Urthus : le règne de Cribat
204 pages
Français

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Urthus : le règne de Cribat , livre ebook

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Description

Deux bébés sont abandonnés sur Terre pour les sauver d’une mort certaine. Ils sont trouvés par deux familles de militaires qui partent en mission secrète sur une autre planète.
Pendant leurs adolescences, ils se rendent compte qu’ils ont des facultés bien supérieures à leurs autres camarades.

Cribat, l’empereur sanguinaire de Grégère, réalise que le jeune Urthus est toujours en vie. Il décide de tout mettre en œuvre pour le retrouver et le tuer.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 27 juillet 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334157629
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0060€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composér Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-15760-5

© Edilivre, 2016
Chapitre I L’adoption
Nous voici au régiment des officiers de Versailles. Soudain un soldat arrête l’entraînement journalier de 8H30
« Lieutenant Mombart et Périsot »
Deux soldats lèvent la tête et disent d’une seule voix, « présent Mon Capitaine »
Alors le Capitaine d’une voix ferme cria « vous êtes attendu dans le bureau du Colonel immédiatement »
Les deux hommes se regardèrent, et se demandèrent la même chose, qu’est ce que j’ai fait.
Il est vrai que la réputation du colonel le poursuivait, personne n’appréciait d’aller faire un stage dans son bureau, et toutes les personnes convoquées de cette manière ressortaient souvent à la fois de son bureau, mais aussi définitivement du régiment.
Les deux hommes se dirigèrent d’un pas décidé vers le bureau du colonel, surpris de n’être pas suivi par le capitaine.
Dis moi chuchota Eric à son collègue et surtout amis, tu sais ce qu’il nous veut.
« Non » lui répondit James, franchement je ne vois pas ce que l’on a pu faire de si grave pour être convoqué dans son bureau.
James : Je ne pense pas que mes critiques sur l’engagement du reste de la garnison soient arrivées jusqu’à ses oreilles, et en plus toi tu n’as rien dit, ça ne concernent pas son commandement. Je sais que l’on est ami de toujours mais quand même je pense que j’aurai été le seul convoqué . Il faut plutôt se rappeler d’une bêtise commune, et là j’avoue je ne vois pas .
Eric : tu sais on ne va pas se faire de nœuds au cerveau, le connaissant on saura rapidement les griefs qu’il a contre nous .
En arrivant devant ce grand bâtiment de type haussmannien, avec cette entrée gigantesque, ils se présentèrent devant le gardien.
Bonjour, lieutenant Mombart et Périsot, nous sommes convoqués par le Colonel Fréjus . Sur cette parole ils virent le jeune caporal blanchir, à oui le Colonel vous attend dans son bureau, 2 ème étage au fond à droite.
Ils commencèrent à franchement douter, le grand escalier à l’ancienne paraissait interminable, James le plus petit des deux s’appuya sur la main courante en fer modelé, il essayait de suivre la cadence de marche d’Eric.
James : Eric marche moins vite, il ne va pas s’envoler, si cela continue je vais être tellement en sueur qu’il ne va même pas vouloir nous recevoir .
Eric : Je n’ai pas envie de plaisanter, t’as vu la tête du planton, je ne sais pas ce qu’il se passe, mais cela ne sent pas bon, mais pas bon du tout.
En arrivant devant la très belle porte tout en boiseries du 19 ème , ornée de dorures, James reprit sa respiration, puis avant de frapper, les deux amis se regardèrent et remirent leurs tenues de sport correctement.
Eric : C’est bon James tu es OK, rien ne choc sur moi ?
James : Non tout est parfait, près à devenir capitaine (en riant) .
Eric : Je ne sais pas comment tu fais pour rire mais moi j’ai la gorge serrée .
James ne voulait pas montrer son stress, il savait bien qu’Eric avait tendance à vite paniquer, et qu’il se calmait en regardant la décontraction de son pote. A l’intérieur de lui James avait son pouls à 200.
Eric cogna virilement à la porte d’entrée. Des pas vigoureux s’approchèrent de la porte. Eric avala sa salive, tandis de James respira un bon coup.
La porte s’ouvrit, ils virent le Colonel Fréjus devant eux avec un air soucieux. Aussitôt les deux militaires se mirent au garde à vous.
« Mon colonel » s’écria les deux hommes d’une seule voix.
« Repos, vous pouvez entrer » répliqua le colonel avec sa voix grave et sombre.
Eric fut le premier à rentrer, suivi immédiatement son ami.
Eric vu un bureau immense, avec de très grandes fenêtres, un grand bureau de type Louis XV, et sur un coté un canapé, deux fauteuils en velours rouge ainsi qu’une table basse en concordance avec le reste du bureau.
Sur le mur, derrière le bureau, il vit le portrait du Président de la république, puis sur le reste des murs différents portraits de généraux, sans doute ceux qui tenaient cette caserne autrefois.
James par contre plus terre à terre, se disait que ce bureau était plus grand que son propre appartement, il se disait qu’il ferait bien vivre sa femme et sa petite fille dans ce meublé. Mais bon ce n’était pas à son goût.
