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Description


« Comment résumer notre existence, notre potentiel, notre richesse, le sens de nos vies ? »



Cet ouvrage contient bien plus que des mots issus d’une simple juxtaposition des écrits de tous les penseurs de l'humanité. Pour l’auteur, une simple image lui parait plus encline à illustrer ce qui se trame à l’intérieur de ce livre.



En partant de sa matière brute l'homme parvient à s’élever, sa conscience se révèle et suit ce chemin pyramidal de la progression. Puis, les paliers de la connaissance, les états de la conscience, les traces de l'homme traversant les sillages du temps qui se referment et se rétrécissent font leur apparition...



Pourquoi ?



Existe-t-il une fin ?



Un après ?



Qu’est-ce qui se trouve « derrière » ?



Que faire ?



« Pierre philosophale, grand dessin de l'alchimie, transmutation des métaux qui, sous le symbole de l'infinité, parviennent à allier la force des éléments déployés dans le cosmos. Ces éléments qui, en somme, nous noient, nous portent, nous entourent et nous composent.



Oui ami lecteur, ce live est une invitation au voyage. Il représente une simple enveloppe contenant un ticket d'avion qui vous conduira tout droit au pays de votre monde intérieur.



Toutefois, il n’y a nul clef, nulle promesse, juste quelqu'un, qui, comme vous, doute et sait que nous sommes uniquement ce que l'on tente de nous faire croire ; une coquille périssable sans but, créée à partir d'un grand vide et qui, comme par magie, survit grâce à la nécessité de manger et de consommer.



Une histoire simple, des mots simples, pour une leçon de vie encore plus simple : "ouvrons nous à l'ère promise, celle qui, au fond de nos cœurs, nous attend". »

Sujets

Informations

Publié par
Date de parution 16 mars 2016
Nombre de lectures 0
EAN13 9782334055840
Langue Français

Informations légales : prix de location à la page 0,0135€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.

Extrait

Couverture
Copyright













Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com

Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.

ISBN numérique : 978-2-334-05582-6

© Edilivre, 2016
Préface

J’avais en préface l’intention d’affirmer mon style, de proposer des démonstrations pleines d’emphase, d’accéder à des niveaux divers de lecture, de jouer avec les mots, d’intellectualiser, de capter l’attention du lecteur par des exercices sans rechercher nonobstant une reconnaissance littéraire qui ne pourrait se laisser tromper par ces broderies.
De toutes ces tentatives introductives nous pourrions sans peine constituer et remplir un tome entier, néanmoins à la fin de chacune de ces velléités il apparaissait clairement que l’essence de la satisfaction me refusait son cachet approbateur. Les styles différaient, mais, alors que j’intercédais auprès d’un humour plus complaisant, que j’appuyais le ton grave du narrateur pondéré et solennel, que je défendais ardemment par les armes de la critique, que je m’escrimais dans des passes émérites en doublant des attaques éclatantes et imparables, tout finissait par se résorber dans un sentiment d’exaspération, de désenchantement. Peut-être ne convenait-il simplement de ne rien dire et débuter sans ambages, seulement, sans lâcher prise, demeurait l’intuition qu’il fallait substituer cette tentante facilité de l’esquive par un message qui condenserait ma pensée et l’illustrerait.
Généralement on se sert pour se faire d’une citation qui nous a séduit chez un autre auteur, et bien qu’il ne soit pas difficile de trouver des vers plus travaillés que les miens, je sentais que ce n’était dans la paraphrase qu’il me convenait de chercher, ni dans une démarche de retranscription intellectuelle, mais juste en restituant les premiers messages reçus par lesquels ma résurrection, ma transformation, débuta.
Alors que mon âme s’élevait, suivant le chant mélodieux de l’oiseau qui montait dans un ciel à la Vasarely rempli de petits carreaux de couleur orange puis jaune, brillants, et s’harmonisant progressivement à un blanc uniforme, je découvrais le royaume de l’ensoi, du Bien-être où rien de plus accompli ne peut être. Je comprenais que là était notre finalité, notre chemin ultime, la source de notre conscience. Puis, après avoir ressenti cette extase totale je sentais que les anges me guidaient vers le bas, me ramenaient à mon corps. Une indescriptible tristesse s’empara alors de moi et je suppliais de me reprendre, prêt à abandonner mon corps ma vie ; dans ma tête les anges s’exprimèrent alors de la sorte :
« Ne sois pas affligé, sache que nous ne t’abandonnons pas et que nous serons près de toi, ne pleure pas car ce que tu as vu là haut tu peux le vivre ici bas, regarde l’arbre regarde ta famille, tes amis tout dépend de ton regard de ton cœur. Apprend à aimer et tu connaitras la même félicité, l’heure de venir nous rejoindre n’a pas encore sonné, ta mission est d’élever ton cœur et de transmettre le message, va »
Non, je ne suis ni un messie ni un surdoué, ni investi de prétendu pouvoir, et finalement il n’y a au travers de ce message rien que nous ne puissions comprendre ou accomplir, nous n’avons besoin ni d’un code pour déchiffrer une telle évidence ni d’outil pour nous réaliser. Socrate nous le confiait dans son « Gnôthi sauton », la majorité des écrits de saint, sage ou philosophe s’y réfère, il ne faut que sonder notre cœur, là est la clef du bonheur de la réalisation, rien de transcendant magique surnaturel : c’est juste en nous que se cache le souffle de l’univers.
Introduction

