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Description
ATTENTION ÉVÉNEMENT : Découvrez en exclusivité numérique la toute nouvelle collection CHRONIQUE D'UN JOUR !
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur votre jour de naissance ou sur une date clef qui a marqué l’Histoire.
Des ouvrages précis et élaborés par les meilleurs auteurs des Éditions Chronique, réputées pour leur sérieux depuis plus de 30 ans.
Une collection à prix découverte unique pour apprendre sans se ruiner.
Sujets
Informations
Publié par | Éditions Chronique |
Date de parution | 06 janvier 2014 |
Nombre de lectures | 1 |
EAN13 | 9782366022506 |
Langue | Français |
Extrait
Plus qu’une éphéméride, retrouvez la Chronique d’un jour sur toute l’histoire de l’humanité.
© Éditions Chronique, Paris 2013, pour la présente édition.
L'œuvre présente sur le fichier que vous venez d'acquérir est protégée par le droit d'auteur.
Toute copie ou utilisation autre que personnelle constituera une contrefaçon et sera susceptible d'entraîner des poursuites civiles et pénales.
Sept morts et quatorze blessés. Une coopérative agricole saccagée, une gendarmerie encerclée, un dépôt de liège brûlé et une ferme incendiée dans l'Oranais. Tel est le premier bilan des attentats perpétrés dans les départements algériens dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre. La région des Aurès a été spécialement touchée, et c'est là que l'instituteur Monnerot a été abattu, après que les rebelles l'ont fait descendre du car dans lequel il circulait.
Ces actes ont un dénominateur commun : ils sont le fait de nationalistes, partisans de l'indépendance de l'Algérie. Devant ces exactions, la population s'étonne de ce qu'elle considère comme une négligence des pouvoirs publics. En effet, le 24 octobre, un rapport du préfet Vaujours signalait qu'une action terroriste devait être entreprise sur l'ensemble du territoire algérien, notamment dans les Aurès, au cours de la nuit du 1er au 2 novembre. À quelques heures près, l'essentiel des événements à venir était connu et on disposait du temps nécessaire pour mettre en place un dispositif de sécurité. Or, on apprend que les Aurès, dont l'étendue équivaut à celle de plusieurs départements de métropole, n'étaient « quadrillés » en fait que par sept gendarmes ! On apprend également qu'en regagnant son poste de Batna le sous-préfet Delplanque s'est entendu dire que la commune d'Arris ne répondait plus au téléphone.
Déjà les...