Yegomoya

Irmina Ntaconita

Description

Une invitation à vivre conscient de notre nature éternelle, source inépuisable de toute richesse.

Ce livre propage un message universel et intemporel.

Qu’est-ce que l’Univers ? Qui sommes-nous ? Quel est notre lien avec cet Univers ?
Cet ouvrage répond à ce type de questions. Il nous décrit le processus global de la création, du fonctionnement et de la manifestation de tout ce qui compose notre Univers. Il nous explique la nature fractale et holographique de cet Univers.
Ce livre qui s’adresse particulièrement à chaque humain, être universel éternel associé à une créature humaine éphémère, l’invite à vivre autrement pour honorer le but de sa vie ainsi que le but ultime de toute existence.

Sujets

• Santé et bien-être
• Confiance en soi et estime de soi
• Bien-être émotionnel
• Bien-être émotionnel
• Développement personnel
• Bien-être
• Bien-être
• Bien-être
• Confiance en soi
• Confiance
• Personal Growth
• Self-Esteem
• Religión
• Méditation (Thaïs)
• Self-help
• Succès (homonymie)
• Bonheur
• Religion
• Estime
• Estime de soi
• Méditation
• Sacerdoce
• Bien-être
• Spirituel
• Conscience
• Dieu
• développement personnel

Informations

• Publié par: Nombre7 Editions
• Date de parution: 26 décembre 2019
• Nombre de lectures: 1
• EAN13: 9782368329061
• Langue: Français

Extrait

YEGOMOYA ,
 
NOTRE UNIVERS ET SON CRÉATEUR SUPRÊME
RÉVÉLÉS
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
La SAS 2C4L — NOMBRE7, ainsi que tous les prestataires de production participant à la réalisation de cet ouvrage ne sauraient être tenus pour responsables de quelque manière que ce soit, du contenu en général, de la portée du contenu du texte, ni de la teneur de certains propos en particulier, contenus dans cet ouvrage ni dans quelque ouvrage qu’ils produisent à la demande et pour le compte d’un auteur ou d’un éditeur tiers, qui en endosse la pleine et entière responsabilité.
Irmina Ntaconita
 
 
 
 
 
YEGOMOYA ,
 
NOTRE UNIVERS ET SON CRÉATEUR SUPRÊME
RÉVÉLÉS
 
 
 
 
 

À mon fils bien-aimé Charles Ntwari.
 
Gratitude,
À vous mes petits-enfants Cléo Neza et Aloïs Kaze,
À votre maman Astrid,
À toute ma famille,
À tous mes amis, à tous mes frères humains,
À tous ceux qui, de près ou de loin, ont contribué à la réalisation de cet ouvrage,
À l’humanité,
À tous les règnes vivant sur Terre (Animal, végétal, minéral, invisible),
À tous les êtres vivants de tout l’Univers,
À tout ce qui existe, dont moi-même,
Éternelle gratitude pour votre existence, pour l’amour qui nous unit, pour votre présence, pour votre réconfort durant cette période de grand changement.
Gratitude à vous de me laisser contempler en chacun toute la splendeur qui vous anime,
Grâce pour l’unité que nous sommes, c’est notre richesse ultime, notre essence éternelle que nous sommes tous.
 
