Activité. Réactions. Travail. Entraînement et Fatigue. L Imitation. - compte-rendu ; n°1 ; vol.27, pg 724-736
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Activité. Réactions. Travail. Entraînement et Fatigue. L'Imitation. - compte-rendu ; n°1 ; vol.27, pg 724-736

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Description

L'année psychologique - Année 1926 - Volume 27 - Numéro 1 - Pages 724-736
13 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1926
Nombre de lectures 14
Langue Français
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Extrait

XI. Activité. Réactions. Travail. Entraînement et Fatigue.
L'Imitation.
In: L'année psychologique. 1926 vol. 27. pp. 724-736.
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XI. Activité. Réactions. Travail. Entraînement et Fatigue. L'Imitation. In: L'année psychologique. 1926 vol. 27. pp. 724-736.
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/psy_0003-5033_1926_num_27_1_638211% A^ALÏSES BIB1J0GRAJ»HIQUEJS
faatiqueiBßiatsur un tambour ainsi que la réponse du sujet .(au moyeaa
d'une «clef à voix). On a étudié la vitesse de lecture des lettres «t des
chiffres dans le corps des formules,' l'influence de la grandeur et de
l'épaisseur des caractères et surtout celle de leur position «(fractions,
indices, exposants) quai dmüiMae notablement la facilité de lecture.
l*a .lecture d'une formule est toujours beaucoup moins rapid« que
celle de mots »usuels. Le temps «nécessaire pour trouver
un éléfflasent doané dans une fonnule est moindre que celui
sa tecture. P. G.
XI. — Activité. Réactions. Travail. Entraînement
et Fatigue. Limitation.
E. HAAS. — Ueber 4m Art 4er Tätigkeit unserer Muskeln beim
flatten verschieden schwerer Gewiehte i-Wcatme de Vactivite de nos
muscles dans &e soutien de différents poids).. — Pf. A., GCXil., 5-6,
1926, p. 651-656.
Etude de l'ampilitude et de la fréquence -des co«iraiii!ts d'actioa du
delto'ide en foßctioa du poids soutenu par le bras, ha freqmenoe &®g-
mente rapidement jusqu'à un maximum, reste à peu près constante
pendant une certaine zone de poids, puis baisse ensuite. L'amplitude
moyenne -croit d'abord beaucoup aaaoißs vite, pais ensuite plus rap
idement jusqu'à un maximum, au delà duqu-el elle décroît <d'abord
brusquement puis ensuite lentement. Les courants d'action de deux
parties -différentes du muscle ne eotocident pas pour les poids faibles
et jneyeas., mais seulement pour les pxaids farts. Es soutenant ks
poids faibles, les divers faisceaux 4u muscle se contractent de façon
indépendante. L'auteur pense, d'ailieucs, que les faits observés
indiqu-ent sque les fibres «q question ne «uiveat pas, dans ie iraTrail
considéré, la loi du toutou rien. P. B.
K. WA€ÖHOLDER et H. ALTENBURGER. — Beiträge ant Physio
logie der willkürlichen Bewegung. VII. Willkürliche Haltungen
(Contribution à la physiologie du mouvement volontaire. VII. Expé-
riencesde soutien). — Pf. A., CCXII, 5-6, 1926, p. 657-665.
Les auteurs examinent dans quelle mesure, au cours du travail
volontaire, les activités des divers faisceaux d'un muscle, ou celles
des divers muscles agissant en même temps, sont ou non indépen
dantes les unes des autres. P. B.
K. WACHHOLDER et H. ALTENBURGER. — VHL üeber die
Beziehungen verschiedener synergisch arbeitender Muskeiteile
and Muskeln bei willkürlichen Bewegungen (VI IL Rapports
entre les divers muscles ou parties de muscles agissant synergique-
rnent duns les mouvements volontaires). — • Pf. A., GC XII, 5-6, 1926,
p. 666-675.
La -concordance des courants d'action des divers muscles oui parties
de muscles agissant synergiquement dans les déplacements volont
aires et le défaut de concordance dans les expériences de Santon ACTIVITÉ. RÉACTIONS. TRAVAIL. ENTBA1NEMEINT ET FATIGUE 725
tendent à indiquer qu'il y a deux formes différentes d'innervation
correspondant à ces deux formes d'activité. Dans le Ie* cas inter
viendrait un mécanisme central d'adaptation et de coordination des
influx, qui ferait défaut dans le deuxième cas. P. B.
A. FORBES, P. C. BAIRD et A- Me. HOPKINS. — The involun
tary contraction following isometric contraction of skeletal muscle
in. man {La contraction involontaire suivant la contraction isomé
trique des muscles du squelette chez Vhomme). • — Am. i. of Ph.,
LXXVIII, 1926, p. 81-103.
