Inscriptions de Dinair - article ; n°1 ; vol.17, pg 301-321
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Description

Bulletin de correspondance hellénique - Année 1893 - Volume 17 - Numéro 1 - Pages 301-321
21 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

Informations

Publié par
Publié le 01 janvier 1893
Nombre de lectures 20
Langue Français

Extrait

Georges Doublet
Inscriptions de Dinair
In: Bulletin de correspondance hellénique. Volume 17, 1893. pp. 301-321.
Citer ce document / Cite this document :
Doublet Georges. Inscriptions de Dinair. In: Bulletin de correspondance hellénique. Volume 17, 1893. pp. 301-321.
doi : 10.3406/bch.1893.3749
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/bch_0007-4217_1893_num_17_1_3749INSCRfPf IONS OK DÎNAÏft 304
mesure du progrès l'atténuation plus ou moins marquée du
sourire, elle appartient aux dernières années du VIe siècle, et
peut se placer vers 510 environ. Elle forme assez bien la tran
sition entre le type souriant de la tête Jacobsen, et le type déjà
sévère d'une tête juvénile trouvée sur l'Acropole(l), avec l
aquelle elle oftre, pour la technique des yeux évidés, une cu
rieuse analogie.
MAX. COLL1GNON
·*·· * ■·?*■
INSCRIPTIONS DE DINAIR
(APAMÉE)
i.— Dans le mur du Khani de Simmitschi-Oglou-Mikha-
lakis, 1887(2).
[Tô συνέδρι]-
[o]N ΤΩΝΓΕΡθ[η]ΠΝ
[Τίτ] Ο Ν Α ΙΛΙ Ο Ν Σ Λ
[top] Ρ Ν Ε Ι Λ [ιο] Ν (?) Μ Α Ρ Ε Ι
5 ΝΟΝΤΟΝΙΔΙΟΝ*2Γ
[κτ] ΙΣΤΗΝΕΓΓΟΝΟΝ
(1) Έ9. d^.,1888, pi. 3.
(?) [Pour compléter la série des inscriptions de Dinair,nous ajoutons aux
textes publiés ci-dessus par M.Legrand ceux qui avaient été copiés par M. Doub
let en i887, par M.Bérard en 189u, et qui sont restés inédits. — Cf., pour les
inscriptions de Dinair: C/G, 3957-3966; Le Bas-Waddington, 1701-1703;
Ramsay, BCH, 1883, p. 306 et suiv ; JHS, IV, p. 64; Revue Arch., 1888, II, p.
220,221; Rev. Étud. Gr., 1889, p. ^9 et suiv.; Weber, Ath. Mitth., XVI, p. 146;
Dinair, Célènes, Apamée-Cibotos, p. 43 et suiv.; Mommsen, Ath. Mitth., XVlt
p. 235, 282 et suiv.; Condoléon, ifta Σμνργη, 28 Juillet 1891 j. ■
DE!
ΙΕΡΕΠΝΚΑΙΥΠ
' ΩΝΣΥΝΓ .
ΕΠΐΜΕΛΗΘΕΝΤΟΣΤΗ[ς]
. 10 ΑΝΑΣΤΑΣΕΏΣΜΑΡΚΟ(υ]
ΦΟΝΙΑΝΟΥΑΡΧΟΝΤΟΣ
ΤΛΝ ΓΕΡΟΝΤΩΝ
La restitution n'est pas complète, ni la distribution des lignes
bien certaine.— L. 6 κτίστην probable. — 7-8 La restitution
échappe. — il Φονιανοϋ , nom inconnu, peut-être altéré; on
ne peut songer à Τρυφωνιανου, par raison d'orthographe et faute
de place pour la première syllabe.
Sur la gérousia, cf. Menadier, Ephesii, p. 48, 199. Un sy-
nédrion semblable au nôtre existait à Smyrne (CIG, 3281);
le mot était même employé tout seul, sans qu'on eût besoin de
dire que c'était l'assemblée des «vieillards» (par ex. à Nicée,
CIG, 3749). Le chef de ces confréries a d'habitude le titre de
