Upgrade: La trilogie complète Humain++
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Description

Spécialiste en capital-risque avec des milliards à la banque, Mike Cohen réussit tout. Enfin, jusqu’à ce que la nouvelle technologie qu’il développe le fasse atterrir au milieu d’un complot international et que la seule façon de sauver ses proches, sa technologie et lui-même est d’implanter les cerveaucytes très expérimentaux dans son propre cerveau.

Les cerveaucytes transforment l’expérience humaine, vous rendant plus intelligent, plus rapide, et plus puissant. Avec des ennemis à chaque coin de rue, Mike doit utiliser ses capacités augmentées pour sauver sa famille, ses amis et au bout du compte, le monde entier.

Ce coffret contient les trois livres de la trilogie passionnante Humain++. Si vous êtes fan de science-fiction, de technologies futuristes, d’humour et d’aventures palpitantes, alors cette série est faite pour vous.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 01 décembre 2021
Nombre de lectures 6
EAN13 9781631425004
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0200€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Upgrade
La trilogie complète Humain++


Dima Zales

♠ Mozaika Publications ♠
Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les personnages, les lieux et les événements sont soit le produit de l’imagination de l’auteur, soit utilisés de manière fictive. Toute ressemblance avec des personnes, vivantes ou non, des entreprises, des événements ou des lieux réels n’est que pure coïncidence.

Copyright © 2019 Dima Zales et Anna Zaires
https://www.dimazales.com/book-series/francais/

Tous droits réservés.

Sauf dans le cadre d’un compte-rendu, aucune partie de ce livre ne doit être reproduite, scannée ou distribuée sous quelque forme que ce soit, imprimée ou électronique, sans permission préalable.

Publié par Mozaika Publications, une marque de Mozaika LLC.
www.mozaikallc.com

Couverture par Damonza Studios
www.damonza.com

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Suzanne Voogd
Révision linguistique par Valérie Dubar

e-ISBN : 978-1-63142-500-4
Print ISBN : 978-1-63142-501-1
Table des matières




Les Machines de l'esprit


Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Chapitre 21

Chapitre 22

Chapitre 23

Chapitre 24

Chapitre 25

Chapitre 26

Chapitre 27

Chapitre 28

Chapitre 29

Chapitre 30

Chapitre 31

Chapitre 32

Chapitre 33

Chapitre 34

Chapitre 35

Chapitre 36

Chapitre 37

Chapitre 38

Chapitre 39

Chapitre 40

Chapitre 41

Chapitre 42

Chapitre 43

Chapitre 44

Chapitre 45


Cyber Pensées


Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Chapitre 21

Chapitre 22

Chapitre 23

Chapitre 24

Chapitre 25

Chapitre 26

Chapitre 27

Chapitre 28

Chapitre 29

Chapitre 30

Chapitre 31

Chapitre 32

Chapitre 33

Chapitre 34

Chapitre 35


Réseau neural


Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Chapitre 21

Chapitre 22

Chapitre 23

Chapitre 24

Chapitre 25

Chapitre 26

Chapitre 27

Chapitre 28

Chapitre 29

Chapitre 30

Chapitre 31

Chapitre 32

Chapitre 33

Chapitre 34

Chapitre 35

Chapitre 36

Chapitre 37

Chapitre 38

Chapitre 39

Épilogue


Extrait d’ Oasis

Extrait de Les Lecteurs de pensée

Extrait de Le Code arcane

Au sujet de l’auteur
Les Machines de l'esprit
Humain++ Tome 1
Un

La seringue gargantuesque s’approche du cou de maman. Grand-père lui serre la main et essaie de ne pas regarder l’aiguille de la taille d’une rapière lorsqu’elle pique la peau de sa fille.
— Misha, me dit maman en russe. Ça fait mal.
Je fais un pas en avant, serrant les poings en regardant le chirurgien au masque blanc.
— Pourquoi l’injectez-vous dans le cou ?
Je ne vois aucune trace d’empathie dans les yeux brillants du docteur et j’envisage sérieusement de lui mettre un coup de poing. Comme je pourrais empirer la situation de ma mère en détournant l’attention du chirurgien, je me contente d’une respiration pour me calmer. Ce que je respire n’est qu’une bouffée d’air stérile emplie de Clorox.
La salle d’opération est illuminée par des lampes chirurgicales aveuglantes et l’équipement de torture chirurgicale est disposé sadiquement un peu partout.
— Pourquoi y a-t-il toutes ces choses effrayantes autour de nous s’il ne s’agit que d’une simple injection ? balbutié-je en les remarquant pour la première fois.
Les articulations du docteur blanchissent quand il appuie sur le piston géant. Un liquide gris dégoûtant s’échappe de la seringue dans le cou de maman.
— Pourquoi les nanocytes doivent-ils être injectés d’une façon si terrible ? m’enquis-je – essentiellement pour ne pas m’évanouir.
— Ce n’est pas normal, dit grand-père en anglais.
Le visage rond de maman est tordu dans une expression d’horreur et de désespoir que je n’ai vue qu’une seule fois, quand une souris rachitique était rentrée dans le salon de notre premier appartement à Brooklyn. Exactement comme ce jour-là, un cri perçant s’échappe de sa gorge.
Je fais un autre pas en avant. Peut-être vais-je simplement éloigner le docteur de ma mère.
La partie chauve en haut de la tête de grand-père est rouge écarlate et je me demande s’il est sur le point de tuer le doc’ avec sa chaussure, employant le même coup violent qu’il avait utilisé contre la souris.
Le chirurgien s’éloigne de nous.
Les hurlements de ma mère se transforment en gargouillis et s’estompent.
Un liquide gris se met à couler de sa bouche.
Je suis paralysé.
Le même liquide s’écoule de ses yeux, puis de son nez et de ses oreilles.
— Ce sont les nanocytes, crié-je avec horreur quand mes cordes vocales fonctionnent enfin. Mais ils ne peuvent pas se reproduire !
La tête de maman disparaît, remplacée par la forme liquide et floue de la gelée grise autoréplicante. Le temps d’un battement de cœur violent, et le reste du corps de maman se transforme en fluide grisâtre.
Avec deux hurlements et quelques gargouillements, grand-père et le docteur fondent également en flaques de protoplasme incolore qui s’agite.
Je ne réalise pas l’énormité de ces pertes avant que la substance glisse sur mon propre pied.
Une douleur brûlante et sauvage s’étale dans tout mon corps, et je sais que c’est à cause des nanos qui divisent ma chair en molécules.
‘Cela ne peut pas être vrai’ est ma dernière pensée. Ce doit être un rêve .



