Fraternité Matin n°17350 - du mardi 25 octobre 2022
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Fraternité Matin n°17350 - du mardi 25 octobre 2022 , magazine presse

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Date de parution 25 octobre 2022
Langue Français
Poids de l'ouvrage 4 Mo

Extrait

Mardi 25 octobre 2022 / N° 17 350 www.fratmat.info / FratMat Mobile #129# (orangeCi) Prix: 300 Fcfa  Cedeao : 450 Fcfa  France: 1,70 € PREMIER QUOTIDIEN IVOIRIEN D’INFORMATIONS GÉNÉRALES
Lutte contre le cancer du sein, Fraternité Matins'engage
Défi sécuritaire et changement climatique dans le SahelP. 2
Mahamadou Issoufou sollicite
le soutien de Ouattara
L’ancien Président nigérien a été reçu par le Chef de l’État
PH : HONORÉ BOSSON
Insertion professionnelle
L’appel de Patrick Achi au privé :
Donnez la chance PHOTO : SÉBASTIEN KOUASSI aux jeunes Le Premier ministre a procédé, hier, au lancement du Programme national de stage, d’apprentissage et de reconversion (Pnsar) P.3 Visite de travail d’Ahoussou-Kouadio en FranceTélévision numérique terrestreP. 17 Les Sénats ivoirien et français tracentAdama Yéo(Dg de la Société ivoirienne de télédiffusion):les nouveaux sillons de leur coopération‘‘Nous couvrons 94% du territoire national’’ P.4
2
N ation
Mardi 25 octobre 2022
Défi sécuritaire et changement climatique dans le Sahel Mahamadou Issoufou sollicite le soutien du Président Alassane Ouattara
Le Président de la République, Alassane Ouattara, s’est entretenu, hier à Abidjan, avec l’ancien Chef d’État du Niger. résident du Panel detude »rage. Mahamadou , s’est-il réjoui. Par ail- Issoufou haut niveau sur la sécu- leurs, il a souligné que l’entre- a donc précisé que cet es-rité et le développementtien qu’il a eu avec Alassane pace géographique«prend en P au Sahel, MahamadouOuattara a porté essentielle-compte une vingtaine de pays. Issoufou était, hier, en ment sur sa mission, à savoirTous, confrontés, non seule-Côte d’Ivoire où il s’est en- la sécurité et le développe-ment aux défis sécuritaires, tretenu avec le Chef de l’Etat ment que lui ont confiés lesmais aussi à bien d’autres Alassane Ouattara, au Palais Nations unies, en rapport avecrelatifs au changement cli-de la Présidence, au Plateau. l’Union africaine, la Cedeao etmatique, à la démographie, à A cette occasion, il a affirmé le G5 Sahel.l’humanitaire et au développe-qu’il est venu solliciter son«Il s’agit d’une mission d’éva- ment économique et social ». soutien.luation, de sécurité et de dé-«Je suis venu deman- Pour faire face à ces enjeux, der le soutien du Président veloppement, dans ce que «les Etats et les partenaires Alassane Ouattara, pour que j’appelle l’espace géopolitique ont défini des stratégies», a-t-ma mission soit une réussite, du Sahel, différent du Sahelil fait savoir, en précisant qu’il utile pour nos pays et pour géographique», a-t-il précisé.s’agit d’enquêtes minutieuses nos peuples»Le président du Panel de haut et de stratégies qui visent à, a déclaré l’hôte du Chef de l’Etat ivoirien, au niveau sur la sécurité et le formuler des propositions et terme des échanges. développement a, également,des recommandations, pour «Le Président Alassane Ouat-répondre efficacement auxfait remarquer que la zone tara m’a promis son soutien.sur laquelle porte sa mission défis auxquels se trouvent Je voudrais profiter de cetteconcerne«tout cet espaceconfrontés ces différents pays Le Chef de l’Etat Alassane Ouattara a accordé, hier, une audience à l’ancien Président occasion pour lui traduire ma où les menaces terroristes et». Le groupe indépendant de Mahamadou Issoufou.(PHOTO : BOSSON HONORÉ) reconnaissance et ma grati- criminelles» font aujourd’hui haut niveau sur la sécurité et le développement dans la ré- tions unies. Ce groupe de hautgagement international, en Assemblée nationale gion du Sahel avait été mis niveau a pour objectif d’éva- vue de trouver des solutions en place, officiellement, le 25 luer la situation au Sahel, mais face aux différents défis dans . septembre, à New York, en surtout de faire des recom-la régionLe personnel reçoit 17 véhicules de service marge du débat annuel de mandations sur les moyens l’Assemblée générale des Na- qui visent à encourager l’en-MARCEL APPENA
