Productivité relative et utilisation des emplois de courte durée dans les entreprises - article ; n°1 ; vol.405, pg 47-76
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Economie et statistique - Année 2007 - Volume 405 - Numéro 1 - Pages 47-76
L'utilisation des emplois de courte durée (occupés moins d'un an) par les entreprises peut correspondre à deux objectifs, de flexibilité ou de sélection/incitation. Pour distinguer entre ceux-ci, la productivité de ces emplois est comparée à celle des travailleurs embauchés depuis moins d'un an mais restant dans l'entreprise et à celle des travailleurs embauchés depuis plus d'un an. Si les emplois de courte durée se révèlent plus productifs que les autres à ancienneté comparable dans le secteur des services, ce différentiel n'apparaît pas dans le secteur de l'industrie. L'utilisation d'emplois de courte durée n'y aurait pas la même signification. Dans l'industrie, les salariés récemment embauchés semblent occuper des emplois de productivité identique et donc de nature similaire, qu'ils soient appelés à rester ou non dans l'entreprise. Dans les services, les salariés occupant un emploi de courte durée occupent des postes immédiatement plus productifs pour l'entreprise. Cela pourrait refléter l'existence dans ces secteurs d'emplois devant être occupés moins d'une année, pour répondre à une variabilité infra-annuelle de l'activité de l'entreprise. Dans tous les cas, le fait que la productivité de ces emplois soit supérieure ou égale aux autres, à ancienneté comparable, laisse penser que le recours aux emplois de courte durée n'est pas principalement motivé par la volonté des entreprises de sélectionner ou d'inciter à l'effort leurs salariés.
Productividad relativa y utilización de los empleos de corta duración en las empresas. La utilización de los empleos de corta duración (ocupados menos de un año) por las empresas puede corresponder a dos objetivos, de fl exibilidad o de selección/ incentivo. Para distinguir entre éstos, la productividad de estos empleos se compara con la de los trabajadores contratados desde hace menos de un año, pero que permanecen en la empresa y con la de los trabajadores contratados desde hace más de un año. Aunque los empleos de corta duración se revelan más productivos que otros de antigüedad comparable en el sector de los servicios, este diferencial no aparece en el sector de la industria. La utilización de empleos de corta duración no tendría el mismo signifi cado. En la industria, los asalariados recientemente contratados parecen ocupar empleos de productividad idéntica y en consecuencia de naturaleza similar, ya sea que deban permanecer o no en la empresa. En los servicios, los asalariados que ocupan un empleo de corta duración ocupan puestos inmediatamente más productivos para la empresa. Esto podría refl ejar la existencia en estos sectores de empleos que deben ser ocupados menos de un año, para responder a una variabilidad infraanual de la actividad de la empresa. En todos los casos, el hecho de que la productividad de estos empleos sea superior o igual a los otros, a antigüedad comparable, deja pensar que el recurso a los empleos de corta duración no está principalmente motivado por la voluntad de las empresas de seleccionar o de incitar al esfuerzo a sus asalariados.
Der Rückgriff auf kurzfristige Beschäftigungsverhältni sse (von weniger als einem Jahr) durch Unternehmen kann zwei Zielen dienen: Flexibilisierung oder Selektion/ Anreiz. Zur Unterscheidung zwischen beiden wird die Produktivität dieser Arbeitsplätze mit derjenigen der Arbeitnehmer, die seit weniger als einem Jahr beschäftigt sind, aber im Unternehmen verbleiben, und der seit über einem Jahr beschäftigten Arbeitnehmer verglichen. Die kurzfristigen Beschäftigungen sind im Dienstleistungssektor produktiver als die anderen mit gleicher Dauer der Betriebszugehörigkeit, nicht aber in der Industrie. Dort hätte der Rückgriff auf kurzfristige Beschäftigungen nicht die gleiche Bedeutung. In der Industrie besetzen die seit kurzer Zeit eingestellten Arbeitnehmer Arbeitsplätze mit identischer Produktivität und somit mit ähnlichen Merkmalen, unabhängig davon, ob sie im Unternehmen verbleiben oder nicht. Im Dienstleistungssektor besetzen die Beschäftigten mit einem Vertrag von kurzer Dauer Arbeitsplätze, die für das Unternehmen unmittelbar produktiver sind. Dies könnte darauf zurückzuführen sein, dass es in diesen Sektoren Arbeitsplätze gibt, die aufgrund der Schwankung der Unternehmenstätigkeit im Jahresverlauf weniger als ein Jahr besetzt werden. Auf alle Fälle legt die Tatsache, dass die Produktivität dieser Arbeitsplätze über derjenigen anderer mit gleicher Dauer der Betriebszugehörigkeit liegt oder ihr entspricht, den Schluss nahe, dass die Unternehmen nicht auf kurzfristige Beschäftigungsverhältnisse zurückgreifen, um eine Selektion der Arbeitnehmer vorzunehmen oder sie zu mehr Anstrengungen anzuregen. Relative Produktivität und Rückgriff auf kurzfristige Beschäftigungsverhältnisse in den Unternehmen
