Et si on en parlait...

AIMÉ MONOKO BARATO MARANATHA

Description

Aimé Monoko Barato Maranatha est né à Téhiri, un village de la commune de Ouraga- hio, dans la région du Gôh. Fonctionnaire et ancien footballeur de haut niveau, il est aussi passionné de culture, particulièrement de mu- sique. Surnommé le mari des veuves et le père des orphelins, Monoko consacre également une partie de son temps, avec son ONG Côte d’Ivoire Solidarité, à soulager les veuves et les orphelins. Fervent chrétien depuis un quart de siècle, l’homme exhorte, sensibilise et transmet les préceptes des Saintes écritures à travers Et si on en parlait..., un recueil d’enseignements moral, spirituel et sociétal, des chroniques destinées à une transformation positive de nos vies.

Sujets

• Côte d'Ivoire
• Chronique
• Saintes Écritures
• Christianisme
• Chrétien
• Costa de Marfil
• Littérature Ivoirienne

Informations

• Publié par: Editions Mouna
• Date de parution: 01 janvier 2023
• Nombre de lectures: 3
• EAN13: 9782493805065
• Langue: Français

Extrait

AIMÉ MONOKO BARATO MARANATHA

Et si on en parlait… Chroniques inspirées par l’Eternel DIEU pour nous enseigner la vie de tous les jours

Les Éditions Mouna ISBN : 978-2-493805-06-5 Dépôt légal de la République de Côte d’Ivoire N°19.301 du 12 décembre 2022 ème 2 trimestre 2023

Sommaire

Préface 9 Avant propos 11 Servons DIEU pendant qu’il est encore temps 15 Zéro honte ! 17 Le canal 19 Elevé et révélé par DIEU, on ne doit plus parler comme on veut ! 23 Où as-tu mis ton projet ? 27 Les doigts de la main n’ont pas la même taille 31 De quel type de diarrhée souffres-tu ? 35 Que gagne le Seigneur à la position sociale qu’il t’a donnée ? 39 On s’en va là-bas comme ça ! 41 Tchiééééé ! 43 Il n’y a que toi ! 47 Je me suis trompé 49 Et si on demandait autrement ? 51 Ranger les affaires 55 Le lait, aliment de croissance 57 Continuer malgré tout ! 61

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Et si on en parlait...

Tout passe…sauf les promesses de l’Éternel 63 Godo godo ! 67 Le policier qui donne la vie et la vie en abondance 71 Tous égaux et utiles 75 La posologie 77 Les plaies et les cicatrices 79 Il faut tenir ferme en dépit des épreuves et des douleurs 81 Qui se reconnaît ? 83 N’abandonnons jamais, le diable est un menteur 85 Comment gérons-nous les bonnes ou les mauvaises nouvelles que nous recevons ? 87 Pardon, ne sois pas un mal nécessaire 91 La semence 95 40 jours ou 40 ans, que choisis-tu ? 99 Trop, c’est trop ! 103 Le regard des autres 107 Kôkôkô ! 111 Reviens 115 Pauvre manguier, yako ! 119 Sois éclairé ! 121 Si Dieu me donne l’argent… 123 Encadrons, enseignons avec amour et douceur… 125

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REMERCIEMENTS

Je voudrais, à travers ces lignes, dire merci tout d'abord à notre DIEU, le DIEU Tout-Puissant dont les bontés ne sont pas épuisées, les compassions ne sont pas à leurs termes et dont l’Esprit m’a modestement inspiré cet ouvrage. Je dis ensuite merci à mes défunts parents pour leur œuvre dans ma vie. Je remercie de manière spéciale mon adorable épouse, Odette Kouamé Monoko dite Odette Monoko 89 (en mémoire de la date de notre rencontre), à mes cinq merveilleux enfants : Gérard, Olga, Franck, Emmanuel et Kyllian et à mes petites sœurs adorées : Clémentine, Virginie et Françoise. Merci à toute la multitude d’enfants que la vie m’a donnés. J’exprime également ma gratitude au directeur géné- ral des Douanes de Côte d’Ivoire, le Général Da Pierre Alphonse, et à toute ma hiérarchie. Un remerciement spécial au Colonel Kamagaté Ibrahime. Mon amitié renouvelée à Messieurs Kouassi Dah Koko et Jean Savié Nomel. Désiré Sié Youl, Sylvain Gnabéhi, Papou Linpé de Téhiri, Séri Bayé Casimir, Louloux Léopold Rosier, Hubert Yoro

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Et si on en parlait...

