur les écrans de la machine de Virgile marquait l’heure exacte de mon retour au moment même où j’ouvris les yeux.
– Très bien, me revoilà de retour ! Je vais bien apparemment personne n’est là pour mon réveil.
– Si ! Je suis là derrière toi, comment vas-tu ?
– Ha ! Sandra. Tu es là. Je vais parfaitement bien ! Comment s’est comportée la machine ici ?
Art retira sa tête de l’appui-tête qui prolongeait à son extrémité le dossier de la machine. Appui-tête qui servait à maintenir en même temps parfaitement droit et perpendiculaire à son corps sa tête et son tronc cérébral le temps du voyage. Afin que les aiguilles soient parfaitement bien ajustées lors des injections. Il se leva du fauteuil, enleva sa combinaison et se rhabilla.
– Il semblerait que tout s’ait déroulé à merveille, comme réglé sur du papier à musique. -Il s’agit d’un nouveau dossier là sur la servante. Fit-il remarquer. Dossier n°3 ?
– Je l’ai trouvé là comme le précédent ! Quelqu’un d’autre a obligatoirement axé à cet endroit !
Quelqu’un qui a surement la clef ! Comme le dossier n°2, s’était étrange de trouver ce dossier n°3 de couleur orangé comme s’il provenait d’un espace différent, comme s’il provenait d’un monde parallèle lui-même.
– Et du côté de la vidéo que se passe-t-il ?
– Le compteur affiché un peu plus d’une heure d’enregistrement semblerait-il.
– Bien ! Restera plus qu’à classer les enregistrements dans une bibliothèque après les avoir répertoriés.
À présent j’en étais sure à chaque fois que je me transportais dans l’espace-temps avec cette machine. Je quittais quelque part définitivement ma réalité temporelle dont les coordonnés linéaires étaient définitivement effacés. Comme pour éviter semblait-il ce qui ressemblait à un genre d’empreinte fractale afin d’éviter la superposition de deux gènes non superposables. Une linéarité temporelle ou l’une des deux extrémités ineffablement serait effacée. Afin que pour l’ordre des choses et que la nature par sa conception génétique créative évite ainsi, une réplique identique à constante proportionnelle dans les mondes micro nanométrique. Que la nature par Son Excellence originelle ne nous permettait pas encore de nos jours même avec tout le savoir que nous avions déjà acquis. D’apprivoiser pleinement à vrai dire. Paradoxalement comme si le hasard avait décidé de mettre en œuvre dans chaque monde, individuellement, et à chaque fois. Une Unique est une seule composition mélodique pourquoi pas ; Oui pourquoi pas une interprétation de multiples ondes sonores avec d’innombrables comas multipliés à l’infini. Une création harmonique dont le seul et uniques acteur et chef d’orchestre ne semblait être qu’encore étrangement, qu’uniquement les vibrations modales du son dans l’univers.
Combien de centimètre cube de vitamine m’avait-elle injectée ? Evidement le fait que la machine devait pour pouvoir me projetait dans un monde parallèle m’injecter deux trois centimètres cubes d’un cocktail vitaminé dont je ne connaissais évidemment pas la composition chimique. Ça me provoquait une certaine frayeur. Ces aiguilles qui à chaque fois devaient pénétrer dans les veines de mon coup !! Même si la douleur insignifiante des deux seules piqures de chaque côté du coup ressemblaient à celles d’aiguilles d’acuponctures chinoise. Ça me posait quelques problèmes de conscience. Si ce n’eu été au niveau éthique s’eu été un problème moral. A vrai dire il commençait à y avoir des gens qui me regardaient. Certaine personne qui commençait à s’apercevoir de quelque chose à propos de mon comportement. Et puis j’avais tout de même une vie sociale face à laquelle je devais rendre des comptes, si ce n’eut été devant mon médecin, s’eut été évidement devant ma compagne Anne.
Mais qu’était devenu réellement mon système nerveux depuis mes deux voyages dans le temps ? Je ressentais déjà dans mon cerveau comme de violente décharges d’hormones. Qui me plongeaient agréablement dans un véritable bain de plénitude, dans lequel je ressentais à chaque fois comme un genre d’addiction ; entre l’addiction et ce qui ressemblerait a un manque ; lorsque je n’étais pas sur le fauteuil de la machine assis entre deux mondes.
Il fallait plus concrètement que je me renseigne sur les effets indésirables et éventuels des injections que je me faisais dans les veines jugulaires de mon coup. Ce qui était certain déjà de toute façon, s’était que les injections des aiguilles plantées dans mon coup, étaient totalement indolores. Je ne sentais absolument aucune douleur aux moments où elles s’enfonçaient dans mon coup et pas plus lorsqu’elles ressortaient. Mais eusses été vraiment saint cette chose. Après tout je ne connaissais pas la composition véritable de ce cocktail vitaminé qui s’infiltrait par micro-dose dans mes veines, en temps parfaitement bien espacé et chronométré. Je ne connaissais pas la provenance réelle et exacte de cette molécule. Sur quoi agissait-elle ? Certes des vitamines, mais de quels genres ? Quelles notes pouvais-je apporter sur le carnet de Virgil en plus de celles qu’il avait déjà écrites lui-même. Concernant les effets de cette solution médicamenteuse vitaminée bleu curaçao. Que l’on pouvait apercevoir dans deux seringues au niveau du repose-tête sur le fauteuil. Sur quoi agissait-elle exactement ? Sur quels déclencheurs neuronaux était-elle active ? Ou me projetaient-elles

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