Memoirs of the Archaeological Survey of India - article ; n°1 ; vol.22, pg 230-241
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Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient - Année 1922 - Volume 22 - Numéro 1 - Pages 230-241
12 pages

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Publié le 01 janvier 1922
Nombre de lectures 12
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

Henri Parmentier
Memoirs of the Archaeological Survey of India
In: Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient. Tome 22, 1922. pp. 230-241.
Citer ce document / Cite this document :
Parmentier Henri. Memoirs of the Archaeological Survey of India. In: Bulletin de l'Ecole française d'Extrême-Orient. Tome 22,
1922. pp. 230-241.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/befeo_0336-1519_1922_num_22_1_2947— — 23o
les « mastikals », dont la pièce principale est le bras plié de la femme, en saillie sur
le côté d'un pilier, le tout en bas-relief, Souvent sur la pierre est représenté au des
sous le groupa des deux époux.
Le rapport indique en outre que 7 inscriptions nouvelles ont été découvertes.
Le second rapport (192 1) contient une suite intéressante de clichés : les uns concer
nent le temple de Kesava, à Belur, et complètent la monographie qui en a été publiée ;
d'autres se rapportent à divers monuments de Halebidetd'Amritâpura. Le même ouvrage
donne le texte et la traduction d'inscriptions sur plaques de cuivre, trouvées six ans
auparavant. L'une, de 963 A. D., contient d'intéressants détails sur la dynastie Gaňga.
H. Parmentier.
Archaeological Survey of Ceylon. Annual Report, 1920-21, par A. Hocart Commissioner. — Colombo, Cottle, Government Printer,
1922, in-40 ; avec planches.
L'existence du Service Archéologique de Ceylan a été suspendue depuis la mort
de M. Ayrton, en mai 1 91 4, et les monuments ont beaucoup souffert du manque de suite
dans la conservation. Le rapport, après ces tristes constatations, porte presque en entier,
au moins pour les figures, sur la protection du Lankatilaka, le monument connu
d'ordinaire sous le nom de Jetavanârâma, à Polonnâruwa. L'absence d'une docu
mentation sérieuse sur l'état du bâtiment avant les travaux de conservation fait craindre
la perte des indications précieuses que pouvaient fournir les travaux de reprise sur
l'histoire même de l'édifice, en particulier sur les réparations successives qu'il a dû
subir. Souhaitons, sans trop l'espérer, qu'il existe à ce propos des documents non
encore publiés. Les peintures du Dewàla Mahâ Sava ont été abritées, au moins d'une
façon provisoire.
H. Parmentier.
Memoirs of the Archaeological Survey of India. Calcutta, Superintendent,
Government Press, India, in-40 '■> avec planches.
№ 1. Dates of the votive inscriptions on the stupas at Sanchi, par Ramaprasad
Chanda. — '1919.
Cette étude, toute paléographique, aboutit à des conclusions qui confirment les
dates assignées par Sir J. Marshall aux plus anciens monuments bouddhiques dans
son « Esquisse des antiquités indiennes », qui forme un chapitre de la Cambridge
History oj India. Les sculptures du rail de Barhut seraient donc du milieu du
IIe siècle av. J.-C. et celles de l'entrée seraient postérieures. Les sculptures du rail
inférieur du stupa 11 de Sânchi seraient du même temps; la clôture de Bodhgayâ
appartiendrait au Ier siècle av. J.-C. ; les décors des quatre portes du stûpa 1 de
Sânchi, à la deuxième moitié du même siècle. Cet ordre, comme l'on voit, intervertit les
rangs assignés longtemps aux rails de Barhut et de Bodhgayâ et confirme la date
présumée pour les portes de l'enceinte au stupa 1 de Sânchi. — — 23 1
№ 2. Varieties of the Vishnu [mages, par le Pandit B. B. Bidyabinod. -- 1920.
D'après les règles données dans trois purânas, dont l'un est d'un auteur du XIIIe
siècle, la place des attributs des quatre bras dans les images de Visnu caractérise les
divers aspects du dieu. Le tableau précis que l'auteur de ce mémoire donne de ces
répartitions montre que la plupart des statues de cette divinité seraient, dans les musées
de l'Inde, mal qualifiées. J'ignore dans quelle mesure le tableau peut s'adapter à ces
dernières images et si le texte de ces purânas exprime des règles appliquées d'une