Je me redresse d’un seul coup dans le lit. J’ai été réveillé soit par les morts horribles, soit en me rendant compte que je rêvais.
Il fait plus sombre dans ma chambre que dans le terrier d’un rat-taupe nu. En tâtonnant, je localise mon téléphone sur la table de nuit et j’allume l’écran.
Quand mes yeux s’adaptent et que je peux déchiffrer l’heure, je lutte contre l’envie de jeter le téléphone contre le mur. Ce serait comme de tuer le messager : brièvement thérapeutique, mais inutile. Il est trois heures du matin, l’heure du matin que j’aime le moins.
J’inspire profondément comme mon ex-petite amie obsédée par le yoga me l’avait appris et étonnamment, je me sens un peu plus calme. Je suppose que les choses ne sont pas si terribles. Si je me calme suffisamment pour me rendormir vite, je peux somnoler pendant encore cinq heures et sans doute toujours être fonctionnel pendant la journée.
Je me lève et je me rends à la salle de bains. L’air conditionné refroidit mon corps nu quand je marche alors, la première chose que je fais, c’est d’essuyer vigoureusement toute ma transpiration froide.
Ma respiration devient encore plus régulière.
Pendant que j’utilise les toilettes, je me reproche ma panique due au scénario improbable de ce rêve. Grand-père est mort depuis deux ans, et même en vie, il ne parlait pas un anglais impeccable – il ne parlait pas anglais du tout. En outre, les nanocytes que nous utilisons sur maman sont du type qui ne se réplique pas, ce qui est en partie la raison pour laquelle chaque dose est si effroyablement chère. Les nanotechnologies répliquantes du futur se construiront elles-mêmes à partir de matières premières, mais ce n’est pas le cas de ce lot expérimental. Enfin, la procédure d’injection n’est pas invasive et ne nécessite pas la présence d’un chirurgien, ni même d’un médecin. Ce cauchemar n’était que la manifestation de mes anxiétés irrationnelles.
Ce dont j’ai besoin maintenant, c’est de sommeil. Comme le dit un des proverbes russes préférés de ma famille : le matin est plus sage que le soir.
Je retourne au lit en bâillant et je m’endors une demi-seconde après que ma tête ait touché l’oreiller.
Deux

— Un remède contre la démence et Alzheimer ?
Les yeux gris d’oncle Abe brillent d’excitation, comme le font souvent ceux de maman.
— Ce n’est pas exactement un remède, dis-je en même temps qu’Ada explique :
— C’est essentiellement un traitement contre les symptômes.
— Comme c’est mignon, dit oncle Abe en russe. Ta copine finit déjà tes phrases.
Le visage d’Ada s’illumine d’un sourire espiègle, comme si elle avait compris le russe.
— Nous ne sommes pas en couple, dis-je en russe à oncle Abe.
— Pas encore ? répond-il avec un clin d’œil entendu.
— Ce n’est pas poli de parler russe devant Ada, dis-je en anglais.
— Ça va, ne t’inquiète pas, dit-elle.
Il ne reste plus que l’ombre d’un sourire qui traîne au coin de ses yeux, ce qui la fait ressembler à une version un peu punk de la Mona Lisa.
— Malgré tout, je suis désolé, lui dit oncle Abe dont l’accent adouci le t et le r .
Ada passe devant nous dans le couloir de l’hôpital. C’est une New-Yorkaise typique, toujours en mouvement et faisant dix mille choses à la fois. Je la dévisage discrètement de haut en bas, mes yeux traînant sur l’un des attributs que je préfère chez elle : cet endroit spécial entre les semelles de ses Doc Martens et les pointes de ses cheveux en épis.
Ada jette un coup d’œil par-dessus son épaule, ses yeux ambrés croisant un instant mon regard. A-t-elle senti que je la reluquais ? Avant que je puisse me sentir gêné, elle s’arrête devant une porte verte et elle dit :
— Voici la chambre.
Nous entrons tous les trois.
Contrairement à mon rêve, il ne s’agit pas d’une salle d’opération. La pièce est spacieuse, avec de grandes fenêtres et des plantes fleurissant joyeuse

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