Le Président de l’Assemblée nationale et des députés lors de la cérémonie.(PHOTOS : DR)
omme promis, il y a cinq mois, pendant la campagne précédant nalCe, Adama Bictogo est en l’élection du président de l’Assemblée natio-train de faire de la Chambre basse une structure moderne et modèle. Hier, au cours d’une céré-monie solennelle, à la salle des pas perdus, il a remis les clés de 17 véhicules à des agents et députés qui avaient quelques soucis de mobilité. Il s’agit précisément de vé-hicules de type 4X4 pour un questeur, huit secrétaires de bureau, trois présidents de groupes parlementaires et cinq présidents de commis-sions. Pour le président de l’Assemblée nationale, Ada-ma Bictogo, cette action fait partie des priorités, parmi tant d’autres, qu’il devait résoudre. C’est, dit-il, l’une des attentes des députés qu’il a trans-mises au Président de la Ré-publique, parce que les plans d’action reposent sur eux. Le Président Ouattara a donc instruit, selon Adama Bictogo, le gouvernement à l’effet de
satisfaire les besoins de ces députés. « Même si cela fait partie du budget de l’Assemblée natio-nale, ledit budget figure à l’in-térieur d’un budget général, raison pour laquelle je vou-drais exprimer toute ma gra-titude au Président Alassane Ouattara pour avoir permis à notre institution de disposer de matériels roulants », s’est-il réjoui. Il n’a pas manqué de revenir sur la question du renforce-ment des infrastructures de l’institution pour permettre à chaque député de disposer d’un bureau individuel afin de faciliter sa présence en permanence à l’Assemblée nationale. A ce sujet, il a en-core rendu hommage au Chef de l’Etat pour avoir donné son accord de principe pour la ré-alisation des bâtiments. Pareil pour la digitalisation de l’institution entamée il y a quelque temps.« A la pro-chaine plénière de novembre, chaque député aura son ipad pour pouvoir disposer d’un environnement moderne et avoir accès aux textes. Nous
n’aurons plus besoin de nous rendre dans nos casiers construits depuis 60 ans, alors qu’aujourd’hui, nous sommes à l’heure du numérique », soutient-il. Avant d’ajouter qu’avec ces nouveaux équi-pements, l’Assemblée natio-nale sera au diapason des chambres basses modernes. Au nom des récipiendaires, Olivier Akoto, député de Daoukro, a traduit toute sa reconnaissance au président de l’Assemblée nationale pour le dynamisme et l’esprit convi-vial qu’il fait régner au sein de l’institution depuis sa prise de fonction.« Vous avez souhai-té faire de l’institution une fa-mille. Et les enfants de cette famille constatent que toutes les promesses que vous leur avez faites se réalisent. Nous pouvons donc vous qualifier de bon père de famille », a estimé le député de Daoukro. Avant de lui demander de continuer à demeurer un bon père de famille en gardant son esprit managérial et son lea-. dership HERVE ADOU
Intégration Des experts de huit pays en formation à Abidjan
