L âme de la tolérance
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L'âme de la tolérance , livre ebook

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Date de parution 10 juin 2021
Nombre de lectures 106
Langue Français

Extrait

L’âŵe de la tolĠƌaŶĐeLes jouƌs passğƌeŶt, je ŵ’appliƋuais. Je paƌtageais le ďuƌeau aǀeĐ uŶ ǀieil hoŵŵe sLJŵpathiƋue. Il ŵ’appƌit ďeauĐoup suƌ l’eŶtƌepƌise. Il Ŷe taƌissait pas d’Ġloges pouƌ Ŷotƌe ďoss Khadîdja. Elle suƌǀeillait ŵoŶ tƌaǀail. ChaƋue jouƌ je ŵ’aŵĠlioƌais. A la fiŶ du ŵois, j’oďtiŶs ŵoŶ ǀiƌeŵeŶt. UŶ paĐtole Ƌui ŵe fit ǀalseƌ uŶ iŶstaŶt aǀeĐ les aŶges. J’eŶtƌepƌis d’offƌiƌ uŶ Đadeau à Đelle Ƌui ŵ’a eŶgagĠ apƌğs taŶt d’aŶŶĠes de Đhôŵage.Il Ġtait seize heuƌes loƌsƋue je pĠŶĠtƌai daŶs soŶ offiĐe. SoŶ souƌiƌe ŵ’aĐĐueillit. Intimidé, je me plantai sans prendre place ni parler. Je craignais sa réaction. Je commençai à Ƌualifieƌ ŵoŶ aĐte d’audaĐe iŶedžĐusaďle. Je ǀoulais ƌessortir mais tard. Ma patronne s’appƌoĐha de ŵoi. Je ǀis Ƌue ŵa pâleuƌ aǀait dĠteiŶt suƌ elle.-Qu’est-ce-qui ne va pas? M’iŶteƌƌogea-t-elle iŶƋuiğte. Muet, je le lui teŶdis. Elle ŵ’iŶspeĐta un instant et le déballa. Je restai figé comme un accusé attendaŶt uŶ ǀeƌdiĐt. Le Đolis s’ouǀƌit et dĠǀoila les foulaƌds Ƌue j’aǀais aĐhetĠs. Cela Ŷe lui dĠplut pas. Elle aiŵait, paƌaissait gaie. Mon souffle revint à la normale. Ce jour je connus chez elle car nous rentrâmes ensemble. Elle était veuve, mère de deux adolescents. Je dinai avec eux dans une bonne ambiance. Khadîdja aǀait deudž faĐettes. La feŵŵe ŵodeƌŶe et Đelle tƌaditioŶŶelle. J’igŶoƌe laƋuelle ŵe sĠduisit, ŵais je toŵďai aŵouƌeudž d’elle. Je joigŶais les pƌĠtedžtes pouƌ aǀoiƌ sa ĐoŵpagŶie. La sympathie que ses enfants me témoignaient facilita les choses. Je pouvais me taper les jeunes nanas que je voulais. Hélas ; Mon être chancelait et réclamait cette dame de dix ans mon aînée. Mes efforts ne furent pas vains. Il vint un soir où bloqué par la pluie chez elle, nous ĠĐhaŶgeâŵes Ŷotƌe pƌeŵieƌ ďaiseƌ. C’Ġtait agƌĠaďle. Je Ŷe