Bonjour messieurs s’exclama le Général, « je vous est fait venir ici de toute urgence, nous allons passer à coté, et je pourrais vous donner l’explication de votre venu. Par contre, sachez que cette discussion sera confidentielle et ne pourra en aucune manière sortir de ce bureau, il ne pourra en aucun cas faire machine arrière, et votre vie en sera complètement bouleversée . »
Sur ses mots Eric releva ses épaules et bomba le torse de fierté, Il senti dans la voix solennel du général une forte responsabilité, il aimait être reconnu et savait que son engagement au sein du corps militaire allait être sans doute récompensé, et se voyait déjà capitaine dans un corps d’élite pour le combat.
Tandis que James réfléchit, si mes critiques étaient arrivées jusqu’à lui, est ce bon signe ? Je ne sais pas, mais si Eric est là, alors cela doit être pour une bonne nouvelle.
Veuillez me suivre à coté nous avons des choses à vous dire .
Tout de suite James percuta, pourquoi nous, ils sont nombreux dans ce bureau ? Qui peut être là, il regarda Eric et le vit avec un grand sourire, le vit suivre le Général. Ils entrèrent dans un autre bureau très confiné, avec une grande table ovale, une vingtaine de chaises autour, et au bout de cette table vit un homme en costume, entouré par trois généraux. La porte se ferma derrière eux, et là il reconnu le Président de la république en personne, le général Poudèrt le chef des armées et deux autres qu’il ne connaissait pas. Eric et lui-même se repositionna tout de suite au garde à vous (il ne vit jamais son ami Eric avec un regard aussi fière, sauf peut être lors de son diplôme à Saint CYR)
Bonjour messieurs veuillez vous asseoir ordonna le président . Les deux hommes exécutèrent.
Le Président : Voila messieurs, vous devez savoir dès à présent que notre discussion est ultra confidentielle comme vous là déjà précisé le général Poudert, et que vous ne pouvez plus faire marche arrière, le seul choix qu’il vous reste et de savoir avec qui vous serez accompagné .
Les deux hommes se regardèrent discrètement, mais avec un air inquiet.
Il y a un an vous avez répondu à un questionnaire sur votre ambition personnelle, vous vous en souvenez je suppose ?
Les deux hommes répondirent en même temps « Oui monsieur le Président ».
Nous avons étudié votre parcours, Enfance sans problème, Vous Monsieur Mombart, vous venez de l’assistance public n’est ce pas ? Eric répondit affirmativement. Vous Monsieur Périsot enfance heureux dans une famille bourgeoise, jusqu’au décès de vos parents lors de vos 18 ans d’un accident de voiture ? Même réponse de la part de James.
Vous avez 25ans, tous les deux vous êtes sortie major le la promotion 2020 de Saint Cyr ce qui est jamais arrivé dans cette école. Vous Monsieur Mombart vous êtes marié à virginie Méri en congé maternité, étude de médecine, fille de Gaston Meri cardiologue à l’hôpital Salpêtrière, vous avez une fille de 3 mois. Vous Monsieur Périsot vous êtes marié avec Laurine Prudelle institutrice, fille de M Georges Prudelle ingénieur travaux dans le BTP et vous avez une fille d’un an.
Il y a-t-il une erreur ? Non Monsieur le président répondit les deux hommes.
Cela fait 5 ans que vous êtes dans ce régiment, et vos états de services sont exemplaires, à part quelques parties prises n’est ce pas Monsieur Périsot « dit-il avec un léger sourire »
Nous vous observons depuis un an, et quand je dis observé, je ne dis que ça !
Voila ce que nous vous proposons.
Il y a déjà deux ans, avec les pays alliés, nous observons des mouvements dans des galaxies voisines, suite à ses mouvements nous avons décidé avec tous les pays de l’alliance de créer une armée commune, nous vous indiquerons ultérieurement tous les détails de cette armée.
Chaque pays va détacher un nombre d’éléments de hautes qualités (dont vous connaîtrez le nombre plus tard) pour constituer cette armée. La seule chose importante aujourd’hui pour vous c’est que vous serez dans un endroit isolé, vous aurez plus aucun contact avec qui que se soit, et c’est là qu’arrive votre choix. A la fin de cette réunion, vous aurez ce document, les deux hommes regardèrent le document l’air soucieux, Vous avez la possibilité de marquer 2 noms d’adultes vous et votre femme, et jusqu’à 3 prénoms d’enfants, puis vous irez à l’aéroport militaire de Vélisy le premier mercredi du mois de juin dans 2 semaines entre 4h30 et 5h30 du matin, le gardien ne regardera que ce document, il ne regardera aucun autre document. Ce qu’il veut dire que vous prenez le nom et prénom qu’il vous plaît (sachez que ce sera votre prochaine identité). Et c’est là le seul choix que vous avez.
Soit vous partez seul et vous ne pourrez rien dire à vos proches.
Soit vous partez avec votre femme et vous ne devez rien dire à vos proches.
Soit vous partez avec votre femme et vos enfants mais pour ceux qui ont 4 enfants ils devront en laisser sur place, c’est pour cela que l’on à fait en sorte de vérifier le nombre d’enfant de nos militaires.
Mais que nous soyons bien clair, les seules personnes qui seront au courant de cette affaire seront les personnes qui partent.
Sur ses mots James vu Eric se décomposer sur place, et lui n’était pas dans un état de fraîcheur non plus.
Eric prit la parole : Si j’ai bien compris, je suis obligé d’y aller, je ne peux parler de cela à ma femme que si elle me suit.
Le président : malheureusement c’est comme cela, sachez simpleme

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