n séminaire internatio-nal sur les intégrations à l’économie mondiale U et les exigences de la compétitivité durable s’est ouvert, hier, à l’Univer-sité internationale de Côte d’Ivoire (Uici) sise à Abidjan, dans la commune de Cocody. Les travaux de cette rencontre internationale ont débuté le 24 octobre, en présence de l’inspecteur général d’État, Ahoua N’Doli Théophile, facili-tateur dudit établissement, de représentants de ministères et de structures publiques et privées impliquées dans les questions de compétitivité de l’économie ivoirienne. Des experts ivoiriens et leurs homologues venus du Togo, du Niger, du Cameroun, du Burkina Faso, du Tchad, du Congo et du Mali planchent sur les défis et opportunités qui sous-tendent les muta-tions observées dans l’ordre international, en vue d’en tirer profit pour leurs pays respectifs. Représentant le ministre de l’Économie et des Finances à l’entame du séminaire, Bamba Vassog-bo, directeur de cabinet ad-joint au sein dudit ministère, a souligné que l’organisation de cette conférence est une belle occasion de repenser l’insertion de l’Afrique dans l’économie mondiale. Car, soutiendra-t-il, malgré les pro-grès remarquables en termes
Une rencontre de haut niveau sur les intégrations à l’économie mondiale se tient depuis hier à Abidjan. de performances macroéco- bien du régime de change nomiques, la part de l’Afrique fixe. A l’en croire, ces efforts dans le commerce mondialdes autorités ivoiriennes ont a baissé de 4 à 2,8% entre permis à la Côte d’Ivoire de 1970 et 2019. Et de révéler faire partie du top 10 des que l’Afrique qui représente meilleures performances en seulement 3% du Pib mondial Afrique subsaharienne pour se classe, par ailleurs, parmi ces catégories. Au cours d’un les continents ayant les plus panel, le directeur général du faibles niveaux d’échanges et Plan et de la Réduction de la reste donc très peu intégrée pauvreté, Marcellin Cissé, a dans l’économie mondiale. mentionné les efforts de l’État Évoquant le cas particulier devisant la prise en compte des la Côte d’Ivoire, le directeur préoccupations du secteur pri-de cabinet adjoint au minis- vé, notamment dans l’élabo-tère de l’Économie et des Fi- ration des plans nationaux de nances assure qu’une étudedéveloppement. réalisée en 2018, par l’Ob- Il a expliqué que le déficit de servatoire de la compétitivitéfinancement des entreprises durable de la Ferdi, a révélé est l’une des raisons qui ont que le pays bénéficie d’un poussé l’État à encoura-environnement qui offre une ger l’acquisition stratégique résistance aux vulnérabilités, d’établissements financiers d’une attractivité réelle avec bancaires par des entités ivoi-. des marges d’améliorationriennes substantielles et d’une com-pétitivité qui s’accommodePATRICK N’GUESSAN
Mardi 25 octobre 2022
N ation
3
Insertion professionnelle des jeunes Patrick Achiaux entreprises du secteur privé :« Quand vous recrutez ces jeunes, vous rendez service à l’État »
Le Premier ministre, Patrick Achi a, en présence de plusieurs membres du gouvernement, procédé, hier, au Palais de la culture, à Treichville, au lancement du Programme national de stage, d’apprentissage et de reconversion 2022-2023, (Pnsar).
a problématique de l’in-sertion professionnelle des jeunes demeure une priorité pour le gou-inLscrit en bonne place dans vernement. Un chantier la vision 2030 d’ ‘’Une Côte d’Ivoire Solidaire’’. C’est pour répondre à cette préoccupa-tion que le Premier ministre Patrick Achi a exhorté, hier, lors du lancement du Pro-gramme national de stage, d’apprentissage et de re-conversion 2022-2023, (Pn-sar), au Palais de la culture à Treichville, les entreprises du secteur privé à accorder une place importante à la jeunesse. « A nos chefs d’en-treprise, nous comptons sur vous. Quand vous recrutez ces jeunes, vous rendez ser-vice à l’État. Car nous savons ce que vous êtes capables d’apporter à notre jeunesse et à notre pays. Donnez un stage, c’est souvent la pre-mière pierre d’une carrière, mais bien au-delà. Donnez un stage, cela peut changer le destin d’une personne. C’est avec notre jeunesse que s’écrira votre histoire. Je compte donc sur vous pour lui
Le Premier ministre Patrick Achi entouré de milliers de jeunes qui ont pris d’assaut le Palais de la culture de Treichville.