ǀoulais plus ġtƌe loiŶ d’elle. J’eŶtƌai en entretiens avec mon père. «Tu Ŷe peudž lieƌ ta ǀie à uŶe feŵŵe Ƌui a pƌesƋue l’âge de ta mère, oublie cette folie » conclut-il. Mes amis pensèrent Ƌue j’Ġtais sous le Đoup de fĠtiĐhisŵe. « Elle fait partie de ces désespérées qui vendraient leur âme au diable, pour fuir la solitude, éloigne-toi d’elle» suggérèrent-ils. Elle ŵ’aiŵait et ŵoi aussi. Je dus affƌoŶteƌ ŵoult oppositions pour nous imposer. Nous nous mariâmes enfin et déménageâmes en ville. Le ďoŶheuƌ haďitait Ŷotƌe foLJeƌ. Khadîdja ŵe Đoŵďlait au poiŶt de faiƌe de ŵoi, l’heuƌeudž pğƌe de juŵeaudž. TaŶt pis si oŶ ŵe pƌeŶait pouƌ uŶ ǁakĠ, uŶ poŵpieƌ, j’Ġtais heuƌeudž. CoŶtƌaiƌeŵeŶt à mes parents qui avaient fini par adopter mon épouse, mes amis ne cédèrent point. Par ĐoŶsĠƋueŶt Ŷos aŵitiĠs s’ĠteigŶiƌeŶt pƌogƌessiǀeŵeŶt.Mais uŶ ŵatiŶ, Aďass l’uŶ d’eudž Ŷous ƌeŶdit ǀisite. Khadîdja l’aĐĐueillit aǀeĐ ses petits mets, et nous laissa au salon. Mon ami solliĐita Ƌue je l’aĐĐoŵpagŶe faiƌe des aĐhats. Nous eŵďaƌƋuâŵes daŶs ŵa ǀoituƌe. EŶ ƌoute, il edžigea Ƌue je ŵ’aƌƌġte suƌ uŶe teƌƌasse. J’Ġtais heureux de renouer avec lui et cédai donc à ses caprices. Je pris un thé. Pendant que nous discutions, il fitsigŶe de la ŵaiŶ à ƋuelƋu’uŶ deƌƌiğƌe ŵoi. Je ŵe ƌetouƌŶai et fus ĐhoƋuĠ. C’Ġtait Miƌa, eŶĐoƌe plus ďelle. Elle ŵ’eŶlaça uŶ iŶstaŶt et s’assit. Aďass s’ĠĐlipsa. Je ƌĠalisai Ƌue sa ǀisite Ġtait uŶ suďteƌfuge. Miƌa saŶs salaŵaleĐ ŵ’iŶfoƌŵa Ƌue je suis le pğƌe d’uŶ garçon de quatre ans. Elle me rappela cette après-midi où elle était passée chez moi prendre un document. Sans précédent nous avions laissé libre cours à nos pulsions. Je ne la revis plus apƌğs. Je l’aiŵais et Đaƌessais le ƌġǀe de la ƌeǀoiƌ jusƋu’àce que je rencontre Khadîdja. Je seŶtais la teƌƌe se dĠtaĐheƌ sous ŵes pieds aloƌs Ƌue des Ŷœuds se ŶouaieŶt daŶs ŵoŶ ǀeŶtƌe. Pouƌ ŵe soƌtiƌ de ŵoŶ sileŶĐe, elle tapa du poiŶg suƌ la taďle. L’atteŶtioŶ des autƌes ĐlieŶts se déporta sur nous. « Tu dois prendre tes responsabilités » cria-t-elle.
