Mes vérités
188 pages
Français

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Mes vérités , livre ebook

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Description

histoire vraie mes vérités

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 19 mai 2014
Nombre de lectures 0
EAN13 9782332699473
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0082€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
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Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-332-69945-9

© Edilivre, 2014
Chapitre I Les épreuves adolescente
Fille aînée d’une famille modeste de cinq enfants dans des périodes de guerre année 1944 année de ma naissance ; père deux fois prisonnier ; de mère au foyer ; j’estime mon père depuis ça disparition sans avoir eu le temps de jouir de ça retraite jamais malade de ça vie je ne l’ai pas vu vieillir je lui donnais 50 ans a 70 alors de sa disparition ; chef de famille en tout et pour tout exemplaire d’ailleurs son décès a eu les honneurs professionnels entourage : etc… responsable ; droit ; ferme ; savoir ; faire ; estimer ; confiance absolu malgré l’apparence de dureté par ces propres enfants (a ne pas confondre avec méchant ; mais ferme (ont savaient a quoi sans tenir) notre père ne nous a jamais battu ni maltraité il lui suffisait de soulever sa casquette ; il est vrai qu’une gifle nous aurais fait valser a 3 m il pesait 85 kg et 1 m 80.
Je me souvient des parties de plaisir qu’il se permettais de nous accorder bien qu’il aurait voulu faire + a 50 ans ils nous battaient sur une course a pieds ; il était polyvalent ; Il savait tout faire (échasses ; trottinettes vélos mobylettes.
Pour lui la guerre ; la campagne ; ouvrier agricole ; professionnel du bâtiment : mécanique chauffeur routiers de nombreuses années ouvrier d’usine partout estimé :
Voilà l’image de mon père regretter comme vous pouvez le constater malgré de bonne raison pourtant de lui en vouloir vous comprendrais plus tard (erreur humaine) : Mais la vie ma appris et (j’en est déduit qu’il avait raison) : il na pas du tout été seconder ni épauler par ma mère ça aussi la vie ma appris a faire des déductions et c’est a partir de la que j’entre dans la vie disons a l’âge de 10-12 ans avant tout est vague très flou.
Ma mère bien que ma vision sur elle est très différente de celle de mon père (vous comprendrez sûrement) je l’ai toujours respectez et la respecte encore âgée aujourd’hui de 87 ans ; malgré les différents si elle a besoin un simple appel et j’arrive (NE FAIS PAS AU AUTRE CE QUE TU NE VEUX PAS QU’IL TE SOIS FAIS) ; ma mère n’a jamais travailler a toujours eu sa mère a ces côté ; une idée de sa mère gabarit de mon père décédée a 92 ou 94 ans : et ma mère je l’ai toujours entendu ce plaindre ; un (PROVERBE QUI PIGNOTTE VIVOTTE.)
ET la j’entre dans les responsabilité 10-12 ans mon âge adolescente se transforme vite en adultes car les responsabilité vont s’accroître j’ai un frère 5 ans de plus que moi et trois autre enfants derrière mon jeune frère est née j’avais 12 ans que j’appelle d’ailleurs toujours mon petit frère (1 m 85) car je l’ai en parti élevé : soigner ; etc ; d’ailleurs il ne voulait que moi ; a la même époque je soignais aussi mon grand père (maternelle) asthmatique. Qui ne voulait que moi ; en dehors de ces malades (déjà le don de soigner) tous les travaux quotidien de la maison était pour moi ; en dehors de l’école en autre le midi il me fallait mettre le couvert et aussi préparer le repas entre 12 h et 14 h (école) la vision que j’ai de ma mère c’est la voir a la fenêtre tricoter ; inutile de vous dire qu’il ne me restait pas beaucoup de temps pour apprendre mes leçons (que le temps du trajet de la maison a l’école 300 m) et au grande vacance on m’envoyait chez une cousine (travailler pour m’habiller prétextant une naissance tous les ans et aussi les week-end et jours fériés jours de grands repas je travaillais chez le boulanger sortir le pain du four ; et aussi au restaurant hôtel ; une période marquante pour une adolescente (naïve et athée dans ce domaine (12 ans) j’ai faillit être violer par un commerçant ambulant qui passait chaque semaine (les comptoirs moderne) qui voulait ma mère ; qui ce planquait dans les w-c extérieur et qui m’envoyait a ça place je ne lui est jamais dis ; comment et quoi dire a cette époque c’était plutôt le sujet tabou ; j’ai garder ce secret pour moi, j’en n’est pas voulu a ma mère car elle ne pouvais pas ce douter ; mais avec de l’expérience ; et avec le temps je me suis dis qu’elle manquait de courage pour ne pas affronter ces difficultés elle-même plus expérimenter tout de même ; dernière année scolaire j’ai reçu mon certificat d’études (de justesse) j’aimais les concours ; jouais de l’harmonium à l’église j’étais douée pour le dessin d’ailleurs mon instituteur m’avais choqué il avait cru que j’avais décalquer un dessin (un taureau) dans mon livre sous mes yeux durant un cours ; j’avais l’écriture la plus belle de la famille avec mon père en dehors de l’artiste ; car bien sur ils n’avaient les moyens financiers de me faire suivre des cours (musique ; dessins ; danse.
