Le Deuxième Monde
92 pages
Français

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Le Deuxième Monde , livre ebook

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Description

Vous ne sortirez pas de ce volume comme vous y êtes entré. Tout commence tranquillement avec de simplissimes notions de relativité générale, qu'un enfant de dix ans comprendrait aisément. Puis tout s’emballe : de crétines banalités en bêtes évidences, vous en arrivez à ne plus pouvoir réfuter l’incroyable histoire de ce qu’est réellement... votre réalité !
Votre vision du monde aura radicalement changé : vous serez passé par la démonstration formelle du lieu de résidence de toutes vos chances : le deuxième monde, le monde de l’absolu.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 23 mai 2017
Nombre de lectures 0
EAN13 9782414036905
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0052€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-414-03688-2

© Edilivre, 2017
Avant-propos (commun à la collection)
L’enseignement qui nous fut prodigué depuis l’enfance quant à la manière de provoquer nos chances et réussir dans la vie est erroné et dramatiquement contre-productif.
La culture et le savoir, la volonté et le travail, la compétition et la gagne : tels sont les principes élémentaires de réussite avec lesquels nous avons toutes et tous été formatés.
Ouvertement valorisés et tenus en haute estime, supposés amener chacun au sommet de ses aspirations, ils sont en vérité les fondements primaires d’une survie ordinaire, avec lesquels une large majorité – pour ne pas dire la presque totalité – n’est jamais parvenu ailleurs qu’au pays des désillusions.
Si certains accèdent à la réussite avec ça tant mieux, mais ce n’est pas grâce à ça qu’ils y parviennent. Au contraire, on pourrait même dire qu’ils y parviennent… malgré ça ! Car en vérité on fait mieux sans, avec assurément moins d’effort et beaucoup plus rapidement.
En effet, ces principes sont basés sur une notion de séparation et considèrent l’individu comme étant d’un côté tandis que sa vie est de l’autre, d’où l’idée de réussir « dans la vie » comme s’il s’agissait là d’un espace extérieur à soi ne nous appartenant pas. Vu ainsi, il est sûr qu’y faire sa place est synonyme de conquête et nécessite de guerroyer.
Tout ça est totalement insensé puisque jamais personne n’a vécu en dehors de sa vie. Vous et votre vie ne faites qu’un. Tout ce que pouvez y vivre y est. Vous êtes dans un espace contenant déjà tout et vous appartenant déjà dans sa totalité.
Ainsi, contre toutes les idées reçues, il n’y a rien à conquérir « dehors » mais tout à découvrir « dedans ». Si le cœur vous en dit, allons-y…
Introduction
En tant que tout premier volume de la collection, ce manuscrit à pour vocation de délivrer des bases essentielles qui serviront pour l’ensemble de la série, et pour mener le lecteur sans ambiguïté vers une juste compréhension des choses, un minimum de développements scientifiques sera nécessaire.
Au premier abord l’idée peut déplaire, car nombre de gens sont plutôt réfractaires aux explications dites « techniques ». Si vous en faites partie, je souhaite vous livrer au moins trois arguments qui – je l’espère – devraient vous permettre de changer d’avis :
1 – Vous apprécierez de n’avoir aucune d’information à croire sur paroles (ou sur écrits plutôt  ) car reconnaissez qu’il est déplaisant de se voir asséner des « vérités toutes faites » sans éclaircissement ni une once de preuve, surtout lorsqu’elles dépassent l’entendement ! Vous pouvez d’ores et déjà être tranquille de ce point de vue là : rien ne sera à ingurgiter comme ça.
2 – Tous les exposés dits « techniques » sont hautement vulgarisés, très commentés et d’une grande accessibilité. Là aussi vous pouvez être tranquille : il est garanti que personne ne s’y perdra.
3 – Et voici peut-être la plus juste des raisons : pourriez-vous suivre avec confiance des conseils a priori « sans queue ni tête » si vous n’en saisissez ni le sens, ni les tenants et aboutissants ? C’est peu probable. Et puisque ce qui vous attend est proprement ahurissant, le développement scientifique est un passage obligé pour sincèrement arriver à y croire.
Et surtout ne partez pas de l’idée première selon laquelle cela risque d’être austère. Au contraire, vous allez certainement vous surprendre à aimer ces développements « techniques » en découvrant peu à peu les fabuleuses magies qui en émanent ; des magies bien réelles démontrées sans que ne puisse subsister l’ombre d’un doute ; des magies rendues accessibles à tout un chacun ; des magies dont jusqu’à présent vous n’aviez probablement pas idée qu’elles puissent même exister !
Vous êtes cordialement invité à vous laisser aller au fil des exposés, car bien davantage que d’étudier c’est surtout de réapprendre à rêver auquel cet ouvrage vous convie. Une fois n’est pas coutume, la science va ici concourir à l’émergence de vos meilleures chances. Vous voyez, c’est réellement pour la bonne cause… et même la meilleure cause qui soit :
VOUS !
1 Premier monde
Le premier monde vous le connaissez assez bien. C’est celui de votre quotidien. Il possède trois dimensions physiques d’espace (hauteur, largeur et profondeur) et une dimension immatérielle (le temps).
