Dictionaire des sciences médicales
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Description

iO> =o> X =i:m %pement il suffitpoint de ; objet de l'avoir indiquée.à mon montrer tel stimulus dirigé vers la vers laJe pourrais tète , viscères de l'abdomen vers tel ou tel organepoitrine , vers les , particulier devenir par sa continuité ou par son excès uneen , maladie. C'estvéritable cause de aicsi (\w' l'excitement des fa- (jui lientsi souvent ;i l'abondance et à lara-cultés du cerveau, lesquelles le cœur pousse le sang arlériel , a quel-pidité avec y (jucl'ois été une cause d'apoplexii;, en appelant encore au cer- quantité de sangveau une plus grande que l'abus habituel des ; de haut goût, et des li([ueurs fortes amènealimens épicés, ^ une gastrite; que l'œil privé de ses paupières qui nesi souvent , plus intercepter le jour, ou frappé par une knnièrepeuvent le siège d'une ophthalmie le chatouil-vive devient quetrop , ; continué peut avoir les suites les plus giaves que deslement ; prolongées deviennent très douloureuses font leverfritlious , desampoules et occasionenl érysipèles , etc. , etc. Voilàdes stimulus (|ui se soutient et s'exalte se transformecomment un , t»i une vive irritation. L'exemple d'une pointe,fréquemment veut de l'épine de Vau Helmont Voyez tom. xxvisi l'on ( dans une partie quelconque du corps,i3i), enfoncée quipa£?. très-souvent d'abord que comme simple stimulus, puisn'agit une fluxion et une véritable inflammation, en est uadétermine connu.

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Langue Français
Poids de l'ouvrage 36 Mo

