Pierrot le fou de Godard Jean-Luc
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Fiche produite par le Centre de Documentation du Cinéma[s] Le France.
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Pierrot Le Fou FICHE FILM
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D O C U M E N T
de slogans et d'affiches publicitaires. C monde de ÒLa femme mariÈeÓ o˘ la pres du cÏur supplante Rimbaud, o˘ les pro-chains robots d'Alphaville, rÈduiront le intellectuels ‡ la vie de ghetto et condam neront les amoureux ‡ une mort publique Nous sommes dans la civilisation du mo agressif et du titre raccrocheur. Le femmes exhibent leurs seins parfaits. Leur problËmes sont des problËmes de gaines e de soutient-gorges. ÒIl y a eu, regrett Pierrot, la civilisation athÈnienne, il y a e la Renaissance, maintenant c'est la civilisa tion du culÓ, la vie vÈgÈtative qui twist devant le jukeboxÉ On Èvoque la mort de 115 maquisards viet-cong, comme on parl d'une marque de savon. La guerre sert d divertissement aux habitants des nation sur-dÈveloppÈes (il faut voir Belmond ÒjouerÓ le conflit vietnamien devant les to ristes amÈricains Èbahis).Comment ne pa se trouver Ètranger dans ce monde incohÈ rent et factice, alors que les discussion des rÈceptions mondaines ne sont que l rÈcitation des lieux communs publicitaires La dÈpersonnalisation est totale, tou espoir de bonheur est dÈsormais impos sible. On a envie de fuir, de tout quitter, d'emme ner avec soi la femme qu'on aime. Est-c cela le bonheur, emmener Marianne Renoi au hasard, dans une voiture volÈe ? Chante sa beautÈ dans une chanson filmÈe qui es une maniËre de retrouver les dÈclaration d'amour d'Une femme est une femme Fuir l'instabilitÈ, le superficiel, les conven tions familiales et mondaines, l'argent Partir n'importe o˘, l‡ o˘ il n'y aurait que l soleil, la mer, des livres et la femme qu'o aime, avec, pour tout bagage, le mer veilleux album des ÒPieds NickelÈsÓ et un provision de faux raccords ? La fantaisie l'irrÈvÈrence, l'humour, la spontanÈitÈ et l jeunesse d'esprit, la seconde partie du fil (et la plus longue) est cette recherche d'u bonheur absolu dans la retraite artistiqu et amoureuse. Lire, Ècrire, aimer. Retrouve la puretÈ de la forme littÈraire, la joie d danser dans une nature complice, rÈap prendre l'art en suivant l'autodidacte. Eli Faure, les citations parlÈes succËdent
notations Ècrites, portant au paroxysme l go˚t des rÈfÈrences que l'on a si souven reprochÈ ‡ Godard. Et qui rebute encor bien des spectateurs dePierrot le Fou. Mais peut-on concilier cette quÍte Èperdu avec l'amour d'une femme dont on fait l vendredi d'un Robinson lunaire. C'est tou le drame de cet amoureux qui ne sait pa Ítre Pygmalion. Marianne s'ennuie. Ell dÈambule le long de la plage en expriman son dÈsÏuvrement. Dans cet Eldorado livresque, il est impossible de faire la plac absolue ‡ la femme. Le bonheur est donc impossible, si on n' pas su retenir celle qu'on aime, si on l laisse revenir ‡ ses premiËres activitÈ (Pierrot l'avait rencontrÈe dans un scÈnari de film d'agents secrets qui ressemble bie fort ‡ celui duPetit Soldat), si on l retrouve aprËs un fugue qui en annonc une autre. La folie commence, qui pren l'allure d'un vertige, d'une chute libr assaillie de souvenirs. Le passÈ dePierro le Fou, c'est l'Ïuvre cinÈmatographique de Godard (avec des rÈfÈrences aussi prÈcise que la torture duPetit Soldatpa exemple). Et la mort de Pierrot sera cell des hÈros de Godard. DÈrisoire. Une mor d'autant plus bouleversante qu'elle es presque burlesque dans son originalitÈ AprËs la rencontre avec Raymond Devos cet autre fou. Mais fou d'Ítre fou, puisqu lui est aimÈ. Le jeune homme dÈsespÈr est en face de la mer. Le nÈant et la mer CÕest la mÍme fin queLe mÈpris. Mai avec un dÈsespoir immence. Raymond LefËvr Revue du CinÈma n∞192 - Mars 196