La cohérence de sa structure dépend de paramètres immuables que l’on nomme des « constantes » (constante gravitationnelle par exemple) et sa mécanique de fonctionnement repose sur des lois universelles que l’on nomme des « forces » (force électromagnétique par exemple.).
Tout ceci s’accorde « au millimètre ». L’ajustement des valeurs est extrêmement précis, à tel point que la modification infime d’une seule d’entre-elles – ne serait-ce que d’un milliardième ! – pourrait entraîner la volatilisation instantanée du monde matériel que vous connaissez.
Ainsi, il est d’ores et déjà établi que notre univers est réglé avec une infinie minutie. L’éclosion de la vie est issue d’une précision ultime. Du reste, maintes simulations informatiques démontrent que tout autre réglage mène à un univers stérile, ou pas d’univers du tout.
C’est donc une déferlante de chances miraculeuses qui créa le vivant, ou pour le moins une succession de prodigieuses coïncidences. Et que votre préférence aille à l’une ou l’autre de ces versions ne fait pas grande différence, car dans les deux cas cela s’apparente beaucoup à un dessein, auquel cas la vie aurait assurément… une raison d’être !
Mais lorsque l’on parle de la vie en général, cela revient à évoquer la vie de chacun en particulier, notamment la vôtre. Donc dire que la vie a une raison d’être revient à dire que votre existence a du SENS.
Cependant, n’occultons pas le fait que l’ultime finesse évoquée pourrait fort bien être issue du simple hasard ! Des tas de « trucs atomiques » se seraient mélangés « au pifomètre » pendant une éternité, et au bout d’une infinité d’essais infructueux en seraient quand même arrivé à générer quelque chose de cohérent : un univers qui tient la route. Puis là-dedans, des « trucs chimiques » se seraient imbriqués, et à force de faire n’importe quoi n’importe comment sur des millions d’années, auraient finalement réussi à engendrer la vie « par hasard ». 1
Qu’en est-il alors ? Le sujet est d’importance ! Que le monde soit réglé de façon calculée ou dérive de combinaisons fortuites change absolument tout à la nature de sa présence, et donc de la nôtre ! Soit il y a une intention sous-jacente à l’existence de ce monde, auquel cas tous les éléments qui le composent – notamment nous – ont quelque part une raison d’être, s oit le monde n’est que la résultante inattendue de vicissitudes cosmiques, auquel cas tout ce qui s’y passe n’a aucune orientation intelligente et ceux qui y vivent n’ont strictement rien à faire de sensé là-dedans, sinon au mieux s’estimer heureux d’être la conclusion superflue d’aléas sidéraux oiseux…
Les processus ayant mené à l’existence de l’univers (et donc de la nôtre) furent-ils hasardeux ou prédéterminés ? Il s’agit là sans conteste d’une interrogation fondamentale. Mais quelle que soit la réponse cela n’altère en rien l’irréfutabilité des développements à venir. Car de toute façon un constat s’impose en tant qu’évidence irrécusable : un PRINCIPE PREMIER englobe l’intégralité des lois du premier monde.
Rien de ce que vous connaissez du monde matériel dans lequel vous vivez ne peut s’y soustraire. Tout est entièrement conditionné à ce principe premier, du simple essor des lignes de ce manuscrit jusqu’à celui de votre vie. Qu’elle soit vivante ou inerte, il n’est aucune entité qui lui échappe. Solide ou éthérée, toute substance y est soumise. Matériel ou immatériel, n’importe quel élément répond à ses exigences. Minéral, végétal ou animal, nul ne se joue de ses influences.
D’une poussière par terre jusqu’aux astres des confins de l’univers, d’un simple embryon de pensée jusqu’à l’émergence d’un projet : partout et toujours – en tous lieux et toutes circonstances – il y a en arrière-plan ce principe premier.
Vous connaissez ce principe premier, il ne peut en être autrement. Comment pourriez-vous ne pas avoir la moindre idée d’un processus qui conditionne l’existence de toutes existences ? C’est un mécanisme présent à chaque instant de votre vie et qui conditionne l’intégralité de ce que vous vivez au quotidien. Donc oui, vous le connaissez très bien. Comment se fait-il alors, que vous ne puissiez pas encore le nommer ?
Vous ne pouvez le nommer à cause de sa banalité apparente et du caractère automatique de ses influences. C’est un principe implicite qui est tellement évident, tellement banal, tellement « normal » en définitive, qu’il ne vient jamais à l’esprit de quiconque de s’arrêter sur lui.
En guise d’exemple : vous êtes-vous déjà interrogé sur la montée du café dans un sucre ? Il est probable que non. Pourquoi ? Parce que c’est un phénomène banal et tout à fait normal, il n’y a donc pas lieu de s’y arrêter. Mais en fait vous ne savez pas pourquoi « c’est normal ». Ce qui se produit est incompréhensible a priori, et devrait donc interpeller n’importe qui : le café remonte tout seul en se moquant de la gravité ! Il se joue allégrement de la pesanteur ! On voit donc devant nos yeux se produire un phénomène qui contourne des lois incontournables (celles de la gravitation universelle) et on trouve ça… normal ! 2
Il en est de même avec le principe premier, et lorsqu’il sera désigné vous n’y verrez qu’une crétine évidence sur laquelle disserter vous semblera superflu, ridicule, aussi grotesque que de s’étonne

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