Etc ; professionnellement je voulais imiter l’homme ; pilote de ligne trop onéreux à voir plus tard 14 ans départ de la maison pour travailler comme employé de maison dans le commerce à 10 km de la maison (contente de partir) mais pourtant mais meilleur moment était la messe du dimanche matin seul répit de la semaine ; horaire du lundi matin 7 h à 22 h le soir du lundi au dimanche 14 h pour 100 franc (15 euros) mensuel (nourrit logé) qui dit mieux (exploiter) ne payait même pas de cotisation pour la retraite, le dimanche 14 h (environ vélo 10 Km arrivé a la maison vaisselle etc… et le lundi matin vélo 7 h30 ; sauf l’hiver par grand froid mon père s’arrangeait pour m’emmener vélo dans le coffre il ne faisait pas ce donc il voulait mais ce qu’il pouvait avec ces enfants il était bon donc 14 : 16 ans 2 ans chez ses patrons ; en rentrant le dimanche à la maison comme avant d’ailleurs je rencontrais souvent un homme qui travaillait avec mon père : un célibataire endurci de 16 ans mon aînée dernier d’une famille de 11 enfants en tant que plâtrier je le voyais également au restaurant ou j’avais travailler partiellement ou il s’èbergeait lui-même et sur la fin de ma scolarité ; car il passait souvent ces soirées chez mon père qui appréciais la qualité professionnel de cet homme qui c’est mis a me courtisé ; premier flirt sans la rechercher ne comprenant rien à la relation sexuel qui ne m’intéressais pas encore ; je dirais comme sardoux je n’avais pas 16 ans et pas du tout envisager la vie comme ça, ne pouvant dire la même chose de lui a 32 ans célibataire qui voulait être prêtre vocation qui lui convenait parfaitement je l’ai compris par la suite ceci explique cela ; des qualités ; gentil ; travailleur ; mais cela ne fait pas tout ; ours aussi. Mes parents c’était aperçu de cette relation et a cette époque nous vivions dans trois pièces donc les murs ont des oreilles : je l’ai entendais discuter de cette relation donc mon père n’était pas d’accord différence âge trop importante (il avait une conception des choses de l’expérience ; ça ne faisait que effleurer l’esprit. Ma mère elle pourvu que ses filles s’en aille et ce marie (leurs avenir elle s’en fichait) je ne lui en est jamais voulu (mais j’ai compris plus tard (expérience a mon tour) et réaliser que mon père avait raison hélas trop tard ;
Mon frère aînée a cette époque avait été rapatrier Algérie (au val de grâce a Paris) pour leucémie décédé 2/3 ans plus tard a 23 ans en juillet 1961, moi 16 ans /17 ans en septembre ; mon futur mari (en congés avait demander a mon père si je pouvais passer quelques jours a son domicile sur Angers a 30 Km (un arrangement partager avec ses frères qui habitait au même endroit eux marier.
Mon père ayant les pieds sur terre et de l’expérience était très méfiant ; septique (aujourd’hui comme je comprends) moi toujours aussi naïve ; et timide et bien loin imaginer ce qu’il allait ce passer (ça beaucoup évoluer depuis heureusement) expérience est une école sévère ; même étant dans le commerce je n’avais rien appris ; et ce qui devait arriver arriva 16 ans ½ et enceinte tout a repris son cours mais en septembre. Ayant été prise de nausées naturel (symptômes) sans savoir ce qu’il m’arrivait interruption de cycles ce qui alerta ma patronne par la laveuse qui venait chaque semaine ; Je n’avais donc connu ni rencontrer ; ni choisi aucun autre garçon (pas le temps d’y penser ; mais le temps me rattrapa. En fait je n’ai pas eu le temps de vivre. Il ma fallu attendre un demi-siècle si j’ose dire ; certain petit linge qui a l’époque ne se jetais pas ; mais qui se lavais et ; avait disparu ; ce qui a mis le feu au poudre ; ma patronne a donc essayer de me faire parler ; il faut dire que côté patron c’était boulot boulot lui était un ours une seule et unique fille infecte qui me faisais subir ses pires bêtises et les provoquait sous les rires moqueur de ça mère jusqu’au jour elle me poussa dans les orties ; ou me tamponnais dans les jambes avec une voiture a pédales elle avait 10 : 12 ans ou encore vidait l’armoire de ma chambre etc ; et je ne disais rien j’aurais plutôt pleurer : seul l’ouvrier.
Beaucoup plus mature que moi comprenait donc le temps a passer ; revenons a mon état quand elle (ma patronne) a compris que j’étais enceinte elle a essayer dans prévenir ma mère (mon frère malade et alité a cette époque on vivait dans deux pièces ; Donc ils ont décider aller voir ma mère ; lui on expliquer il leur a fallu parler devant mon frère qui lui avait décider de prévenir mon père ; alors que ma mère voulait lui cacher par crainte de sa réaction de colère évidemment ; entre temps sachant qu’ils étaient partis (mes patrons) chez mes parents étaient paumés ; seule ; perdu ; sans réaction ni soutien de mon futur mari ; (ne sachant pas nager a l’époque ; j’avais penser me noyer car chez mes patrons il y avait une mare (une maison bourgeoise ; un silo ; grainetier ; car je ne voyais pas issu ; depuis je citerais : LES IDEES SUICIDAIRE TRADUI

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