Préface
Amie Lectrice, Ami Lecteur,
Si la Vie vous amenait à croiser la route d’Irmina Ntaconita, il est un trait de cette femme – qu’Elle n’a vraiment pas épargnée – un trait que vous ne pourriez manquer de percevoir   ; un trait aussi évident que le nez au milieu de la figure : le calme de son expression   !
Le silence intérieur de cette femme meurtrie tout au long de sa vie par d’insoutenables blessures est… impressionnant. Certaines personnes ont l’extraordinaire faculté d’accepter les contraintes, les restrictions, les «   coups du sort   » – aussi injustes semblent-ils être – et de trouver en plus la force de rester pleinement concentrées. Irmina est une telle personne. Elle sait reconnaître le bienfait de la discipline et de la privation.
Pour une mère, quelle privation plus dure que celle de perdre son enfant   ?... brutalement. Un sans appel irrévocable, plus tranchant et décisif qu’une guillotine… «   J’étais toute seule face à cette terrifiante nouvelle : “mon fils est décédé” . Et tout mon être rejetait d’un bloc le sens de cette phrase. Mon mental appelait au secours, mais ne trouvait personne à appeler… “Cours, fuis ce cauchemar” me hurlait mon mental. Mais c’était impossible de bouger. Je tremblais toujours, collée à ce fauteuil, incapable de me lever, de coordonner le moindre mouvement.   »
La voix posée, sereine, franche, nous conte les intimes secrets du drame en mots simples, stylisés par un pudique et touchant dénudement, sans fioriture. Cette voix claire, ces mots d’une blancheur éclatante s’inscrivent en relief sur le fond noir du destin… Le contraste saisissant n’en renforce qu’encore plus la puissance du témoignage.
Amie Lectrice, ami Lecteur, vous trouverez sans aucun doute précieux les conseils d’Irmina sur la façon de gérer le deuil d’un être cher, d’une séparation, d’un licenciement. Les techniques de visualisation et d’appels à la puissance de l’âme sont connues dans le monde du développement personnel. Ces méthodes ont prouvé leur efficacité… jusqu’à un certain point.
Car, dans les profondeurs obscures de la matrice humaine règnent les forces d’appel à la souffrance, à la colère, aux plaintes, à la haine – toutes issues d’un NON viscéral. Les mots médecins des maux agissent, certes   ; ils soignent, sans nul doute   ; ils guérissent, oui : «   gratitude   », «   amour   », «   sérénité   », etc. Mais il est certaines confrontations impossibles à éviter, à repousser… Certains rendez-vous de l’Âme avec son propre destin   !
Il faut alors accepter la terrifiante plongée dans ces peurs ténébreuses. Le voyage est périlleux   ; il ne peut être mené à bien qu’avec, dans le Cœur, le seul remède-miracle, l’unique arme transformatrice qu’est l’Amour. Comme le proclame Irmina de sa voix sereine : «   une seule et unique vie anime tout   ».
D’où tire-t-elle cette certitude   ? De quel point au plus profond d’elle cette Vérité a-t-elle émané   ? Cette Vérité qui lui a donné l’exceptionnel courage de plonger dans ses peurs   ; d’infuser celles-ci d’une Sagesse éternelle, d’un Savoir ancestral… et de ressortir libre, éclatante, sereine.
La Vérité se dévoile souvent par une intuition, une fulgurance, un éclair inattendu, une transcendance par laquelle, soudain, la Vie se révèle. Amie Lectrice, ami Lecteur, vous connaissez ces flashes de cognition directe qui, abruptement et impérieusement, vous gratifient d’une lumineuse compréhension. Et le «   mais oui, c’est ça   !!!   » qui l’accompagne.
L’humanité aurait-elle survécu si longtemps sans ces cognitions illuminatrices   ? Pourrait-elle évoluer sans elles   ?... Toute grande découverte, scientifique, philosophique ou autre, procède originellement d’une intuition jaillissant des tréfonds de la conscience soudain silencieuse d’un esprit humain. La Grâce – le doigt de Dieu   ? – transfigurant l’Homme et sa vision de la réalité en une mutation immédiate. Les théories sur la relativité restreinte et générale auraient-elles émergées sans cette intuition de la courbure de l’espace-temps   ? La Gravitation, sans cette pomme en train de tomber   ?...