Okou Jhon, Hokou Legré Réné, Richard Bayé Gbozéa et Alara Désiré Gnonogo. Je n’oublie pas mes collègues. Je suis reconnaissant aux artistes de Côte d'Ivoire et d'ailleurs notamment mon fils Lunic, qui m’ont rendu hommage à travers leurs chansons et sans lesquels je n’aurais certainement pas eu cette petite notoriété. Merci pour leur amitié. Enfin, je dis un grand merci à tous ceux qui me por- tent dans leur cœur et qui me le démontrent de di- verses manières au quotidien. Big respect à monsieur Marcellin Atissony-Lgp. Un clin d’œil spécial à l’inamovible Gervais Ouraga dit G24 et aux inconditionnels Guillaume Vergès, Abdoul Kapo, Miss Haudy, Hervé Posson, Aboké Guyzo, César Ehouman, José Tély, Euloge Kuyou qui m’ont toujours boosté et accompagné dans toutes mes entreprises. À tous ceux que je n’ai pas pu citer ici, sachez que vous avez tous du prix à mes yeux. Et si on en parlait... vous est dédié. Maranatha

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PRÉFACE

Avoir la foi, une foi inébranlable en Dieu ; croire en cet être suprême, le mettre au centre de tout ce que nous entreprenons, parler de Lui, de Sa grandeur, de Sa bonté, tels sont les enseignements mis en évidence par Aimé Monoko dans ce recueil de réflexions inti- tuléEt si on en parlait… Et si on en parlait…, ce sont trente sept chroniques qui mettent en valeur la puissance du Très Haut et qui nous incitent à proclamer Ses bienfaits. La pre- mière chronique :Servons Dieu pendant qu’il est en- core temps,est une invitation à servir notre Créateur, pas seulement dans les moments difficiles ou au soir de notre vie, mais à tout moment et à tout âge car, comme Aimé Monoko lui-même le dit si bien :Pour- quoi pensons-nous que Dieu n’aime que les vieilles choses ?Plus loin, dans la quinzième chronique :Le lait, aliment de croissance, la métaphore du lait est utilisée à juste titre pour nous exhorter à mieux faire dans la société et, ce, à tous les niveaux ; à donner le meilleur de nous-mêmes pour le bien commun. À l’image de ces deux chroniques, c’est l’œuvre dans son ensemble qui nous invite à une remise en question.

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Et si on en parlait...

Je m’apprêtais à me rendre à San Pedro, sur invita- tion de la Direction régionale de l’éducation nationale et de l’alphabétisation de cette région, pour animer une conférence surLa place de la lecture dans la réus- site scolaire des apprenants, quand Aimé Monoko que j’appelle affectueusementMon grand-frèreme fit par- venir son texte. Il souhaitait que j’en écrive la préface. Je décidai alors de le lire avant de donner mon accord. Pendant le trajet, je sortis donc ce recueil de cent trente deux pages et me mis à le lire. Je le lus d’une traite. Il se parcourt assez facilement. La lecture ter- minée, ma décision fut prise : cette préface, je l’écrirai avec grand plaisir. Ces cent trente deux pages de témoignages, de conseils et d’exhortation m’ont marquée positive- ment et je suis convaincue que ce sera le cas pour chaque personne qui aura cet ouvrage. Lisez-le, pre- nez notes, appliquez les préceptes donnés et n’hésitez pas à le recommander à votre entourage. Je ne peux que me rejouir de cette œuvre et je suis sûre qu’Aimé Monoko ne s’arrêtera pas en si bon chemin et qu’il nous édifiera avec d’autres réflexions, d’autres ensei- gnements dans le même registre. D’ailleurs, il le laisse entrevoir à la fin par la dernière phrase du livre. Plein succès à ce premier texte de l’ami des veuves et des orphelins, bon vent à ce premier opus de l’ami des artistes. Anzata Ouattara

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AVANT-PROPOS

Nous avons pris le soin d’observer notre environne- ment, dont nous sommes d’ailleurs partie prenante. Nous avons observé nos comportements dans di- verses situations : nos actions, nos réactions et les conséquences qu’elles produisent. Nos ménages et les réseaux sociaux n’ont pas échappé à cet exercice. À la lumière donc de ce qui se passe dans nos mé- nages et sur les réseaux sociaux, nous avons jugé bon de produire ce recueil baptiséEt si on en parlait… pour proposer une approche nouvelle de nos rela- tions interpersonnelles d’une part mais aussi amélio- rer notre relation avec le Seigneur d’autre part. Je tiens à lever tout de suite une équivoque. Ce re- cueil n’est pas littéraire. Il est pauvre en procédés sty- listiques, tels que voulu par les amoureux des belles-lettres. C’est la contribution d’un novice des lettres à l’amélioration de notre marche avec le Sei- gneur. Nous avons donc dit les choses de manière simple, peut-être même simpliste, dans le souci de nous faire comprendre par tous, y compris ceux qui n’ont pas connu un long parcours scolaire. Ce sont des réflexions inspirées de l’expérience de l’auteur avec le Seigneur, de l’expérience de certains

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