The use of short-term jobs (fi lled for under a year) by companies may be designed to achieve two objectives: fl exibility and selection/ motivation. In order to distinguish between these aims, the productivity of these jobs is compared with that of employees employed for under a year but remaining with the company and with that of workers employed for over a year. While short-term jobs prove to be more productive than others fi lled for a comparable length of time in the service sector, this differential is not present in the industrial sector. The use of short-term jobs does not appear to have the same meaning in this sector. In industry, recently employed employees seem to fi ll jobs with identical productivity and which are therefore similar in nature, whether or not they are asked to remain in the company. In services, employees fi lling a short-term position fi ll posts which are more immediately productive for the company. This may refl ect the existence in these sectors of positions which must be fi lled for under one year, in order to respond to year-on-year variability in the company’s activity. In any case, the fact that the productivity of these jobs is greater than or equal to others fi lled for a comparable length of time leads us to think that the use of short-term jobs is not mainly motivated by the companies’desire to select their employees or encourage them to work hard. Relative Productivity and the Use of Short-Term Jobs in Companies
30 pages
Source : Persée ; Ministère de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supérieur, Sous-direction des bibliothèques et de la documentation.

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Publié le 01 janvier 2007
Nombre de lectures 19
Langue Français

Extrait

Productivité relative etutilisationdesemploisde courte durée dans les entreprises Marie Leclairet Sébastien Roux*
EMPLOI
L’utilisation des emplois de courte durée (occupés moins d’un an) par les entreprises peut correspondre à deux objectifs, de fl exibilité ou de sélection/incitation. Pour distin-guer entre ceux-ci, la productivité de ces emplois est comparée à celle des travailleurs embauchés depuis moins d’un an mais restant dans l’entreprise et à celle des travailleurs embauchés depuis plus d’un an . les emplois de courte durée se révèlent plus productifs que les autres à anciennetéSi comparable dans le secteur des services, ce différentiel n’apparaît pas dans le secteur de l’industrie. L’utilisation d’emplois de courte durée n’y aurait pas la même signifi cation. Dans l’industrie, les salariés récemment embauchés semblent occuper des emplois de productivité identique et donc de nature similaire, qu’ils soient appelés à rester ou non dans l’entreprise. Dans les services, les salariés occupant un emploi de courte durée occupent des postes immédiatement plus productifs pour l’entreprise. Cela pourrait refléter l’existence dans ces secteurs d’emplois devant être occupés moins d’une année, pour répondre à une variabilité infra-annuelle de l’activité de l’entreprise. Dans tous les cas, le fait que la productivité de ces emplois soit supérieure ou égale aux autres, à ancienneté comparable, laisse penser que le recours aux emplois de courte durée n’est pas principalement motivé par la volonté des entreprises de sélectionner ou d’inciter à l’effort leurs salariés.
* Au moment de la rédaction de ce document, les auteurs faisaient partie du Département des Études Économiques d’Ensemble, Division « Marchés et Stratégies d’Entreprise » .  D3E esremercient Didier Blanchet, Pauline Givord, Éric Maurin, deux rapporteurs anonymes et les participants aux séminairLes auteurs et Recherche de l’Insee et aux Journées de Microéconomie Appliquée (JMA) de 2004 pour leurs commentaires.
