.'* MËMOIRËS LA SOCIÉTÉ IMPÉRIALEDE NATURELLESDES SCIENCES DE CHERBOURG. . YORKN^WTHE^ s'end)ar- baleinierquer sur un navire ; autrement, ce ne serait que par hasard qu'ils pourraient faire quelques observations. Mais, grandeur cliamp leursmalgré la du ouvert à investigations, laet l'attrait de recherches entièrement nouvelles, pers- pective de trois ou quatre années de privations et de misères, empêchera longtemps les hommes les plus dévoués à la science de s'exposer à toutes les péripéties d'un voyage de pèche, d'autant plus qu(; rien ne prouve à priori que leurspeines seraient rétribuées par un résultat bien complet; car la mobilité des Cétacés et leur habitation laisseront tou- jours une grande part au hasard. Pauvreté des renseignements . donc, pour nous guider dans l'étudeNous n^avons des grands que les faits rapportés par les rudesCétacés, marins de New-Bedford, de Nantucket du Havre,et qui vont les poursuivre dans les mers les plus éloignées, et dont le métier n'est pas piécisément de faire des dessins cortects ou d'é( rire des descriptions méthodiques des animaux qu'ils ont tués. Le genre de vie de ces hommes développe en outre, chez eux, un exagéré du nuTveilleux dontamour il faut singidièrement se défit r. Cependant, dans ces dernières années, il s'en est lrou\é (|iii|qufs uns qui se son! contentés de rapporter ce qu'ils ont la concordance deobservé, et LES BALEINES ET LES CACHALOTS.
.'*MËMOIRËS LA SOCIÉTÉ IMPÉRIALEDE NATURELLESDES SCIENCES DE CHERBOURG.. YORKN^WTHE^ <;-DE LA SOCIÉTÉ IMPÉRIALE DES SCIENCES NATURELLES DE CHERBOURG, PUBLIÉS SOUS LA DIRECTION DE M. AUG. LE JOLIS, ARCHIVISTE-PERPÉTUEL DE LA SOCIÉTÉ. 48Ô8.TOME VI. PARIS. Hautefeuille, 19..r.-B. BAILLIÈRE, libraire, rue CHERBOURG. BEDELIONTAINE etSYFFERT, imp., rue Napoléon, 1 1859.'^^ 2,2/5. (DcV.g-,