Propos du rÈalisateur
Vous me dites : parlons dePierrot? J vous dis : quoi en dire ? Vous rÈpondez C'est exact ! Parlons donc d'autre chose, o y reviendra forcÈment, comme McArthur e le naturel, pour se venger et parce qu c'est normal. Mais en attendant de mettr le point sur les i de je ne sais quel poËm
SALLE D'ART ET D'ESSAI C L A S S … ER E C H E R C H E 8 ,R U ED EL AV A L S E 42100 SAINTETIENNE 04.77.32.76.96 R…PONDEUR : 04.77.32.71.71 Fax : 04.77.32.07.09
tout simplement, ou bonnement, l'un des deux, de rendre compte de lÕorganisation poÈtique dÕun film, bref, d'une pensÈe, de rÈussir ‡ dÈgager cette pensÈe comme objet, de regarder si oui ou non cet objet est vivant, et d'Èliminer les morts, - en attendant, vous dis-je, de savoir au moins quels i et quel point, fixe, comme les avions avant de prendre vol, mieux vaut pour l'ins-tant, plutÙt que rÈponses et questions, fleuves de sentiments qui se perdent dans la mer des rÈflexions ou vice et versa ins-tantanÈment, mieux vaut enchaÓner, enchaÓner, enchaÓner ‡ perdre haleine, comme souvent FranÁois, et lui seul, car les autres ne savent pas, ou c'est la mode, oui, mieux vaut fondre dans les digressions pour recoudre, de films en aiguille, les mor-ceaux ÈparpillÈs de notre grande toile blanche, celle qu'‡ force de rapiÈcer chaque annÈe, aujourd'hui, ce matin, ‡ l'heure du travail, nous finissons par igno-rer qu'elle est vierge, toujours vierge, comme un nÈgatif qu'il s'appelle Dupont, Ilford ou Kodak, toujours d'une seule piËce aussi, et qu'il suffit de souffler fort dessus pour la tendre, c'est-‡-dire remettre ceux qui ont oubliÈ leur texte dans une direction positive, quel que soit aussi le nom du souffleur, Skolimovski, Hitchcock, Langlois. Oui, enchaÓnons, montage attractif des idÈes, sans points de suspension, nous ne sommes pas dans un roman policier ni de CÈline, celui-l‡, laissons-lui la littÈrature, il l'a bien mÈritÈ de souffrir et de rempiler bouquin aprËs bouquin dans les rÈgiments du langage, nous, avec le cinÈma, c'est autre chose, et d'abord la vie, ce qui n'est pas nouveau, mais difficile de parler, on ne peut guËre que la vivre et la mourir, mais la parler, hÈ bien, il y a les livres, oui, mais le cinÈma, nous n'avons pas de livres, nous n'avons que la musique et la peinture, et ceux-l‡ aussi, vous le savez bien, se vivent mais ne se parlent guËre. Alors,Pierrot, vous comprenez peut-Ítre un peu mainte-nant pourquoi quoi en dire ? parce que la vie, c'est le sujet, avec le scope et la cou-leur comme attributs, car moi, j'ai les idÈes larges. La vie, je devrai dire un dÈbut de '