Extrait

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m. it^>i:m
%<^rDIGTIONAIRE
DES
SCIENCESMÉDICALES.
TOME CINQUANTE-TROISIÈME.DICTIONAIRE
DES SCIENCES MÉDICALES,
PAR UNE SOCIÉTÉ
DE MÉDECINS ET DE CHÎRURGIEKS :
I\IM. AnELoy, Alibert, Baubieh , Bayle, Bégin, Bkrard, Biett,
BoYEn , Bueschet Biiicheteau Cadet de Gassicourt,Chamberet
, , ,
Chausieton, Chavssier, Cloquet, CostEjCullerieRjCuvier, De
Lens Dei^pech Deli'ITjDehours, DeVili.ieiîs,
, , Dubois, Esqtiirol,
Flamant, Fodéré , Fourniek , Friedlander, Galt. , Gardien,
Guersent,Guillié Halle,Hébréard lIsuRTELOirp,Husson,Itard,
, ,
JouRDAN, KeraudreNjLai'.rey Ladrent Legai.lois Lerminier
, , ,
,
Loiseleur-Deslongchami's, Louyer-Willermay,Marc,Marjolin,
Marquis, MaYGRiER, Mérat, WoNTFAi.roN, Montegre, Murât,
IVachet , Nacquart Orfîla , Pariset , Pâtissier, Pelletak,
,
Percy, Petit, Pikel, Piorry Renauldin, Reydellet, Bibës
, ,
RlCHERAND, Roux, RoYER-CoLLARD BuLLlER
, , SaVARY , SÉDIIrLOT,
SVURZHEIM, TniLLAYB lils, ToLLARJÎ , ToURDES VaIBY VlLLE-
, ,
KEUVE, VlLLERMÉ, VxREY.
STl-SYMPA
PARIS,
C, L. F. PANCKOUCKE, ÉDITEUR
KVE DES rOITEVÏlNS, ^°. l^.
1821Li;
T MAY ,.\
.Dr
JDICTIONAIRE
DES
SCIENCES MÉDICALES.
STI
STIBIE adj. ^stibinus, de CTtCi en latin
, , stibium anti-
,
moine; se dit, en général de tous les mcdicaniens
, dans la
composition desquels entre l'antimoine mais il n'est
; guère
pour désigner Véniétique ou tarlraled'ui^age que de potasse an-
que l'on appelle A'ulgairemeul tartre stibié.timonié (m. g.)
. STIMULANT, adj. elsubst. , stinudans, du verbe latin sti-
mulare piquer, aiguillonner. On donne ce nom en^ médecine
les agons qui ont la propriété d'animerà tous la vitalité des
tissus organiques, d'accélérer leurs mouvemens. Le^ effets
physiologiques que font naître ces agens semblent annoncer
provotjuequ'un aiguillon irrite, les fibres des parties soumises
c'est celte pensée quià leur influence : a introduit l'usage de
mot.ce
La faculté stimulante se retrouve dans une foule de causes
différentes dont les unes, appartiennent à l'hygiène et, les au-
la pharmacologie. I^es premières sont :tres à le calorique
, la
lumière un air sec et chaud le printemps et l'été, , , les divers
exercices musculaires spontanés les aliniens animaux
, chargés
d'osmazome, les alimens végétaux forlcment épicés
, les li-
le les li(jucursqueurs fermcntées , café, de table, les bains
chauds, l'électricité etc. les stimulans
, ; pharmacologiques sont
très-nombicux et très-variés : nous citerons les productions
aromatiques, les plantes labiées, ombellifères, crucifères
laurinées, les composées-corymbifères,etc. la sauge,
, leroma-
rin les menthes la mélisse, Thysope
, , , l'angélique, l'anis,
le fenouil le raifort sauvage ,1e cochlearia la
, , scille, la can-
nelle, le macis, le girofle, l'absintlie, la camomiileromaine etc.,
préparations alcooliques, lesles vins aromatiques l'éthcr,
, etc.
Si nous voulions étudierici l'action des agens stimulans
, hs
variations qu'ils suscitent dans l'exercice des diverses fonctions
de la vie nous nous trouverions esUraîucs, dans de longues et
53. 1STîft
inutiles roptHilions on trouvera à cLacun dos mois air , ali-
;
ment, calorique ^ lumière , elc. , tout ce qui concerne la force
ces matièiei de l'hygiène. Les mola ejctitant clsiitnulanlede
flijfw-ible comprennent la picsquc lolalilé des mcdicamens qui
rccclciil unepropiielë stimulante.
à remarquer que les agcns qui ai-Nous nous bornerons ici
guillonnent nos organes, qui excitent hur-î tissus ont une dou-
2"*.ble action, i". une action locale ; une action gciuMole. Lors-
il est important deque l'on en fait un usage tliéraptuliciue,
cl l'autre de ces agressions. C'est dans lesconsidérer l'une
voies alimentaires que la première se passe quand on donne à
doitl'intérieur un médicament sliniulanl : nr , le praticien
suites opération occulte. C'estavec soin prévoir les de celle
pour relever les forces que l'on recommande le jdus ordinai-
rement le stimulant, et l'on sait que les forces peuvent èlre
pblogosc dans les organescomprimées par an travail de fixé
digestifs. On ne peut plus nier aujourd'hui qu'il n'y ait une
aJynamis toute sympathique. Oserait-on, dans ce cas , nieilre
contact oiganrsune substance stimulante en avec les enflam-
: n'est-il évident qu'en exaspérant la lésion patliolo-més pas
gique des premières voies on donnerait une nouvelle intensité
ii tous les arcidens morbides, on augmenterait l'atcablemenl,
malade. Il en sera de môuie de l'aciionla faiblesse du générale
di;s stinuilaus dans uneadyîiamie (|ui dépendrait d'une phleg-
masie des organes pulmonaires; l'impression stimulante deces
lesagcns, loin de relever les forces abattues opprimerait da-
,
le foyer de la phlegmasie. I^esvantage en animant moyens
redonnent alors aux forces de la vie leur liborlé sont lesqui
saignées générales et locales, les émolliens, les tcmpérans, les
modéicrpuissances en un mot qui peuvent combattre J'in-, ,
,
ilâmmaiion.
On pussi servi du mot slinuilanl pour désigner des in-s'est
grédiens qui entrent dans un médicamentcomposé, comme auxi-
dont ils développentliaires d'autres substances l'elfîcacité ,
pouvoir médicinal. difflsibledont ils accroissent le Vojez
,
rxciTANT. (rarbier)
slimulantium mechanicâ operanâi ratione; iii-4°. lic-ABr-L (Fr.-f;.), -Oe
qiomnntis , \']^!{-
HAERTEL { clirïst. A.), DisserlntiO de stimulanlium et cxcilanlium effectu
. Ar^entomû,sedan\'o;\n'!:^° ';49-
Disierlalio de eucitantium usu i/i Jelriins in-^"*.WEHLis (o. n. c.)» ;
Gollmgœ, (v.)1387.
oîrSTIMULUS, s. m., mot emprunté du latin il signifie
pour désigner tout ce qui excite l'éco-aiguillon. On l'emploie
animale; mais beaucoup d'auteurs en médecinesemblentnomie
pour exprimer une vive impression ou même lale réserver

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