Les jouƌs suiǀaŶts ŵoŶ Ġpouse iŶƋuiğte edžigea Ƌue je ǀoie uŶ ŵĠdeĐiŶ. J’aǀais peƌdu l’appĠtit, et dĠpƌiŵais. Elle ŵ’iŵposa des ĐoŶgĠs. Je saǀais Ƌue ŵoŶ aďseŶĐe au seƌǀiĐe décuplait ses responsabilités. Je me résolus à me confier à elle. Ce fût tard. Le soir nous étions dans une ambiance taquine avec les enfants quand on sonna. La servante ouvrit et Mira débarqua comme une furie avec le garçonnet. « Tu te la coules douce pendant que ton fils meurt de faim, pour qui te prends-tu ? » me criait-elle. Je Ŷe pus ƌĠagiƌ. Ma feŵŵe l’iŶǀita à
s’asseoiƌ. «Toi la ǀieille peau, Ŷe t’eŶ ŵġles pas » lui huƌla-t-elle. Choqué je me précipitai sur elle, mais Khadîdja par une douceur dont elle seule détient le secret, me retint. Elle intima les eŶfaŶts de Ƌuitteƌ le saloŶ. Elle l’iŶǀita de Ŷouǀeau à s’asseoiƌ et ƌĠussit. Coŵŵe uŶ dalaï-lama eŶtƌe Miƌa et ŵoi, elle ŵeŶa la disĐussioŶ saŶs ĠĐoƌĐheƌ peƌsoŶŶe. Je ŵ’eŶgageai à ƌĠpoŶdƌe aux besoins du petit. Khadîdja remua la tête et dit : «C’est paƌ l’aƌďƌe Ƌue le fƌuit ǀit». Je promis aussi honorer ceux de Mira. Elle partagea le diner avec nous et le chauffeur la ƌaĐĐoŵpagŶa. J’espĠƌais uŶe Ŷuit louƌde apƌğs ĐeĐi, ŵais ŵa feŵŵe ŵ’apaisa. Le leŶdeŵaiŶ je repris le service en chantonnant heureux avec ma femme. Quand nous arrivâmes, Mira était sous le hall d’eŶtƌĠe. Elle iŵposa Ƌue je passe la jouƌŶĠe aǀeĐ eudž pouƌ ŵe faŵiliaƌiseƌ à ŵoŶ fils. Je protestai mais Khadîdja me dissuada. Je la quittai peiné. Ce jour, je ne pus nouer aucun lien avecle petit Đaƌ sa ŵğƌe Ġtait dĠĐidĠe à ŵe sĠduiƌe. Je Ŷe ŵoƌdis pas à l’haŵeçoŶ. Le soiƌ je dĠposai uŶe foƌte soŵŵe d’aƌgeŶt suƌ soŶ guĠƌidoŶ. «J’aiŵe ŵa feŵŵe» lui dis-je et paƌtis. QuaŶd je ƌeŶtƌai, ŵoŶ Ġpouse ŵ’aǀait ƌĠseƌǀĠ des gâteƌies. Le ĐoŶfoƌt de ma famille me fit du ďieŶ. Mais j’igŶoƌais Ƌue Miƌa Ŷe Đapitule pas. Elle ƌedouďlait de stƌatagğŵes pouƌ ŵe prendre à ses filets et son arme redoutable était notre fils. Elle aménageait à sa guise les droits de gaƌde, ǀisite et hĠďeƌgeŵeŶt du petit. L’essentiel pour elle est que chacun de ses montages ĐoŶĐouƌt au dĠsĠƋuiliďƌe et l’effƌiteŵeŶt de ŵoŶ foLJeƌ. Je ƌestais ĐoŶfiaŶt et ƌedouďlais de soins pour mon épouse. Je savais que si Khadîdja craquait, je vacillerais et Mira gagnerait. « Toute division profite à l’eŶŶeŵi» dit-on. -Chérie, ça te dit une escapade en campagne ? -Parce que tu veux me refaire la cour ? -Pas que roucouler mais aussi casser la gueule à la fatigue qui luit sur ton visage. «Ce Ŷ’est pas de refus » répondit mon épouse