La genèse du climat terrestre racontée aux lecteurs non scientifiques
208 pages
Français

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Description

Pourquoi sur tous les continents les inondations sont-elles plus fréquentes et dévastatrices ? Pourquoi un réchauffement climatique génère-t-il tant de bouffées de froid inattendues ? Comment les nuages flottent-ils sans enveloppe dans l'atmosphère sur de l'air humide ? Pourquoi le Big Bang n'est-il pas convaincant ? Comment la sève parvient-elle à monter à la verticale dans des arbres hauts de plus de cent mètres ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage accessible à tous se propose de répondre. Grâce à leurs télescopes, les astronomes ont découvert que l'insondable cosmos, au sein duquel nous vivons sur notre planète Terre, était un univers de froid intense peuplé de galaxies composées chacune de milliards d'étoiles visibles la nuit dans la voûte céleste ; ce livre est innovant car il attribue justement au froid cosmique autant d'importance qu'à la chaleur solaire et aussi parce qu'il met en jeu la loi de l'attraction universelle de Newton. Avec clarté et pédagogie, l'auteur signe un essai de vulgarisation qui saura passionner les néophytes.

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 10 juin 2016
Nombre de lectures 1
EAN13 9782342052251
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0064€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

La genèse du climat terrestre racontée aux lecteurs non scientifiques
Charles Caparros
Société des écrivains

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Société des écrivains
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
La genèse du climat terrestre racontée aux lecteurs non scientifiques
 
Toutes les recherches ont été entreprises afin d’identifier les ayants droit. Les erreurs ou omissions éventuelles signalées à l’éditeur seront rectifiées lors des prochaines éditions.
 
 
 
Avant-propos
 
 
 
Les aléas du climat terrestre génèrent des inquiétudes.
Dans le but d’en mieux connaître les causes, cet ouvrage est rédigé afin d’être compris par les lecteurs non scientifiques. Il fait appel au bon sens en citant le plus souvent des exemples.
Les exposés sont donc dépourvus de tout calcul différentiel et intégral, ainsi que de courbes de relevés interprétables uniquement par des professionnels la plupart du temps.
 
Dans les prévisions à long terme du climat terrestre, soit un siècle environ, le modèle proposé actuellement par les climatologistes contient, semble-t-il, une première  erreur en utilisant un bilan énergétique du climat uniquement basé sur le rayonnement solaire , sans tenir aucun compte du gigantesque froid cosmique dans lequel baignent tous les astres, en particulier le Soleil et la Terre.
Or la température du froid cosmique, loin de toute masse astrale, est de 273,15 degrés Celsius (que l’on peut écrire 273,15 °C), et ce froid est présent partout.
 
Citons quelques exemples.
Dans les zones tempérées et froides de la planète, on construit des maisons avec des matériaux de plus en plus isolants, mais cela ne suffit pas : il faut chauffer l’intérieur, car au bout de quelques jours, il fait presque aussi froid à l’intérieur qu’à l’extérieur, l’hiver.
C’est la raison pour laquelle on a inventé les cheminées et les radiateurs.
Il n’existe pas de frontière parfaitement étanche entre le chaud et le froid.
Mais le froid ressenti attend derrière la porte, on le retrouve immédiatement en sortant.
 
À plus grande échelle, lors d’une éclipse totale de Soleil, les habitants présents sur la surface terrestre balayée par l’éclipse voient le jour disparaître plus vite que le soir et ils ressentent mieux le résidu de froid cosmique.
C’est bien la preuve que le froid est partout présent sur place pour refroidir l’atmosphère.
D’autre part, quand la lumière du jour cède quotidiennement la place à la nuit, toutes les masses de la surface terrestre, océans compris , chauffées par le Soleil pendant douze heures en moyenne le jour, se refroidissent au contact du froid cosmique.
 
Chaque matin, le Soleil retrouve donc toujours plus froides toutes les masses de la planète qu’il avait réchauffées la veille , car le froid cosmique ne disparaît pas comme le Soleil, la nuit.
Il est donc très difficile, sinon impossible, de faire un bilan thermique de l’atmosphère exact du froid et du chaud, en ne tenant compte que du rayonnement solaire, comme c’est le cas .
 
Le climat terrestre résulte en fait des conflits permanents entre la chaleur solaire et le froid cosmique dans lequel baignent en permanence tous les astres.
 
Il faut cependant préciser que la majeure partie de la source chaude, c’est-à-dire le Soleil, ne réchauffe pas directement l’atmosphère. Les photons solaires, qui traversent cette atmosphère à la vitesse de la lumière, percutent très peu de molécules d’air au passage en les chauffant, mais butent sur les continents et les mers en y déposant tout le reste de leur chaleur.
 
La source de chaleur solaire provient alors majoritairement du sol chaud et non plus du Soleil.
C’est la raison pour laquelle la température des masses d’air de l’atmosphère diminue en général quand l’altitude augmente, car le froid cosmique pénètre dans l’atmosphère en direction du centre de la Terre, tandis que la chaleur solaire monte à sa rencontre en altitude.
 
Bref, le froid cosmique est toujours présent pour faire baisser la température de toutes les masses solides, liquides et gazeuses présentes sur la surface de la Terre et dans son atmosphère.
 
Or, après avoir négligé le rôle du froid cosmique, le modèle proposé actuellement ajoute qu’il existe une incertitude sur le rôle des nuages dans le déroulement du climat.
 