façon universelle dans le temps et dans le lieu ; l'Inde est grande et les sculptures
y sont de dates parfois bien éloignées l'une de l'autre. Suivant ces tableaux, la plupart
des images de Visnu en Indochine rentrent dans les types de Janârdhana et de Pra-
dyumna. Il ne m'appartient pas de dire si les inscriptions qui mentionnent ces images
ou des images analogues confirment en nos régions les indications fournies par ce
mémoire.
№ 3. Tàlamdna or Iconometry, par Gopinatha Rao. — 1920.
C'est, dit le sous-titre, un résumé des règles de proportion des images tirées des
Agamas et autres traités hindous. Les Agamas donnent 30 classes de proportions
rangées en 10 groupes de 3 (uttama, madhyama, et adhama, «supérieure, moyenne
et inférieure »). L'unité réelle est' Yahgula et les 30 séries diminuent de 4 en 4 aňgulas,
en partant de 124 pour finir par 8. Le nom de chacune des 10 classes est exprimé
par un multiple du lâla, mais cet élément n'est pas, comme on pourrait s'y attendre,
en rapport exact avec le nombre total d'angulas, Le dasatâla (10 tâlas) de la
classe supérieure, par exemple, à 124 aňgulas, n'a en réalité que 9 tâlas, tandis
que le catiistála (4 tâlas) moyen en a 6. Le tâla est la grandeur de la main, du bout
du médius au pli du poignet, mesure qui éqjivaut à la face dans une stature ordinaire ;
c'est donc une constante ; le nombre des aňgulas que représente le tâla est fixé par les
Agamas dans chaque cas. Il est de 13 1/2 dans le premier cas cité ici, de 8 dans le
second. Cette discordance entre le nom et le système de mesures n'inspire pas
une grande confiance dans la valeur de ces règles des « authoritative works ». D'aut
res règles et un instrument spécial à fils à plomb donnent les saillies de chaque
élément du corps dans les différentes poses.
L'auteur indique ensuite une série de mesures spéciales qui s'appliquent à diverses
quantités et sont de diverses natures. Nous les négligerons ici pour résumer plutôt les
renseignements fournis sur les règles données par les Agamas pour l'exécution des
statues.
Elles ne sont pas absolument rigoureuses ; une erreur d'un aňgula est tolérée quand
le sculpteur les applique, et il s'en dispense si elles ne répondent pas à son sentiment
artistique. Elles semblent donc être plutôt un guide qu'un canon hiératique.
Les Agamas réservent les différentes proportions aux différents dieux. Un résumé
de cette répartition a été donné par M. О. С Gangoly dans ses South Indian Bronzes,
dont un compte-rendu a paru dans ce Bulletin ('). Il est inutile de le reprendre ici.
(•') BEFEO, XV, iv, 15-20. Il semble qu'une erreur ait été commise par M. Gangoiy
dans la troisième espèce de daçatâla, X adhama, et qu'on devrait, suivant les renseigne
ments du mémoire, le compter de 116 aňgulas. De fait la dimension du genou a été
oubliée et elle est justement des 4 aňgulas qui font défaut. 11 faudrait alors dans le — — 232
La Çukranïti exprime quelques idées à retenir: elle pose en principe que la
méditation sur un dieu (dhyâna) est facilitée par la contemplation d'une de ses images
mieux que par la simple vue de l'esprit ; mais seules les figures sculptées suivant
les règles sont d'un utile secours et leur adoration augmente le mérite du fidèle,
fussent-elles laides ; par contre, la contemplation de la plus belle image d'un être
humain n'apporte aucun mérite et celle d'une image divine faite contre les règles a
de funestes conséquences.
Les images des dieux sont sâttvikï, râjasï ou tâmasï (i). De la première série
sâttvikï sont celles qui ont les mains dans les mudrâs yoga, abhaya et varada,
c'est à dire de l'extase, de la sécurité et du don, ou sont vénérées par d'autres dieux.
Celles qui portent des armes et ont les mains en varada et abhayamudrâ, si elles
sont debout sur leur piédestal ou chevauchent leur váhaná et sont richement parées,
sont du type râjasl. Et celles dans une pose de combat avec les démons et d'aspect
féroce sont du type tâmasï.
La pierre blanche convient aux statues sâttvikï, la jaune ou la rouge aux râjasï, la
noire aux tàmasî. Une autre indication se rapporte aux dieux eux-mêmes ; la pierre b

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