L aquaculture française : bilan et perspectives - article ; n°1 ; vol.121, pg 77-96
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Description

Norois - Année 1984 - Volume 121 - Numéro 1 - Pages 77-96
ABSTRACT
French aquaculture is developing through freshwater trout farming and sea-water oyster and mussel cultivation. During the last twenty years, it was necessary to start new enterprises and to change the traditional use of continental and coastal waters as a result of biological crises, pollution and economic competition. Yearly output already reaches a rather high level (trout s : 24,000 t ; oysters : 80,000 t. ; mussels : 70,000 t.). French aquaculture changes quickly, spreads over new areas, develops new techniques and tests many species. Artificial hatcheries are feeding on a large scale mollusc spats, baby shrimps, and alewives used for extensive sea-ranching or natural population recovery, and for intensive farming.
The present trials and trends are positive in many fields : in European France, sea-water is used for trout and salmon farming, cultivation of Japanese short-necked clam, intensive farming of high valued finfishes (halibut, sea bass, sea bream) ; in the French oversea tropical territories, good results are obtained with the giant freshwater shrimp (Macrobrachium rosenbergi) in Tahiti, Martinique. Guadeloupe and French Guyana, peneid shrimp farming in New Caledonia, and intensive cage cultivation of sea bass in Martinique. Pearl production in French Polynesia, providing a substantial support for the Tuamotu archipelago local life, is already a priority for the local economic development. However, turtle farming in La Reunion, although reaching a large scale production, cannot survive because of lack of local market and general blockage in the international trade.
RÉSUMÉ
Elevage de truites, ostréiculture et myticulture assurent des bases solides à l'aquaculture française en ayant su évoluer pour surmonter des crises biologiques graves. Une diversification s'impose pour mieux valoriser les ressources littorales et pour donner des assises plus larges au secteur aquacole. Sur les côtes françaises des activités nouvelles apparaissent, mais c'est dans les départements et territoires d'Outre-Mer que l'on enregistre le plus de dynamisme (perliculture en Polynésie, élevages de tortues à la Réunion, cultures de crustacés dans les Caraïbes et les îles du Pacifique Sud).
20 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 1984
Nombre de lectures 12
Langue Français
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