Sans la Grâce, que serait l’humanité   ? Sans la Grâce qui manie les synchronicités comme un jongleur jouant avec ses balles, à quelle source Irmina aurait-elle puisé la force de traverser l’enfer   ? Il en va ainsi de la Vie : Elle organise tout mais reste Elle-même invisible. Seul un être centré, capable d’un calme olympien pourrait discerner le silence au milieu de la tempête. Or, c’est au creux de ce silence que l’on rencontre l’Intelligence créatrice.
Est-ce un hasard si son fils adoré disparaît quelque temps après que la Grâce a touché l’esprit d’Irmina   ? Le hasard, s’il existe, est la manifestation de la Vie organisatrice, invisible. Comme si la Vie lui avait d’abord offert des ailes, puis avait créé un gouffre juste à ses pieds.
Les ailes envoyées se présentèrent sous la forme d’une révélation, d’une intuition tout einsteinienne de l’Architecture cosmique, du Plan divin, des mécanismes de la Création. Une réalisation qu’Irmina vous révèle, amie Lectrice, ami Lecteur sous forme de cosmogonie résonnant d’un moderne écho à l’ancestrale Connaissance védique.
Quand Irmina m’a demandé de lire son manuscrit, nous étions alors juste avant le Gouffre – enfin, je crois car ce n’est que de nombreux mois après le drame qu’Irmina, dans la pudique sensibilité qui la caractérise tant, me révéla ce dernier. Dès les premières pages, je reconnus cette même description des mécanismes de la Création que les Sages de l’Inde védique énoncèrent il y a plus de cinq mille ans dans le tout premier verset du Rig Veda, texte le plus ancien de l’Humanité :
«   Agnimeele purohitam yajnasya devam ritvijam hotaaram ratnadhaatamam   ».
Bien sûr, de nombreux experts se sont penchés sur la compréhension de ce verset   ! Aucune de leurs interprétations n’approche d’aussi prêt celle du grand Sage Maharishi que le «   YEGOMOYA   » transmis par Irmina. YEGOMOYA : la conscience devenant consciente d’elle-même se regarde dans son propre miroir… le Jeu de la Création peut alors commencer   !
Yego est la Conscience-Amour   ; Oya est la Conscience-Potentiel. Entre les jeux de Yego-«   Oui   » et Oya-«   Non   » se mettent en place les mécanismes de la Création jusqu’à ce Points-Création que nous – Âmes – sommes. Notez, amie Lectrice, ami Lecteur, le «   M   » entre Yego et Oya : ne vous rappelle-t-il pas le «   ommmmm   », la vibration cosmique originelle   ?
La Connaissance est éternelle. Par-delà les milliers d’années nous séparant des Maharishis védiques, le Savoir absolu issu de cette source éternelle se déploie dans toute sa Grâce, à nouveau, par son médium privilégié : l’Intuition, la Cognition. Et c’est Irmina qu’il a choisi de bénir… Pour quelle raison elle et non pas un autre humain   ? Parce que le Gouffre approchait… Parce qu’il lui faudrait cette source de Lumière pour l’aider à descendre avec succès dans les enfers et en ressortir purifiée… Parce que son cher enfant s’apprêtait à lui faire un don inestimable et que lui aussi, par ce don même, monterait au ciel.
Un mutuel cadeau   ; le cadeau de trois Consciences à trois Êtres : la Vie, Irmina, Charles Ntwari. Finalement et dans «   l’esprit YEGOMOYA », le cadeau du Créateur à Lui-même. Ce cadeau, vous et moi amie Lectrice, ami Lecteur, nous est aussi destiné car comme le dit Irmina : «   Je suis le Créateur   ; Je suis tout ce que Je crée.   »
Seul Yego-la Conscience-Amour peut s’offrir à ce point aussi absolu. C’est parce que Yego était entré dans les plus subtiles couches de la conscience d’Irmina, quelques mois avant la Rupture, que cette mère affligée put offrir son Être tout entier, tel Abraham offrant son propre fils David comme preuve ultime de l’Amour absolu.
Le message d’Irmina, à travers son vécu personnel et ses intuitions transpersonnelles, est une invitation à creuser au plus profond de soi, jusqu’à la source pure de la Vie, celle qui lave de tout… La profonde humanité de son témoignage force le respect car il dévoile la force intrinsèque de l’Homme à transcender ses «   faiblesses   », à élargir toujours plus le champ de sa Conscience, à trouver la Vie derrière la Mort.
Jacques Chapoutot
Un Ami
Jacques Chapoutot
Analyste, Guide, Professeur & Ravepsychologiste
International Certifié du Design Humain,
Professeur de méditation transcendan