toute souriante en se blottissant sur mon torse dans la nuit. Pour sûr, elle est mon bonheur. Le lendemain alors que nous nous rendions, en campagne, Miƌa fit iƌƌuptioŶ. Cette fois, elle Ŷe ǀoulait Ŷi Ŷous ĐoŶfieƌ le gaŵiŶ, Ŷi ŵ’eŵŵeŶeƌ ŵe familiariser avec lui. Elle voulait passer la journée avec nous. «Je ǀeudž ŵ’iŵpƌĠgŶeƌ de l’eŶǀiƌoŶŶeŵeŶt daŶs leƋuel je laisse souǀeŶt ŵoŶ ďĠďĠ, Đ’est iŵpoƌtaŶt» argua-t-elle. En Đolğƌe je ƌĠtoƌƋuai Ƌu’elle auƌait pu ĐoŵŵeŶĐeƌ paƌ Đette Ġtape aǀaŶt de Ŷous eŶǀoLJeƌ souǀeŶt l’eŶfaŶt.Khadîdja attrapa ma main et imposa que nous retournions à la maison. « La vie est pleine de beauté, on peut en profiter partout » dit-elle. Elle prépara un exquis déjeuner et des friandises. On se régala sauf Mira qui demanda des crudités pour sa ligne. Elle insista à en faire elle-même. Mais toute une pile de porcelaine de ma femme en sortit brisée et jetée à la pouďelle. Khadîdja ďaŶalisa l’iŶĐideŶt. «Réjouissant que vous ne soyez pas blessée » dit-elle. Le soir je déposai Mira et mon fils chez eux. L’après-midi était glacial, le lit spacieux et dodu. Un air frais venait frôler nos visages et ƌeŵueƌ les ƌideaudž. UŶ diffuseuƌ d’eŶĐeŶs edžotiƋues eŶiǀƌait la piğĐe. Celle-ci donnait une magnifique vue sur la mer. Des mélodieuses voies émanaient des mosquées et appelaient à la pƌiğƌe. Nous soŵŵes à Raďat. Apƌğs l’esĐapade aǀoƌtĠe, j’ai soƌti le gƌaŶd jeu pouƌ ŵa feŵŵe. Cela faisait deudž jouƌs Ƌue Ŷous Ŷous la ĐouloŶs douĐe loiŶ de Miƌa. Je Ŷe l’ai pas iŶfoƌŵĠe Ƌue Ŷous ǀoLJagioŶs. J’ai pƌis le soiŶ de ĐoŶfieƌ de l’aƌgeŶt à ŵoŶ aŵi au Đas où elle eŶ auƌa ďesoiŶ. Je lui ai ĐoŵŵuŶiƋuĠ ŵoŶ ĐoŶtaĐt Ƌu’il Đoŵposeƌait Ƌu’eŶ Đas d’uƌgeŶĐe. J’Ġtais heuƌeudž et mon épouse se régénérait. Juste deux jours de vacances, elle luisait de bonheur. Nous savourions de la bonne chaƌĐuteƌie ĠpiĐĠe ƋuaŶd ŵoŶ tĠlĠphoŶe soŶŶa. C’Ġtait Aďass. Il ŵe passa Miƌa eŶ pleuƌs Ƌui ŵ’iŶfoƌŵa Ƌue Ŷotƌe fils a ĠtĠ eŶleǀĠ. Il Ġtait iŶtƌouǀaďle depuis la ǀeille. Je paŶiƋuai et ƌepoussai ŵoŶ assiette. J’iŶfoƌŵai Khadîdja. «Ne te morfonds pas, rentrons au bercail et cherchons notre enfant » dit-elle eŶ ŵe tapotaŶt l’Ġpaule. Nous ƌĠussîŵes à aǀoiƌ uŶ ǀol Ƌui Ŷe taƌda pas à dĠĐolleƌ. A la peŶsĠe du phĠŶoŵğŶe d’eŶlğǀeŵeŶt d’eŶfaŶts pouƌ des ƌites Ƌui faisait l’aĐtualitĠ du paLJs, j’Ġtais agitĠ. Je ŵaudissais cet après-midi où j’aǀais fƌaŶĐhi le seuil d’iŶtiŵitĠ de Miƌa. Je ďalďutiais et supputais. Khadîdja ĐƌaigŶait Ƌue
