Tarzan et les Jumeaux (cycle de Tarzan n° 25)
167 pages
Français

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Tarzan et les Jumeaux (cycle de Tarzan n° 25) , livre ebook

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Description

Paru en 1963, Tarzan and the Tarzan Twins est le vingt-cinquième tome du monumental Cycle de Tarzan qui n’en comprend pas moins de 26 ! C’est un recueil comprenant deux nouvelles distinctes : Les Jumeaux de Tarzan (1927) ; Tarzan et les Jumeaux de Tarzan avec Jad-Bal-Ja le Lion d’Or (1936). Paru pour la première fois en français en 1991.


Dick et Doc, deux cousins âgés de 14 ans qui se ressemblent comme des jumeaux, sont surnommés les Jumeaux de Tarzan. Tarzan les a invité pour un séjour dans son domaine africain. Le train qui les emporte déraille : Dick et Doc s’enfoncent dans la forêt et se retrouvent prisonniers dans un village de cannibales. Avec deux autres prisonniers ils s’évadent, mais heureusement Tarzan et ses Waziris veillent...


Dick et Doc s’égarent dans la forêt alors qu’ils se promènent avec Tarzan et Jad-bal-ja, le Lion d’Or. Pendant ce temps, vingt hommes-bêtes d’Opar dirigés par Gulm sont en route à travers la forêt. Ils ont capturé une jeune fille blanche qu’ils ont baptisée Kla, la Nouvelle Lâ, et dont ils veulent faire leur nouvelle grande prêtresse. Alors que la jeune fille, Gretchen de son vrai nom, part dans la forêt, elle est attaquée par un lion mais Dick et Doc lui viennent en aide. Là encore, Tarzan arrivera à temps pour éviter que les aventures des trois jeunes gens ne tournent vraiment mal...


Edgar Rice Burroughs, né à Chicago (1875-1950), est connu aujourd’hui comme le créateur des aventures de Tarzan. Tout comme les œuvres de science-fiction de ce grand précurseur dans le genre planet opera (Cycle de Mars, de Vénus, de la Lune, de Pellucidar), le cycle de Tarzan mérite amplement d’être redécouvert.


Le vingt-cinquième tome d’une série de 26 ! A redécouvrir dans sa version littérale et littéraire.

Sujets

Informations

Publié par
Nombre de lectures 3
EAN13 9782366346466
Langue Français
Poids de l'ouvrage 4 Mo

Informations légales : prix de location à la page 0,0064€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Collection SF

















ISBN

Tous droits de traduction de reproduction et d’adaptation réservés pour tous les pays.
Conception, mise en page et maquette : © Eric Chaplain
Pour la présente édition : © PRNG EDITION S — 2021
PRNG Editions (Librairie des Régionalismes) :
48B, rue de Gâte-Grenier — 17160 cressé
ISBN 978.2.36634.186.7 (papier)
ISBN 978.2.36634.646.6 (numérique : pdf/epub)
Malgré le soin apporté à la correction de nos ouvrages, il peut arriver que nous laissions passer coquilles ou fautes — l’informatique, outil merveilleux, a parfois des ruses diaboliques... N’hésitez pas à nous en faire part : cela nous permettra d’améliorer les textes publiés lors de prochaines rééditions.
***
Titre original : Tarzan and the Tarzan Twins .
Traduction : Gilbert Viala — révision de Michel Vannereux.
***
La présente édition a été grandement facilitée grâce à l’active collaboration de Michel Vannereux et de La tribune des amis d’Edgar Rice Burroughs .

Edgard Rice Burroughs


AUTEUR

edgar rice burroughs




TITRE

TARZAN ET L ES JUMEAUX (cycle de Tarzan n° 25 )




LA TRIBUNE DES AMIS D’EDGAR RICE BURROUGHS

Edgar Rice Burroughs a abordé de nombreux genres même si c’est pour ses cycles de science-fiction et Tarzan qu’il est le plus connu. En dehors des aventures du Seigneur de la Jungle, il a écrit des aventures échevelées se déroulant sur Mars, Vénus ou la Lune, au cœur de la Terre et dans divers mondes perdus. Il a aussi abordé le western, le roman historique ou le roman de mœurs.
Créé en 1990, le fanzine La Tribune des amis d’Edgar Rice Burroughs est entièrement consacré aux univers d’Edgar Rice Burroughs et aux multiples adaptations, quel que soit le média. Les articles peuvent porter sur les romans eux-mêmes, les diverses éditions, françaises comme étrangères, les bandes dessinées, les films, les séries TV, les objets à collectionner ou bien des auteurs ayant inspiré Edgar Rice Burroughs ou s’en inspirant, comme Henry Rider Haggard et Philip José Farmer. Trois numéros sont proposés par an.
Contact :
Michel Vannereux - 10 rue Raymond Aron - 75013 Paris
michel.vannereux@mangani.fr