Sans froid cosmique pour tempérer au fur et à mesure la gigantesque quantité de chaleur solaire reçue par la Terre, et sans certitude sur le rôle des nuages dont la vapeur d’eau ne peut être condensée que par du froid, comme nous allons le voir, on ne trouverait aucune trace d’eau douce sur les continents, et aucune vie telle que la nôtre n’aurait pris naissance sur terre.
 
Cela étant, dans ce bras de fer entre le monde de la chaleur créé par le Soleil et le monde du froid cosmique qui entoure notre étoile, lequel est le plus fort ?
Cela dépend de l’endroit où l’on mesure la température.
 
En partant de la Terre , où la température de l’homme est stabilisée à 37 degrés par sa thermogénèse, jusqu’au centre du Soleil , la température augmente sur les astres rencontrés.
 
En effet, la Terre tourne autour du Soleil à une distance moyenne égale à 150 millions de kilomètres.
Sur la planète Vénus, qui évolue à une distance du Soleil de 108 millions de kilomètres en moyenne, la température au sol atteint 470 °C dans une atmosphère de CO 2 étouffante.
Sur la planète Mercure, la plus proche du Soleil, qui tourne sur son orbite à 58 millions de kilomètres du Soleil, la température au sol est de 427 °C sur la face éclairée et chauffée par le Soleil, et 169 °C sur sa face à l’ombre.
Enfin, la température à la surface du Soleil est de 5 500 °C, mais en son centre elle est de l’ordre de 15 millions de degrés : le froid cosmique agit donc aussi sur la température solaire.
C’est normal, car le Soleil a besoin de froid pour fonctionner, comme les «  minuscules  » centrales nucléaires construites par l’homme sur terre, lesquelles sont toutes construites près des fleuves ou des océans qui leur servent de source froide continue, à défaut de quoi elles exploseraient.
 
Il en est de même pour le gigantesque Soleil qui entraîne ses planètes autour de la Voie lactée à une vitesse de 250 km/seconde dans le cosmos , dont la température, quand on y présente une masse, est de 273,5 °C.
La masse gazeuse solaire ne peut se disperser dans le cosmos car elle est retenue par sa gravitation, mais c’est l’insondable froid cosmique qui lui sert en permanence de source froide toujours renouvelée grâce à cette énorme vitesse , sinon le Soleil exploserait aussi.
C’est ce qui arrive aux énormes étoiles qui sont insuf-fisamment refroidies au niveau du centre, trop éloigné du froid !
 
En revanche, sur la planète Mars, plus éloignée du Soleil que la Terre, à 208 000 kilomètres environ, la température moyenne du sol et de 63 °C, avec des écarts allant de 3° dans l’hémisphère qui fait face au Soleil et de 123° aux antipodes.
Citons encore la planète gazeuse Jupiter qui évolue à une distance de 780 millions de kilomètres du Soleil, dont la température des gaz en surface est de l’ordre de 161 °C.
 
On constate donc logiquement que plus une masse est éloignée du centre du Soleil, plus elle est froide, ou moins elle est chaude, ce qui revient au même et n’étonne personne.
 
La température du monde cosmique reste donc constante à 273,15 °C loin de toute masse.
Cette température n’augmente que sur une masse chauffée par une étoile, c’est le cas de la Terre dans le système solaire.
 
Le bilan thermique du modèle de climat élaboré actuellement, ne tenant compte ni du rôle du froid cosmique ni du rôle des nuages , est donc mal adapté.
 
Il nous faut donc impérativement, dans cet ouvrage, commencer par élucider le mystère concernant le cycle de l’eau qui inclut le rôle des nuages.
 
Or on ne sait pas encore comment les nuages peuvent flotter dans l’air , sans enveloppe , comme des ballons dirigeables poussés par des vents, ni pourquoi ils se déforment en permanence, esquissant ainsi des dessins ou des profils qui ont toujours attiré l’attention de l’homme.
 
Ces deux phénomènes naturels, nous le verrons, sont liés à la loi de l’attraction universelle de Newton qui fait un tri en temps réel entre les masses d’air de l’atmosphère de densités différentes.
Les masses d’air les plus lourdes tombent vers le sol, mais les montgolfières, de densité moyenne plus faible que l’air qui les entoure, montent dans l’air comme le font les nuages.
 
Il faut ensuite découvrir la nature de l’ascenseur à vapeur d’eau issue des océans (laquelle est invisible au départ), qui donne naissance en altitude à des nuages visibles, lesquels flottent sans enveloppe , comme les ballons dotés d’une enveloppe inventée par l’homme.
 
Une fois ces mystères élucidés, il en subsiste un autre, celui des gaz à « effet de serre » dont le plus important est le CO 2 , au taux de 0,04 % au maximum dans l’air de l’atmosphère. Mais la vapeur d’eau, gaz à « effet de serre » aussi, peut atteindre la concentration de 4 % dans l’air.
À un taux si faible, le CO 2 pourrait-il être le facteur dominant du réchauffement climatique ?
Ou bien ce choix serait-il une seconde erreur dans le mécanisme du climat adopté ?
Le lecteur, mieux informé après élucidation de ce qui précède, pourra prendre part à ce débat.
 
Cela étant, dans quel ordre va-t-on traiter ces différents problèmes ?
 
Le premier chapitre est consacré au Soleil et au froid cosmique.
Le Soleil éclaire et chauffe le jour seule

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