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d'Euclide c'est un dÈbut de gÈomÈtrie. Il y eu d'autres vies et il y en aura, suffit d penser au lys qui se brise, aux lions qu'o chasse avec des arcs, au silence d'un hÙtel dans le nord de la SuËde. Mais la vie de autres dÈconcerte toujours. A plus forte rai son donc la vie toute seule que j'aurais bie voulu monter en Èpingle pour faire admirer ou rÈduire ‡ ses ÈlÈments fondamentaux comme un prof d'histoire naturelle, bonn dÈfinition en passant dePierrotpour intÈ resser les ÈlËves, les habitants de la terr en gÈnÈral et les spectateurs de cinÈ e particulier. Bref, la vie toute seule que j'au rais bien voulu retenir prisonniËre gr‚ce des panoramiques sur la nature, des plan fixes sur la mort, des images courtes e longues, des sons forts et faibles, que sais je, des mouvements d'Anna ou Jean-Paul acteur ou actrice libre et esclave, mai lequel rime avec homme et femme ? Mai la vie se dÈbat pire que le poisson d Nanouk, nous file entre les doigts comm le souvenir de Muriel dans Boulogn reconstruit, s'Èclipse entre les images, e entre parenthËses, l‡, j'en profite pour vou dire que comme par hasard le seul gran problËme du cinÈma me semble Ítre d plus en plus ‡ chaque film o˘ et pourquoi commencer un plan et o˘ et pourquoi l finir ? Bref, la vie remplit l'Ècran comme u robinet une baignoire qui se vide de l mÍme quantitÈ en mÍme temps. Elle passe et le souvenir qu'elle nous laisse est ‡ so image, au contraire de la peinture ‡ qui manque la transparence de l'Eastman trou vait Picasso devant sonMystËreprojet dans la grande projection de L.T.C., a contraire de la musique et du roman aussi qui ont su trouver, employer et dÈfinir deu ou trois moyens de l'apprivoiser. La vie dis paraÓt de l'obscur Ècran de nos salles tou comme Albertine s'est ÈvadÈe de l chambre pourtant soigneusement close d l'ennemi de Sainte-Beuve. Pire encore, il m'est rigoureusement impossible comme Proust de m'en consoler en transformant sujet en objet. Autant vouloir, comme c imaginÈ par Poe, William Wilson, d Pierrot raconte l'histoire dans la bobi trois, aprËs celle du suicide de Nicolas
StaÎl, car tout se tient comme on dit, dans la vie, sans jamais savoir exactement si Áa se tient parce que c'est la vie ou alors le contraire, et d'ailleurs je dis : le contraire parce que je suis en train d'Ècrire avec des mots, des mots qui se renversent et peu-vent se remplacer les uns les autres, mais la vie qu'ils reprÈsentent est-ce que Áa se renverse ? question dangereuse autan qu'embarrassante et carrefour o˘ les idÈe se demandent par quel chemin continuer aussi Marianne Renoir, mÍme bobine pe aprËs, elle cite un joli texte de Pavese dans lequel il est dit qu'il ne faut jamais deman-der ni ce qui fut d'abord, les mots ou les choses, ni ce qui viendra ensuite, on se sent vivant, cela seul importe, et cela Ètait pour moi qui le filmait une vraie image d cinÈma, son vrai symbole, mais symbole, pas davantage, car ce qui Ètait vrai de Marianne et de Pierrot, ne pas demande ce qui fut d'abord, ne l'Ètait pas de moi qui Ètait prÈcisÈment en train de me le deman der, autrement dit, au moment o˘ j'Ètai s˚r d'avoir filmÈ la vie, elle m'Èchappait ‡ cause de cela mÍme, et l‡ je retombe su mes pieds et ceux de de William Wilson qui s'imagina avoir vu son double dans la rue, le poursuivit, le tua, s'aperÁut que c'Ètait lui-mÍme et que lui, qui restai vivant, n'Ètait plus que son double. Comm on dit, Wilson se faisait du cinÈma. Prise au pied de la lettre, cette expression nous donne ici une assez bonne idÈe, ou dÈfini tion par la bande, des problËmes du cinÈ ma, o˘ l'imaginaire et le rÈel sont nette ment sÈparÈs et pourtant ne font qu'un comme cette surface de Moebius qui pos-sËde ‡ la fois un et deux cÙtÈs, comm cette technique de cinÈma-vÈritÈ qui est aussi une technique du mensonge. O serait dÈconcertÈ ‡ moins. Voil‡ sans dout pourquoi il est difficile de dire quoi que ce soit du cinÈma puisque l‡ comme ici, Serge Eisenstein comme Jean Renoir, la fin et les moyens se confondent toujours, puisque, ' '