LES JUMEAUX DE TARZAN
OÙ L’ON PRÉSENTE LES JUMEAUX DE TARZAN
L es jumeaux de Tarzan, comme tous les jumeaux bien élevés, naquirent le même jour, et bien qu’ils ne fussent pas « comme deux gouttes d’eau », ils se ressemblaient d’assez près pour remplir cette condition particulière qu’exige la gémellité mais à ce stade déjà ils commencèrent à briser les règles qui gouvernent les jumeaux depuis les quelques derniers millions d’années, car Dick arborait une tignasse du noir le plus noir, alors que les cheveux de Doc possédaient les nuances de la mélasse par un matin de soleil. Leur nez était semblable, leurs yeux bleus étaient semblables, semblables étaient leur menton et leur bouche.
Peut-être les yeux de Doc étaient-ils plus scintillants et sa bouche plus souriante que ceux de Dick, car Dick souriait et scintillait surtout en soi-même, et en soi-même, les deux garçons étaient très semblables, vraiment.
Mais sous un rapport précis, ils faisaient voler en éclats toutes les règles imposées aux jumeaux depuis le commencement des temps. Car Dick naquit en Angleterre et Doc en Amérique. Fait qui chambarde tout au beau début de l’histoire et prouve, sans la plus petite ombre d’un doute, qu’ils n’étaient pas jumeaux du tout.
Alors pourquoi diable se ressemblaient-ils tant, et pourquoi tout le monde les baptisait-ils les Jumeaux de Tarzan ? On pourrait presque ouvrir un concours de devinettes avec une pareille énigme, mais l’ennui, c’est que personne n’en trouverait la solution, encore que la réponse soit toute simple.
La mère de Dick et celle de Doc étaient sœurs – sœurs jumelles – et tant se ressemblaient-elles qu’en comparaison deux gouttes d’eau ne se ressemblaient pas. Et comme chaque garçon ressemblait à sa mère, eh bien ils se ressemblaient entre eux.
Leurs mères étaient Américaines. L’une d’elles épousa un Américain et resta en Amérique. C’était la mère de Doc. L’autre épousa un Anglais et mit à la voile pour vivre sur un autre continent, dans un autre hémisphère. C’était la mère de Dick. Quand les garçons furent en âge de quitter le foyer pour l’école, leurs parents eurent une brillante idée : les enfants recevraient la moitié de leur éducation en Amérique et l’autre moitié en Angleterre.
Et cette histoire prouvera que si les mères proposent, Dieu dispose, car personne n’avait projeté de donner aux enfants la moindre parcelle d’éducation en Afrique, alors qu’en réalité, la Destinée s’arrangeait pour qu’ils apprennent davantage dans les jungles du continent noir qu’entre les couvertures de tous les manuels scolaires.
Quand ils eurent quatorze ans Dick et Doc fréquentaient une excellente école anglaise qui abritait une foule de futurs ducs, comtes, archevêques, lords-maires qui, devant la parfaite ressemblance entre Dick et Doc, les baptisèrent « les Jumeaux ». Plus tard, quand on apprit que le père de Dick était apparenté de loin à Lord Greystoke, célèbre dans le monde entier sous le nom de Tarzan des Singes, les élèves commencèrent à nommer Dick et Doc « les Jumeaux de Tarzan ». C’est ainsi que le surnom se propagea et leur resta.
Comme tout le monde le sait « tar » signifie « blanc » dans le langage des grands singes, et « go » signifie « noir ». Ainsi Doc avec ses cheveux clairs devint Tarzan-tar et Dick à la chevelure noire fut appelé Tarzan-go. Avec Tarzan-tar et Tarzan-go, tout alla très bien jusqu’au jour où les autres élèves commencèrent à se moquer d’eux parce qu’ils n’étaient pas capables de grimper aux arbres mieux que bien d’autres garçons et parce que, bien qu’honorables en sports athlétiques, ils n’étaient pas des champions. C’est donc illico que Dick et Doc décidèrent de faire honneur à leurs nouveaux noms, car ils n’appréciaient pas davantage être moqués et ridiculisés que n’importe quel garçon au sang rouge et normalement constitué.
Il est tout simplement affolant de découvrir ce qu’un jeune garçon peut accomplir s’il prend son parti d’une situation donnée, aussi ne mit-on pas longtemps à voir Dick et Doc exceller dans presque tous les sports athlétiques, et quand on en vint à grimper aux arbres, eh bien Tarzan lui-même n’aurait eu aucune raison d’avoir honte d’eux. Bien qu’au cours des mois suivants leur niveau scolaire eût quelque peu souffert de leurs exploits athlétiques, leurs muscles, eux, se portaient bien et à l’approche des vacances, Dick et Doc étaient devenus aussi durs que des clous et aussi agiles et remuants qu’un couple de manu, mot qui, vous le saurez si vous n’avez pas négligé votre éducation, désigne les petits singes dans la langue des GRANDS singes.
Toujours est-il que la grosse surprise arriva avec une lettre que Dick reçut de sa mère. Tarzan des Singes les invitait tous à lui rendre visite et à passer deux mois sur son vaste domaine africain ! Les deux enfants en furent si excités qu’ils en parlèrent jusqu’à trois heures du matin et séchèrent tous leurs cours ce jour-là. Le désappointement qui suivit plus tard quand on apprit que le père de Dick, officier dans l’armée, ne pouvait avoir de permission, et que la mère de Dick ne voulait pas partir sans lui, les lettres, les câblogrammes échangés entre l’Angleterre et l’Amérique, entre l’Angleterre et l’Afrique, les appels frénétiques des garçons à leurs parents ne sont intéressants que par ce qui en résulta, à savoir qu’ils allaient partir tout seuls. Tarzan des Singes avait promis de les attendre au terminus du chemin de fer avec cinquante de ses guerriers Waziri, assurant ainsi leur passage sans encombre à travers l’Afrique sauvage jusqu’au domaine lointain de l’homme-singe.
Et ceci nous amène au commencement de notre histoire.
Y


I. EN ROUTE POUR L’AFRIQUE
U n train serpentait avec lenteur à travers des montagnes aux pentes raboteuses tendues de vert, pui

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