Ce livre est la mise en commun de deux histoires, qui, si rien d’apparence ne rapprochait et défiant toute prédiction finirent par s’assembler et se compléter.
Une union qui, au delà des frontières, cultures, langues, conceptions, croyances, sensibilités œuvra à tous les niveaux, tant aussi bien dans leur couple mais qui également se vérifia dans leur travail dans l’amour, dans leur recherche spirituelle et personnelle de l’un comme de l’autre, de l’un grâce à l’autre.
Une rencontre impossible qui pourtant était inscrite dans leur inconscient, qui fut orchestrée par des événements et entités, des lors pourra-t-on, peut-on, parler de hasard quand on se réfère à l’humanité ?? Seule l’ignorance ou la vanité influera pour l’affirmative. Plus logique serait de s’aligner et reconnaitre, même si nous n’en discernons la trame le fonctionnement et les raisons, qu’il y a comme des fils invisibles qui nous poussent vers une direction. Nous serions comme une marionnette douée pensante avec des pouvoirs de réaction et de choix, mais non uniquement cet être libre foncièrement tourné face à un monde incohérent ou privé de sens.
Ce livre raconte deux chemins, néanmoins ne s’inscrit pas dans la tradition des autobiographies classiques, n’aura la prétention par la suite de rivaliser avec des traités scientifiques ni n’affirmera son intention de compléter toute thèse à consonance religieuse ou philosophique, enfin n’offrira nulles propositions à caractère exhaustif sur lesquelles il conviendra de s’aligner forcement, il ne tente à prouver, à convaincre, à révéler, mais seulement invite à une réflexion, à une prise en main du sens de votre existence par vous-même, à la recherche de votre chemin intérieur et personnel du bonheur.
Parler, conseiller, échafauder des théories, rêver, est simple.
Vivre des expériences sans en retenir des enseignements en les dénudant de tout contenant et signification est simple. Finir, comme semble le prouver notre histoire, par nous déresponsabiliser nous diminuer pour ne retenir que notre carapace dorée, nous isoler de nos devoirs et pouvoirs, sombrer dans l’amnésie et l’inconscience pour ne se révéler que dans la représentation comptable matérielle tangible exploitable économique est simple, assure le confort provisoire mais ne garantie pas le bonheur ni le futur.
De la première proposition (concevoir mais ne pas mettre en pratique, parler proposer se cacher derrière les mots mais corrompre le passage à l’acte ou ne respecter ce que l’on dénonce et se déjouer de ce que nous recommandons ouvertement) à la seconde (qui se contente de libérer ses instincts – Nietzche voyait dans cette force la manifestation du surhomme certes, mais à condition qu’elle ne soit non plus de nature a étouffer son essence qui est également de nature spirituelle ; c’est ainsi que dans sa dialectique l’esclave surpasse sa condition tandis que le maitre finit par s’aliéner, ce qui se vérifie de nos jours – sans évaluer estimer la valeur de ses actions) nous voyons les limites et les formes intrinsèques d’irresponsabilité, de fuite, de dénie qui nous condamnent et nous ferment les portes de notre réalisation.