Étude du phénomène décrit par Salmon en 1914, caractérisé par la
tendance des muscles du squelette chez l'homme à présenter une
contraction involontaire à la fin d'une contraction volontaire isomé
trique intense et prolongée ; pour l'auteur ce phénomène n'est pas
d'origine musculaire pure, il assimile complètement cette post-con
traction au point de vue de son mécanisme à la contraction volont
aire, la décharge nerveuse des centres médullaires étant de la même-
nature dans les deux cas. Dans la post-contraction, la décharge des
neurones moteurs est déclenchée de façon réflexe par les impulsions
proprioceptrices, qui sont produites elles-mêmes par l'excitation des
récepteurs intramusculaires par suite d'un effet encore indéterminé
de la contraction isométrique prolongée. P. B.
R. ALLERS et G. SCHEMINZKY. — TJeber Actionsströme der
Muskeln bei motorischen Vorstellungen und verwandten Vorgängen
(»Sur les courants d'action des muscles lors des représentations mot
rices et des processus analogues). Pf. A.,CCXII, 2, 1926, p. 169-182.
Les auteurs ont utilisé un dispositif de transformateurs et de xen-
forçateurs spéciaux permettant d'écouter au téléphone les courants
d'action du muscle. Par cette méthode, ils constatent que lors des
représentations motrices et lorsque le sujet songe à l'accomplisse
ment d'un acte moteur déterminé, les muscles correspondants sont
le siège de phénomènes électriques. Ils précisent également les carac
tères des sons perçus lors d'une contraction effectivement réalisée et
dans la période qui la précède ou qui la suit. P. B.
MARGARET MILLER. — Changes in the response to electric shock
produced by varying muscular conditions {Changements produits
dans la réponse au ehoc électrique par les variations de Vétat des
muscles). — J. of exp. Ps., IX, 1, 1926, p. 26-44.
Ce travail se rattache à celui, de E. Jacobson 1. Quel est l'effet,
sur la réaction involontaire, de l'état général de contraction ou de
relâchement des muscles ? Des sujets sont arrivés par un dressage
préalable qui demande plusieurs mois à réaliser volontairement
un aussi complet que possible de toute la mugeulatwe
du corps. Dans cet état, et à l'état normal, on enregistre la réponse
du bras à un choc électrique uniforme. On trouve dans le premier-
état une réduction de l'amplitude du mouvement, qui peut même
1. V. An. ps.,, XXVI, p. 558. 726 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES
parfois faire défaut complètement. Au point de vue subjectif, l'inten
sité apparente du stimulus et son caractère désagréable sont atté
nués. Dans le sommeil (qui est souvent la conséquence du relâche
ment) la réduction est encore plus marquée. Une exception assez
énigmatique a été observée chez un des sujets dont les réactions
s'accentuent au contraire (en même temps que l'impression subjec
tive est plus forte) : il y a par ailleurs des raisons de croire que son
relâchement n'est pas comparable à celui des autres sujets ; il en
reste à un stade initial — rapidement franchi par les autres — • où
l'excitabilité se trouve au contraire accrue. P. G.
E. STERN. — ■ Zar Untersuchung der Muskelharte {Contribution à
l 'étude de la dureté des muscles). — Ind. Psychot., III, 4, 1926,
p. 120-123.
L'auteur résume les recherches qu'il a entreprises à Davos et qui
avaient pour but de déterminer l'influence du climat sur la dureté
des muscles. Toutefois, la méthode employée paraît avoir un intérêt
plus général car elle peut servir à explorer la structure musculaire
d'un individu et se trouve, par conséquent, susceptible d'applications
pratiques dans l'organisation du travail musculaire et la sélection
des travailleurs.
La technique est assez simple. Une planchette de laiton est fixée,
par exemple, sur le biceps du sujet. Un marteau suspendu à un fil
métallique vient frapper contre la planchette à une distance toujours
égale. Le temps de contact est mesuré au millième de seconde à
l'aide du chronoscope de Hipp ; il est d'autant plus long que le muscle
est moins dur.
Les recherches personnelles dont l'auteur énumère brièvement les
résultats auraient montré que la dureté n'est pas corrélative du
volume du muscle et qu'elle diminue après un effort musculaire
quelconque (la marche par exemple) même dans les groupes de
musc

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