faire une place à vos côtés, dans vos entreprises comme stagiaire, apprenti », a insisté le chef du gouvernement. Qui soutient que c’est avec le secteur privé que le gouver-nement fera grandir sa jeu-
nesse. Mieux c’est avec elle que le secteur privé rempor-tera ses plus belles victoires. Car aujourd’hui, 83% des personnes travaillant dans le secteur formel sont du sec-teur privé. « Le secteur privé
Plus de 30 000 opportunités déjà mobilisées
our cette année aca-démique 2022-2023, ce sont plus de 12 000 P diplômés de la forma-tion professionnelle et 26 832 jeunes déclarés ad-missibles au Brevet de tech-nicien supérieur (Bts), à qui il va falloir trouver dans les 12 mois à venir des oppor-tunités de stages pour amé-liorer leur employabilité ou valider leurs diplômes. Lors-qu’on y ajoute les autres di-plômés de l’enseignement supérieur et tous ces jeunes qui arrivent sur le marché du travail sans qualication, les chiffres se situent entre 300 et 400 000 jeunes à prendre en charge dans l’ensemble des dispositifs de dévelop-pement de compétences. L’information émane du mi-nistre de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Ser-vice civique, Mamadou Tou-ré. Face à la jeunesse de Côte d’Ivoire, hier, dans le cadre du lancement du Pro-gramme national de stage, d’apprentissage et de recon-version (Pnsar), Mamadou
Touré a fait le point des ac-quis en matière d’insertion professionnelle, mais sur-tout donner des détails sur ce qui est prévu pour la priseen charge des jeunes dans le cadre du Pnsar 2022-2023. A l’en croire, ce sont 30 661 opportunités qui sont déjà mobilisées. A savoir 19 836 opportunités de stages-école, soit 4 959 stages tous les trimestres sur les 12 pro-chains mois, 6 160 opportu-nités de stages pré-emploi ou stages de qualication sur les 12 prochains mois, 3145 opportunités d’appren-tissage, 1520 opportunités de formation de requali-cation et de reconversion. « Toutes ces opportunités nous ont été mises à dis-position par les entreprises, dont certains responsables viennent d’être primés ou avec qui, nous venons de si-gner des conventions-cadre de partenariat au prot de l’insertion professionnelle de nos jeunes », a-t-il assuré. Le premier responsable de la Jeunesse a par ailleurs fait savoir qu’entre 2019 et
2021, le Pnsar a permis à 96 453 jeunes lles et garçons de bénécier d’opportunités d’amélioration de leur em-ployabilité. Pour ce qui est des programmes dévelop-pés en collaboration avec la Banque mondiale, l’Agence française de développe-ment, à travers le C2D et la Coopération japonaise, sur 115 373 jeunes (dont envi-ron 45 % de femmes) bé-néciaires, plus de 70 % ont été insérés 6 mois après leur participation au Programme. « Fort de cette performance, la Banque Mondiale a signé avec le Gouvernement, l’ac-cord de nancement de la phase 3 du Pejedec d’une valeur de 86,72 milliards de F Cfa pour la prise en charge de 120.000 jeunes bénéciaires directs et plus de 300.000 bénéciaires in-directs », a-t-il coné. Il n’a pas manqué de réitérer sa gratitude aux partenaires et aux acteurs du secteur privé, pour leur contribution à la ré-alisation de ces objectifs.