προστάτης; ici il s'intiule άρχων, ce qui rappelle une inscr. de
Chios, OÙ il est parlé d'un homme άρξχς του πρεσβυτικον (CIG,
2220 et 2221), une inscr. de Sinope, où est nommé un άρχων
semblable (CIG, 4157), et une d'Ërythrées,où il est vraisem
blable que deux archontes de la gérousie sont mentionnés
(Waddington, Inscr. d'Asie Mineure, 53). Notre inscr. éta
blit que le chef de la gérousie d'Apamée s'appelait aussi ar
chonte: cette association ne figure pas d'ailleurs dans le t
ableau dressé par Menadier, p. 60.
2. — Dans un champ.
ΗΒΟΥΛΗΚΟΔ H M ΟΣ Κ OIKATO
Ι Κ Ο Y NT ΕΣ Ρ il M A Ι Ο Ι Ε Τ Ε Ι M H
• 'CANTAI CAPICTAICTEIMAICM
AYPAPICTWNAEYKAAIANON :
5 ΑΝΔΡΑΑΓΑΘΟΝΚΑΙΕΚΠΡΟΓΟ
: NilNEYEf ΕΤΗΝΓΕΝΟΝΈΝΟΝΤΗ:
" ΠΑΤΡΙΔΟΠΚΕΝΠΑΠΙΔΗΜωΦΕΛ
Κ Ο P.EtA ΝΤΑΤΗ Ν ΠΟΛ Ι Ν.ΕΝ Δ Y C !«β(!!Η*ΤΙΟ!« DE UWAÎft éO^
XEPETOICKAIPOICCEITOYTEET!
10 C EIKAITH ΑΟΙΠΗΕΥΝΟΙΑΧΡΗ Ç NE
Ν Ο Ν A Δ Ι Α Λ Ε Ι Τ ω C C Τ Ρ Α Τ Η Γ Η C Α Ν
ΤΑΤΑΓΝΟΟΕΑΓώΝΟΘΕΤΗ CANTA
Φ Ι ΑΟΤΕ I MUC ΕΙ Ρ Η Ν Α ΡΧ Η C A Ν ΤΑ
KOCMIGJCAPTYPIOTAMIEYCANTA
15 Π Ι ΕΤω C Κ Ε Π Ι ΤΗ Π Ρ Ο Α Ι Ρ Ε C Ε Ι
ΤΟΥΒΙΟΥΕΠΑΙΝΕ0ΕΝΤΑ
Ή βουλή κ(αί) ό δήμος κ(αί) ol κατο-
ικουντες 'Ρωμαίοι «τε^αη- t .· ;
σαν ταΐς άρίσταις τειρ,αΐς Μ(άρκον)
Αύρ(ήλιον) Άρίστωνα Εύκλαιανον(Ι) . ·
άνδρα αγαθόν καΐ Ικ προγό
νων ίύεργέτην γενόμενον της
' :; · πατρίδος, κ(αί) iv πασι δγ!(Λώφ£λ[η]
' '· ·*· . καϊ θρεψαντα την -ητόλιν Ιν δ6<τ- ·5 · ·
σδίτου τεΊπ[ιδό]-· " :* - χ[ρή]στοις κάιροΐς(^)
τη λοιπή εύνοια χρ^Ι^^^ε- ' · ! '· σει κάί
·' άδιαλεΐ[π]τως, στρατήγησαν- ' ' ' - νον
άγωνοθετήσαντα! ■ • τα ^τ^> άγνώς,
είρηναρχησαντα' ι
φιλοτβίρ-ως,
κοσμίως, άργυρ^οταμιεύσαντα ;
πιστώς, και επί τη προαιρέσει ·. ·,
του βίου Ιπαινεθέντα.
Sur le mot àyrôç, cf. Waddington (Fastes des prov. asiat.
n° 58 à la fin). Sur Yirénarque.d. CIG, 2798, 3886, add.
383! an'BCH, VII, p. 274 et X, p. 156. Sur Yàproçoraplac,
magistrat de l'époque romaine, et qui ne paraît qu'avec le
règne de Trajan, cf. BCH, Vil, p. 273 et X, p. 373, et CIG,
2782. C'est le curator kalendarii, ou bien le curator pecùniœ
pùtyliccç; sa charge était de recouvrer l'argent dû à la caisse
municipale des prêts, et son autorité allait jusqu'à faire vendre^
(l)PeUt-êlre Ευκλαδιανος, cf. Pape: Ευχλχδιος. ' ",' ,'.'.'■ l?) Cf. plus bas ab$. ÎNSCfclÊTIONS ί>Ε 304
les biens du débiteur et à saisir les hypothèques. La corpora
tion des negotiatores à Apamée était connue par un fragment
d'inscription latine; beaucoup d'autres inscriptions grecques
sont venues s'y ajouter dans ces dernières années. Apamée
avait pris, grâce à son commerce, une importance qui ne le cé
dait qu'à celle d'Ephèse. Une inscription publiée par M. Ram-
say donne le nom d'un fonctionnaire appelé l'emporiarque, Hé-