Je me propose un chemin du milieu.
Partir de mes expériences personnelles, simples, vécues, celles de Mr Tout le monde, et non celles d’un génie d’un élu d’un être à part. Non pour glorifier mon parcours, me faire de la pub, marcher sur les plates-bandes de Yourcenar ou de Sand, mais juste pour partir d’une matière d’événements et en soutirer la substance la sève et la goutter, l’étudier.
Ces histoires banales ne feront concurrence aux épopées d’Ulysse, ni pourront se rapprocher des fresques d’un Marco Polo, d’une A. David Néel, ni encore s’inspireront des œuvres comme celles rendues célèbres par l’adaptation cinématographique de « carnet de voyage » avec laquelle certains qui connaitront mon récit verront pourtant des rapprochements ; elles n’ont rien de sublime ni de grandiose, ces histoires qui suivront auraient pu être les vôtres, sont celles de millions de personnes, mais en même temps elles furent les nôtres la mienne, et je sais ainsi qu’elles furent vraies, sans que nous en déduisons partant un accent de suspicion concernant celles d’autrui, mais juste un élan de sagesse qui me pousse à ne reconnaitre pour vrai que ce que je vois et ressens.
J’aurais certes aimé que ces scènes de ma vie soient plus extravagantes, plus riches en émotion, plus uniques, plus proches de l’exploit, me rapprochant davantage de l’image du Héros de l’Aventurier, mais il n’en fut rien ; je n’ai cette étoffe, et avec Maria nous ne sommes rien de plus que ces deux quidam que vous pouvez croiser dehors sur le trottoir, assis dans un bus un mouchoir à la main, Maria croquant un fruit moi essuyant mon nez, riant ou pleurant.
Sans fierté ni honte je vous en raconte des épisodes, avec franchise, justesse, pour vous démontrer que, dans une vie classique, dans une existence routinière, monotone, l’exceptionnel sommeille, le merveilleux est là, latent, murissant prêt à éclore à se révéler, et n’attend que l’on se penche dessus pour se manifester, illuminer notre vie de sens de bonheur, éclairer tout notre être de son rayonnement.
Pour vous démontrer qu’il y a autant potentiellement la possibilité de rejoindre la liste de personnes comblées qu’il y a d’hommes sur terre.
Que cela ne dépend pas de notre condition de notre habit de notre situation sociale, mais de notre regard, de ce que nous voulons voir, de notre courage, de notre foi, de ce que nous considérons comme essentiel. Qu’un riche notable, qu’un président, qu’une star, qu’un millionnaire ne connait pas forcement la quiétude ni la satisfaction au fond de soi, ne réussira à se remplir intérieurement de cette lumière qui peut non seulement s’éteindre en leur cœur mais même pire jamais rayonner en leur entourage, et que leur profil bien ajusté ne garanti comme pouvoir que celui de parler davantage et la fade réverbération de leur portrait dans leurs chaussures vernies.
Que l’épaisseur de l’habit ne fait qu’étaler notre prétention notre vanité notre ignorance nous éloignant de nos devoirs de nos valeurs simples et belles que tous peuvent ressentir, sans c

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