F. SYLLA
est et sera le plus grand fer-ment dans lequel naîtra cette nouvelle nation à laquelle nous rêvons tous. Tout est mis en place par l’État en vue de renforcer tous les moyens permettant de développer le secteur privé national », s’est-t-il voulu clair. Non sans rap-peler qu’aucune économie ne peut se développer sans son secteur privé. « Nous nous
appesantirons particulière-ment sur les cas d’un certain nombre de nos jeunes qui ne sont ni en emploi, ni en éducation, ni en formation et dont le volume est important et qui, pourtant, devront trou-ver leur place dans la socié-té. Nous savons à quel point la recherche d’un stage peut s’avérer complexe, longue et déroutante », a-t-il assuré.
Patrick Achi a également en-gagé les patrons des struc-tures publiques à s’inscrire dans cette dynamique. Car pour lui, le recrutement des jeunes stagiaires n’est pas une option, mais une obliga-tion. Aux jeunes, Patrick Achi a recommandé la persévérance. Car pour lui, le travail ne trahit jamais. « Travaillez, travaillez encore. La meilleure manière de réussir, c’est d’essayer en-core une fois. Le résultat vient toujours au moment où vous vous y attendiez le moins. Ne vous découragez jamais de-vant l’effort et la complexité. Cultivez les valeurs qui sont importantes en entreprise », a-t-il exhorté les jeunes. Le chef du gouvernement a réité-ré l’engagement de l’État à for-mer et insérer cette jeunesse. « On n’a pas le choix. Per-PHOTO : SÉBASTIEN KOUASSI sonne ne viendra développer ce pays pour nous. Et si on n’est pas capables de vous former et de vous insé-rer, non seulement nous nous condamnons nous-mêmes, mais aussi nous condam-nons la génération future ». Plusieurs conventions ont été signées entre l’Agence em-ploi-jeunes (Aej) et des en-treprises partenaires dans le cadre de ce programme.
FATOU SYLLA
Les attentes du patronat ivoirien e secteur privé attend branches professionnelles. Votre engagement est en beaucoup de l’État de Un moyen d’accroître les op-cohérence avec notre man-Côte d’Ivoire. Des at-portunités de stage ou d’ap-dat en tant qu’organisation L tentes qui ont été égre-professionnelle. Je voudraisprentissage. Pour Mar Mao, nées par le président l’entreprise étant la princi-donc proter de l’opportunité de la Commission emploi pale porte d’entrée pour les qui m’est offerte pour lancer et relations sociales de la stages ou l’apprentissage, il un appel à toutes les entre-Confédération générale des est important qu’elle soit au prises opérant sur le territoire entreprises de Côte d’Ivoire cœur de l’élaboration et de national en tant qu’entreprise (Cgeci), Mar Mao. Selon la mise en œuvre des pro-ivoirienne : nous devons lui, le patronat ivoirien sou-grammes de stage et d’ap-contribuer à la formation de haite que le gouvernement prentissage à travers les nos salariés de demain que lui accorde un accompa-branches professionnelles. représentent ces jeunes qui, gnement de qualité pour la Au-delà de ces attentes liées chaque jour, frappent à nos formation des stagiaires et/ directement aux stages et à portes. Avec nos branches ou des apprentis en fonction l’apprentissage, a-t-il préco-professionnelles et grâce à de ses capacités. Ce, dans nisé, « nous devons travail-l’appui que le présentpro-la perspective d’en faire des ler à une véritable transfor-gramme voudrait nous ac-salariés de demain. Car la mation structurelle de notrecorder, prenons ensemble qualité de la formation re-économie pour réduire lesnotre part », a-t-il engagé les çue en amont par ces jeunes fortes proportions de l’écono-entreprises du secteur privé. contribue pour beaucoup à mie informelle dans laquelleEt d’assurer que la Cgeci est leur insertion via le stage ou la majorité de nos jeunes seprête à coordonner la mobilisa-l’apprentissage. Il faut égale-retrouvent. Je voudrais félici-tion des offres de stage suivant ment un dialogue en amont, ter toutes les entreprises quiles modalités, dans le cadre du en vue de l’identication des offrent, chaque année, desprésent programme. besoins de stages ou en stages et des opportunités apprentissage à travers les d’apprentissage aux jeunes.F. S.
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