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n'est pas tout. Cette voix qui sort du haut-parleur, nous finissons certes par l'accepter pour la nÙtre, mais il n'empÍche qu'‡ tra-vers l'oreille elle est autre chose, trËs exac-tement, elle est : les autres, et il nous reste alors une chose bien difficile ‡ faire qui est d'Ècouter les autres avec sa gorge. Ce double mouvement qui nous projette vers autrui en mÍme temps qu'il nous ramËne au fond de nous-mÍme dÈfinit physique-ment le cinÈma. J'insiste sur le mot : physi-quement, ‡ prendre dans son acception la plus simple. On pourrait presque dire : tac-tilement, pour diffÈrencier des autres arts. Le son mortel de la clarinette chez Mozart est vivant, mÈtaphysique, douloureux, enchanteur, ce qu'on voudra, sauf tactile. Vous pouvez en parler des heures, Ècrire des livres dessus, c'est mÍme d'ailleurs en partie fait pour Áa, pour aider ‡ vivre en gros. Idem pour ce rouge chez Matisse, ou ce vert, chez Delacroix, dont Aragon ou Baudelaire nous entretiendra des heures durant, pour notre plaisir autant et peut-Ítre bien moins que le sien. Mais qui en revanche a besoin de parler des heures de la douleur de Yang Kwei Fei, du tramway del'Aurore, de Mark Dixon dÈtective, des yeux charmants et tragiques de Luise Reiner ? Deux ou trois copains cinÈphiles, un soir, et encore, parce que trop pauvres pour se payer un taxi ils sont forcÈs de tra-verser la ville ‡ pied pour revenir de la CinÈmathËque ‡ leurs chambres de bonne. Mais s'ils avaient de quoi, et que le film soit en exploitation normale, ils iraient le revoir. La femme que l'on aime, on la rÈveille la nuit, on ne tÈlÈphone pas ensuite ‡ des amis pour leur raconter. Difficile, on le voit, de parler de cinÈma, l'art est aisÈ mais la critique impossible de ce sujet qui n'en est pas un, dont l'envers n'est que l'endroit, qui se rapproche alors qu'il s'Èloigne, toujours physiquement ne l'ou-blions pas.(É) Jean-Luc Godard ∞ -
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Le rÈalisateur
Fossoyeur du cinÈma ? GÈnie novateur L dÈbat autour de ce rÈalisateur d'origin suisse venu ‡ Paris o˘ il frÈquenta davanta ge la CinÈmathËque que la Sorbonne s liant ‡ Bazin, Truffaut, Rivette, Domarchi e se lanÁant dans la critique cinÈmatogra phique auxCahiers du cinÈmaet ‡Arts sous le pseudonyme de Hans Lucas, n'es pas prËs de s'Èteindre. Passons sur le lÈgendes qui entourent les annÈes difficile de Godard quand sa famille, vers 1951, lui coupe les vivres, sur la virulence de sa cri tique portant aux nues de petits rÈalisa teurs amÈricains et sur ses premiers court mÈtrages. En 1959, il frappe un grand cou avecA bout de soufflequi fut le vÈritabl manifeste de la ´Nouvelle Vagueª. U gangster, Belmondo, essayait d'Èchapper la police, avec la complicitÈ d'un AmÈricaine Jean Seberg. Mais c'Ètai moins l'histoire qui importait ici que l maniËre de bousculer les vieilles tech niques et d'apporter un air nouveau dans u cinÈma franÁais corsetÈ par le classicism des