Nagrudnye znaki Russkoi Armii
240 pages
Français
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Description

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1966
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1-25,
-.
consacré aux insignes régimentaires de l'armée impéaux amateurs de passé militaire et aux collectionneurs de tous pays. Il présente les insignes des établissements de l'enseignement militaire (académies, écoles supérieures, écoles militaires et corps des cadets), ceux des unités de la Garde Impériale, des corps de troupe à pied (régiments de grenadiers, d'infanterie et de tirailleurs), des régiments de cavalerie (dragons, uhlans et hussards), des troupes cosaques et ceux
Ce
recueil,
riale russe, s'adresse
d'artillerie et
du
génie.
Le texte, donnant l'explication et la description des insignes, est en russe, mais pour mettre ce travail à portée des amateurs de langues française, anglaise et allemande, dont le nombre ne cesse de croître, nous avons doté tous les croquis de légendes en français. Elles seront certainement compréhensibles à tous.
les croquis, le papier le permet parfaitement, trouveront les indications nécessaires, pour la grande majorité des cas, dans le texte russe. Un dictionnaire à la main, cela ne doit pas être impossible...
Ceux qui voudront colorier
L'insigne régimentaire, sous forme de blason, a été conçu par Pierre-le-Grand. Officiellement consacré, le 8 mars 1730, par un rescrit du Sénat, il a été fort employé au XVIIP siècle, sur les drapeaux, les sceaux, les coiffures et les hausse-cols des officiers. Son usage s'est perdu au XIX"" siècle, mais vers les années 50, portées ...

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Publié le 11 janvier 2011
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Langue Français
Poids de l'ouvrage 12 Mo

Extrait

. 1966 . , . 1-25, -. consacré aux insignes régimentaires de l'armée impéaux amateurs de passé militaire et aux collectionneurs de tous pays. Il présente les insignes des établissements de l'enseignement militaire (académies, écoles supérieures, écoles militaires et corps des cadets), ceux des unités de la Garde Impériale, des corps de troupe à pied (régiments de grenadiers, d'infanterie et de tirailleurs), des régiments de cavalerie (dragons, uhlans et hussards), des troupes cosaques et ceux Ce recueil, riale russe, s'adresse d'artillerie et du génie. Le texte, donnant l'explication et la description des insignes, est en russe, mais pour mettre ce travail à portée des amateurs de langues française, anglaise et allemande, dont le nombre ne cesse de croître, nous avons doté tous les croquis de légendes en français. Elles seront certainement compréhensibles à tous. les croquis, le papier le permet parfaitement, trouveront les indications nécessaires, pour la grande majorité des cas, dans le texte russe. Un dictionnaire à la main, cela ne doit pas être impossible... Ceux qui voudront colorier L'insigne régimentaire, sous forme de blason, a été conçu par Pierre-le-Grand. Officiellement consacré, le 8 mars 1730, par un rescrit du Sénat, il a été fort employé au XVIIP siècle, sur les drapeaux, les sceaux, les coiffures et les hausse-cols des officiers. Son usage s'est perdu au XIX"" siècle, mais vers les années 50, portées sur il faisait sa réapparition sous forme de breloques, un bouton de l'uniforme. A cette époque, les chaînette sur orfèvres russes s'appliquent à réaliser la breloque, dont le goût, la diversité et la multiplicité, provoquent l'étonnement. C'est vers le début du XX' siècle, que l'insigne militaire russe prend sa forme et sa signification définitive, celles d'un symbole d'une unité militaire, porté sur la poitrine et faisant partie inté- grante de l'uniforme. C'est cette époque que nous avons essayé de présenter ici. Strictement réglementé par des décrets impériaux, les insignes étaient portés sur la poitrine, à la place non moins strictement précisée par les règlements, sur une vis à écrou. Les insignes des officiers (ceux que nous décrivons) étaient émaillés et en métaux précieux, ceux des hommes de troupe, de dessin identique, ne comportaient pas d'émail et se faisaient en métal blanc ou en cuivre. Après la révolution, tous ces attributs de la monarchie ont subi en Russie une destruction massive et y sont devenus rarissimes. Les insignes apportés par des émigrés qui leur accordaient la valeur de reliques du passé, ne se rencontrent que très rarement sur le marché. Aussi, le collectionneur se heurte à des difficultés sans nombre, dont l'identification n'est pas la moindre. C'est pour l'aider que nous avons cru utile d'établir notre recueil, qui constitue le premier essai de recensement, à l'usage de tous les amateurs de passé militaire.
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