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Esdeurheresunémeérétésneiaeltfaitdesalariésertsnatomnisnaund%910,002n dans leur entreprise (Leclair et Roux, 2006). Ce constat, issu de données administratives (cf. en-cadré 1), rejoint celui de l’existence simultanée de flux importants d’embauches et de sorties d’emplois (Cahuc et Kramarz, 2005). Parmi les études s’intéressant à la mesure de la précarité du travail et à son évolution au cours des der-nières années, peu examinent directement les entreprises pour mesurer ce phénomène, l’ac-cent étant mis le plus souvent sur les trajectoires d’individus dans et hors de l’emploi. Or, l’em-ploi précaire, imposé par les entreprises, crée une situation difficile pour ceux qui le subissent sans l’avoir choisi. Quelles sont les raisons pous-sant les entreprises à utiliser ce type d’emploi ? D’un côté, l’entreprise a besoin de salariés qua-lifiés, possédant un capital humain spécifi que qui ne peut s’acquérir que par l’ancienneté dans l’emploi. L’embauche de nouveaux salariés génère ainsi des coûts fixes de formation et le licenciement de salariés anciens détruit le capital humain spécifique de l’entreprise tout en géné-rant des coûts (coûts de licenciement, primes de précarité). De ce point de vue, leturnoverdes salariés et l’instabilité des emplois semblent nuisibles aux performances de l’entreprise. D’un autre côté, les emplois de courte durée permettent d’accroître la fl exibilité et de mieux faire correspondre le volume de travail à la courbe de l’activité de l’entreprise. La faible durée de certains emplois permet de diminuer le chômage technique et de maximiser le profi t présent de l’entreprise. Par ailleurs, les emplois de courte durée permet-tent également de sélectionner les « meilleurs »
travailleurs en écartant ceux dont la productivité se révèle trop faible. Une utilisation plus impor-tante de ces emplois par une entreprise pourrait alors s’interpréter comme le signe d’une sélec-tion plus forte de ses salariés. Le choix par l’entreprise du niveau d’insta-bilité de ses emplois résulte donc d’un arbi-trage entre ces troisdifférents arguments (pour une formalisation de ceux liés à la fl exibilité, cf. encadré 2). Pour les examiner, cet article va considérer comme des facteurs de production différents le travail effectué dans le cadre des emplois suivants : les emplois decourte durée, les emplois occupés par des salariés embauchés depuis moins d’un an et amenés à rester dans l’entreprise, appelés par la suite emplois de débutant, et les emplois occupés par des salariés depuis plus d’un an, appelés emplois de salariés formés(cf. tableau 1) (1).1En s’appuyant sur une estimation de la produc-tivité relative du travail effectué dans le cadre de chacun de ces types d’emploi, cet article exa-mine la pertinence des raisons citées précédem-ment du recours aux emplois de courte durée. Ainsi, s’il est vrai que les entreprises valorisent leur capital humain spécifi que, cela devrait se refléter par une productivité du travail dans les emplois de forte ancienneté,i.e.de salariés for-1.aurait pu également examiner la situation symétrique pourOn les sorties : considérer les emplois occupés par des salariés d’ancienneté supérieure à un an devant partir dans l’année. Dans les établissements de plus de 50 salariés, ces sorties correspon-dent à 15 % de l’ensemble des sorties. Ces fl ux étant beaucoup moins nombreux que ceux liés à une perte d’emploi d’individus employés depuis moins d’un an, nous avons préféré conserver la classification plus simple adoptée dans l’article. Par ailleurs, l’information la plus pertinente selon nous concerne les fl ux de sortie des individus récemment embauchés, prise en compte en isolant les emplois de courte durée.
Tableau 1 Concepts et définitions Dénitiondes emplois de « courte durée » et des emplois « permanents »L’entreprise réunit Emploi de courte durée Tout emploi durant moins d’un an Travail de courte durée Quantité de travail (mesurée par le nombre d’heures) effectué par un individu occupant un emploi de courte durée Salarié permanent Salarié de l’entreprise amené à y rester ou y étant resté plus d’un an Emploi permanent Tout emploi durant ou ayant duré plus d’un an Les salariés permanents sont soit « débutants », soit « formés »Salarié débutant Salarié embauché depuis moins d’un an dans l’entreprise, mais amené à rester dans l’entreprise. Il est considéré comme formé une fois la première année écoulée Emploi de débutant Emploi occupé par un salarié débutant Travail de débutant Quantité de travail (mesurée par le nombre d’heures) effectuée par un débutant Salarié formé Salarié embauché depuis plus d’un an dans l’entreprise Emploi de salarié formé Emploi occupé par un salarié formé Travail de salarié formé Quantité de travail (mesurée par le nombre d’heures) effectuée par un salarié formé
ÉCONOMIE ET STATISTIQUE N° 405/406, 2007
Encadré1