Delannoy et autres Cayatte.Le peti soldatqui suivit, trop ancrÈ dans la guerr d'AlgÈrie, eut des ennuis avec la censure AvecVivre sa vie, Godard aborde un autr sujet br˚lant, la prostitution, un thËme qu'il reprendra ‡ plusieurs reprises.Le MÈpris film dans lequel il fait jouer Fritz Lang montre qu'il sait parfaitement maÓtriser u sujet. Peut-Ítre les remous qu'il suscit tendraient-ils ‡ s'apaiser, lorsqu'il lance e 1965 un vÈritable coup de poing ‡ l'Ègar des tenants du classicisme :Pierrot l Fou, hommage aux Pieds NickelÈs ‡ traver un tour de France violent et picaresque celui de Belmondo, le romantique, ‡ l recherche d'un passÈ culturel, et d'Ann Karina qui ne rÍve que de terrorisme e d'armes ‡ feu.Pierrot le Foususcita d vifs remous dans les salles o˘ il Ètait proje tÈ. Du coup,La Chinoise, qui suivit, pass inaperÁue. Tout mai 68 Ètait pourtant dan ce film prophÈtique. Ce qui avait Èchapp aux mandarins de la Sorbonne censÈs Ítr ‡ l'Ècoute de leurs Ètudiants, Godard l'avai captÈ.Week-endÈnonÁait la frÈnÈsie
la voiture dans des scËnes d'une extraordi naire violence. Godard est alors au somme de son art. Il va remettre tout en cause disparaÓtre pour laisser place ‡ un cinÈm didactique, professeur de rÈvolution dan des films ‡ la technique rudimentaire conÁus par des collectifs Vertov o Medvedkin qui regroupent des chapelle gauchistes. Un seul film commercial a cours de cette pÈriode :Tout va bienq rÈunit Montand et Jane Fonda. Le film fu mal accueilli par les syndicats ouvriers e Godard jugÈ irresponsable. Video et tÈlÈvi sion semblent alors passionner Godard Retour au cinÈma premiËre maniËre, e 1980, avecSauve qui peut (la vie), troi portraits de personnages. Nathalie Bay Jacques Dutronc et Isabelle Huppert excellente, oscillant entre la campagne e la ville. Nouveau scandale avecJe vou salue Marie, qui reprend le problËme d mystËre de l'incarnation en le plaÁant dan notre monde moderne et suscite l'indigna tion des intÈgristes. (É) Jean Tular Dictionnaire du CinÈm
Filmographie
Courts mÈtrages OpÈration bÈton195 Une femme coquette195 Tous les garÁons sÕappellent Patrick195 Charlotte et son Jules195 Une histoire dÕeau
Longs mÈtrages A bout de souffle195 Une femme est une femme196 Les sept pÈchÈs capitaux196 Sketch Rogopag Sketch Vivre sa vie Le petit soldat196 Les carabiniers Les plus belles escroqueries du mond Sketch Le mÈris
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Une femme mariÈe Paris vu par Alphaville 1965 Pierrot le Fou Masculin-FÈminin 1966 Made in USA Deux ou trois choses que je sais dÕelle1967 Le plus vieux mÈtier du monde Sketch Loin du Vietnam La Chinoise Week-end 1968 Un film comme les autres La contestation1969 Sketch Le Gai Savoir One plus One British Sounds Le vent dÕEst Pravda Lotte in Italia1970 JusquÕ‡ la victoire Vladimir et Rosa Tout va bien1972 Letter to Jane Investigation of a still Moi je1973 NumÈro Deux1976 Sur et sous la communication Comment Áa va Ici et ailleurs1977 France/Tour/DÈtour/Deux enfents1978 Sauve qui peut (la vie)1980 Lettre ‡ Freddy Buache1981 PrÈnom Carmen1983 Je vous salue Marie1985 DÈtective Soigne ta droite1987 Aria Sketch Nouvelle Vague1990 Allemagne neuf zÈro1991
Documents disponibles au France
Cahiers du CinÈma n∞171, n∞174 Positif n∞72, n∞451 CinÈma - Grande HistoireÉ n∞82 Revue du CinÈma n∞211 ∞ -
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