sychos(l); d'autres textes que nous avons copiés vers le même
temps, M. Ramsay et moi, et que celui-ci a publiés (2), mention
nent les artisans de la place des Corroyeries(3). Une seconde
place d'Apamée nous est connue: c'est la place «très sacrée».
3. — Inscription trouvée dans le même champ que la double
dédicace en l'honneur des deux fils de Gallien publiée par M.
Weber, Ath. Mitth., XVI, p. 146; Dinair^. 46, n. 7.
ΤΗΝΟΕΟΦΙΛΕΣΤΑΤΗΝ
.ΚΟΡΝΗΛΙΑΝΣΑΛΟΟΝΕΙΝΑΝ
ΣΕΒΑΣΤΗΝΓΥΝΑΙΚΑΤΟΥ
KYPIOYHM ΊΝΠΟΠΛΙΟΥ
Λ Ι Κ Ι Ν Ν Ι Ο Υ ΓΑΛΛ Ι Η Ν ΟΥ Σ Ε Β Α ΣΤ
Η ΛΑΜΠΡΑΤΠΝΑΠΑΜΕΩΝ
Π Ο Α Ι Σ
Την [φβοφιλβστάτην /
Κορνηλίαν Σαλωνιΐναν
Σββαστήν, γυναίκα τοδ
κυρίου χμών Ποπλίου
Λικιννίου Γαλλιηνού* Σε€αστ[ου] ,
η λαμπρά τών Άπαμιέων
πόλις.
G. DOUBLET
(il BCP, 1883, p. 307.
(2) Ramsay, Rev. arch. (Chronique d'Orient), 1889, p. 30; Weber, Dinair,
p. 45, n° 5. — Notre copie comporte simplement une variante: Π ΑΠ ΙΟ ΥΔ El
Δ A, et non Λ ε Ι Δ A. Didas est un nom comm un en Tbrace.et l'on sait (a pa
renté qui existe entre les onomastiques thrace et bitbynienne ou phrygienne.
Diogas est un nom de même origine. Cf. Dumont, Mélanges, p. 541, 552.
(3) Même corporation à Philadelphie [Movoeîov, 1875, p. 131). INSCRIPTIONS î>*
4. — A la gare de Dinair(l).
ηβουληκαιοδΗμοεοα ".
παμεωνκαιοικατοικουν
τεσ ρλμ α ιο i ete i μ η σ an j
ΠΟΕείΑΝΠηΛΛΑΝΘΥΓΑΤΕ j
5 PACOCCIOYCENEKIilNOC
το-β-υπ ατο υ ε κ γο ν η ν ι
ουλιουφροντινουυπα ι
το υτογ-γυ ν α ι καδ επομ
πηιουφαλκωνοεανθυπα ;
10 τουτη:αεια:ηρωιδαδ ι α \
τετηνεκπρογονπνευνοι
ανειετηνπολινκαιδιατην
ι δ ι α ν α υτη ca ν υπ ε ρ βλ η το ν α ρ ε \
τηνκαιδιατονανδρααυτηεπομ 1
15 π η ι ο ν φ αλ κπ ν α α ν θυπ ατο ν α ν ο ]
θ ε ευ ερ γετ η ν τη ππολεωε η μων j
KAICilTHPA^rnoiHC.AME I
"
ΝΟΥΤΗΝΕΠΙΜΕΛΕΙΑΝΤΗΠΑΝΑΕ
ΤΑΕΕΩΕΑΑΕΣ ΑΝΔΡΟΥ \
20 ΑΤΤΑΛΟΥ ί |
Ή βουλή καΐ ό δήμος ό Ά-
καΐ ol κατοικουν-
τες
Σοβσίαν Πώλλαν, θυγατί-
5 ρα Σοσσίου Σε?εκίωνος,
το β' υπάτου, έκγόνην '
Ιουλίου Φροντίνου ύπά».
του το γ', γυναϊκ* δέ Πθ(£·
πΥ)ίου Φάλκωνος άνθυπά-
(f) Ces inscriptions font suite à celles que j'ai publiées sous le titre: Ins
criptions d'Asie Mineure, BCH, 1891, p. 538-562; Ib9t, p.- 213-239, 417-446.
BULL. DE OORRBSP. HELLÉNIQUE, ΧΥΠ. "0 50é- ÎNSCATPÏIÔNS M
10 του της 'Ασίας, ηρωίδα, διά
τ$ την εκ προγόνων ευνοι-
αν εις την πόλιν και δια την
ιδίαν αυτής άνυπέρβλητον άρε- .
την καί δια τον άνδρα αυτής Πθ(Α-
15 πηϊον Φάλκωνα άνθύπατον <χν(ω)-
θί(ν) ευΕργέτην τής πόλεως ή(λών
και σωτήρα* ποιησα(λέ-
νου την έπι^έλειαν τής ανασ
τάσεως 'Αλεξάνδρου
20 'Αττάλου.
Revue par M. M. Legrand et Chamonard en Juin 1891·
Legrand, 1. 1 ΦΡΟΝΤΕΙΝΟΥ.
5. — Dans le mur d'une maison à Dinair.
ΗΒΟΥΛΗΚΑΙΟΔΗΜΟΕΟΑ
ΠΑΜΕΩΝΕΟΕΠΙΑΝΠίίΛΛΑΝ
OYTATEPACOCCIOYCENEKin
NOC-ΒΥΠΑΤΟΥΕΚΓΟΝΗΝΙΟΥΛΙ
5 ΟΥΦ PO ΝΤΙ Ν Ο

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