LES SOURCES  ceux qui continueront à être employés dans l’entre- etPour cette étude, nous disposons d’une source de données qui n’a jamais encore été utilisée pour étu- prise. Le travail de courte durée correspond au travail dier ce sujet, lesDéclarations Annuelles de Donnéeseffectué par la première catégorie de salariés au cours Sociales (DADS), données administratives issues des de l’année. Il a deux caractéristiques : il est à la fois entreprises du secteur privé ou semi-public qui appor- flexible et de faible ancienneté. Le travail permanent tent une information sur tous leurs salariés. Bien que correspond au travail effectué, mesuré en nombre peu détaillée, cette information concerne tous les sala- d’heures, par les individus de moins d’un an d’ancien-riés et n’est pas sujette à des problèmes de déclara- neté mais qui vont rester dans l’entreprise et ceux de tion ou de mémoire. Surtout, il est possible d’estimer plus d’un an d’ancienneté. Ces deux catégories sont pour chaque salarié la durée effective de son emploi distinguées par la suite. Les individus peuvent donc dans l’entreprise (s’il a duré moins de deux années changer de catégorie d’ancienneté en cours d’année consécutives (1)).cas 4 du graphique), leurs heures decalendaire (cf. le travail seront réparties dans les deux types de travail, Ces données nous permettent de dresser un constat travail de faible ancienneté et travail de forte ancien-sur le recours aux emplois instables pour l’ensemble neté.1 de l’économie française et de reconstruire exactement ce recours pour chaque entreprise.Parmi les emplois durant moins d’un mois, on a sup-primé tous les emplois de moins de 10 jours. Ceux-ci avaient en effet des caractéristiques très particulières, lbatéltnemessidees:lrésiituqsedelLescaractDaAmDaSin d’œuvreplus élevé. Il s’agit très vraisemblable-dont un salaire ment soit de rappel de primes ou de salaires, soit de formateurs par exemple qui interviennent très ponc- tuellement dans l’entreprise. Nous ne supprimons niNous travaillons dans un premier temps à partir des DADS les stagiaires (que nous isolons toutefois) ni les « petitsexhaustives pour sept années de 1994 à 2000. Dans lesDADS boulotsexhaustives, nous connaissons pour d’été ». Si ces emplois ne sont pas forcément chaque emploi la durée de la rémunération au cours de vécus comme de la précarité par les salariés qui les l’année présente et passée ainsi que la date de début occupent, ils sont toutefois le signe d’une instabilité et de fin de la rémunération, sa rétribution, la catégorie de la main-d’œuvre à laquelle l’entreprise a recours. socioprofessionnelle du salarié occupant cet emploi, son âge, son sexe et la durée de son travail (temps complet, temps partiel), son établissement. Nous ne1.DADS exhaustives ne permettent de suivre les indivi-Les ui occdus que deux années consécutives. Les dates de début et de epomupvlooins.sNpoatsasmuimverentl,ensopuesrsnoenpnoesuvqonspasupseanvtoircessifin d’emploi correspondent ici aux dates de début et de fi n de rémunération dans l’année observée (beaucoup commencent une personne qui quitte un emploi en retrouve immé-le 1erjanvier et finissent le 31 décembre). diatement un autre, si le départ est volontaire ou non. Par ailleurs, nous ne disposons pas de l’information concernant la nature du contrat, à durée déterminée ou non du salarié. Nous nous différencions en cela deréseRepionntatenérstesdeffdiérudse la plupart des articles consacrés à l’emploi précaired’emploi et classification en différents qui fondent leurs conclusions sur l’étude des contratstypes d’emplois à durée déterminée. CG : censure à gauche en t CD : censure à droite en t Sur la base de l’information disponible dans nosabstinlavtr:leiavart:éetnc'annieu'nnadmiosndanentdeailperm données, nous pouvons défi nir différentes classes: travail de plus d'un an d'ancienneté d’emplois selon leur durée et reconstituer pour cha- t t + 1t - 1 que entreprise la part des heures travaillées par des salariés de différentes anciennetés ou par des sala-niGCle12stab riés instables ou permanents. Nous défi nissons toutPermanent mais moins d’abord les emplois de courte durée (qui durent moins CD 3d'un an d'ancienneté d’un an) et les emplois permanents (qui durent plus4 d’un an). En utilisant lesDADSd’une annéet, certai-5CG nes durées peuvent être censurées à droite (puisque6CG à gauche on a l’information ent— 1 , cf. les cas 3 ettéPlusdnu''dnaicnaenne 4 du graphique ci-contre). Pour éviter ces censures et pour reconstruire par établissement le nombre d’heu-res travaillées par un salarié en emploi permanent oules années des fichiers. En t, on l’axe représente Lecture : de courte durée de l’annéetutilise,onlseDADSdeixueemèsactnosnsifiufntsarvseobdusdeedeérseiuqpmolufdisaledansl’annéet(pour les données non censurées à droite,pesuoréraptrrilseheurestravailltsen,peuanrmifdeslnsdaséedsepytstneréfailltravoi,emplseoatlbisnuesr cf. les cas 1, 2, 5 et 6 du graphique) ett+ 1 (pour lestravailleurs de plus ou de moins d’un an d’ancienneté. Lorsqu’il informations censurées à droite ent).cas1,5et6).Lteéudslaraéi(resudàitrooe,qsroliuaynecensuacgaureàylaspîtnniencano,ehcannocenlessitpasainne travail est permanent ou non (cas 3 et 4). Il est donc nécessaire Par ailleurs, parmi les individus de faible anciennetéd’utiliser les fichiers des années t -1et t +1pour construire coexistent ceux qui perdront leur emploi avant un anl’information que nous désirons.
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