j’attiƌe l’atteŶtioŶ des autƌes passageƌs. «Haŵed, s’il te plaît, ŵaitƌise-toi ! Je souffre autant Ƌue toi. Et Đe Ŷ’est pas daŶs l’aǀioŶ Ƌue nous allons déballer nos problèmes conjugaux. L’eŶdƌoit Ŷ’est pas idĠal» me dit-elle. Je répliquai : «J’eŶ ai ŵaƌƌe de Đette ǀie Ƌue je t’iŵpose. Je Ŷe t’eŶ ǀoudƌais pas si tu dĠĐidais de ŵe Ƌuitteƌ». Elle posa un regard tendre sur moi et j’essuLJai une larme.  Nous arrivâmes au bercail après deux heures de vol. La voiture dégagée mon épouse pƌit les ƌġŶes Đaƌ j’Ġtais ŵal au poiŶt. Nous allâŵes Đhez Aďass. Je ǀis la ǀoituƌe de Miƌa à l’eŶtƌĠe. A deudž pas de la ŵaisoŶ de Aďass les ĠĐlats de ƌiƌes de Mira nous parvenaient. IŶstiŶĐtiǀeŵeŶt je stoppai la ŵaƌĐhe et ƌetiŶt Khadîdja. « J’espğƌe Ƌue ta taŶte Ŷe Ŷous feƌa pas faux bond ?» interrogea mon ami. -Ne t’eŶ fais pas, je lui ai ĐoŶfiĠ ďeauĐoup de sous Ƌu’elle pouƌƌait ĠteƌŶelleŵeŶt ĐaĐheƌ le petit. « AǀeĐ Đet iŶĐideŶt de plus, la ǀieille l’eŶǀeƌƌa peƌdƌe et il ƌetouƌŶeƌa à sa ǀie de ŵisğƌe» répliqua Abass. -J’espğƌe Ƌu’apƌğs tout ĐeĐi, tu tieŶdƌas la pƌoŵesse de ƌeĐoŶŶaîtƌe Ŷotƌe fils.-Ecoute Mira, on sait tous la vie de chienne que tu menais ici, arrête donc de vouloir me coller la pateƌŶitĠ de toŶ ďâtaƌd. MoŶ Đœuƌ se dĠĐhiƌait peŶdaŶt Ƌue Ŷous ĠĐoutioŶs leuƌs ĠĐhaŶges. «Je suis toŵďĠe aŵouƌeuse de Haŵed à foƌĐe d’useƌ de suďteƌfuges pouƌ l’eŶŶuLJeƌ» confia Mira avec une voix pleureuse. Khadîdja posa faiblement la tête sur moi et je crus cette fois Ƌu’elle soŵďƌait. Mais elle se ƌeleǀa et pƌit ŵa ŵaiŶ. «Allons-nous en » dit-elle. L’eŶǀie de pénétrer dans la pièce et de briser les deux me secouait tant mais je suivis Khadîdja.
 En chemin, elle conduisait tƌğs leŶteŵeŶt et ƌĠflĠĐhissait. J’aǀais ŵal, et deǀiŶais la douleuƌ Ƌue ƌesseŶtait ŵa feŵŵe. C’Ġtait pesaŶt daŶs le ǀĠhiĐule. «Haŵed ŵoŶ aŵouƌ, j’ai une chose à te demander » rompit-elle enfin le silence. « Je ferai tout ce que tu voudras mon Đœuƌ» répondis-je. « Epouse Mira ».
-C’est la folie Ƌui te pƌeŶd ou Ƌuoi? Je ne veux plus rien avoir avec cette fille. -Crois-moi tu auras tout avoir avec cette fille si tu la laisses dehors en proie à ses sentiments pouƌ toi. AǀeĐ du Đœuƌ, oŶ paƌǀieŶt toujours à ses objectifs. MoŶ Ġpouse Ġtait ĐeƌtaiŶe de Đe Ƌu’elle aǀaŶçait Ƌue je ŵe ŵis à Đogiteƌ daŶs tous les seŶs. Le véhicule stoppa face au portail de la maison, elle me prit la main et me sourit. «Ne t’ĠteƌŶise pas daŶs la ƌĠfledžioŶ ŵoŶ Đœuƌ» ajouta-t-elle et kladžoŶŶa. J’Ġtais aďasouƌdi faĐe à sa suggestion ; A ma place que feriez-vous ?
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