Baccalauréat C Dijon juin
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Baccalauréat C Dijon juin 1980 \ EXERCICE 1 3 POINTS 1. Soit f la fonction numérique de la variable réellex, définie par f (x)= log ? ? ?tan x2 ? ? ? où log désigne la fonction logarithme népérien. Déterminer l'ensemble de définition de f , ainsi que la fonction dérivée pre- mière f ?. 2. À l'aide d'une intégration par parties, déterminer la valeur exacte du réel I = ∫ pi 3 pi 6 1 cos2 t ·sin t dt . EXERCICE 2 3 POINTS E désigne un espace affine associé à un espace vectoriel V de dimension 3, rapporté au repère ( O, ??ı , ??? , ??k ) . Soit f l'application affine de E dans E qui, à tout point M de coordonnées (x ; y ; z) associe le point M ? dont les coordonnées (x? ; y ? ; z ?) sont : ? ? ? x? = ?x+ z y ? = ?2x+ y + z+2 z ? = z+4. 1. Démontrer que l'endomorphisme ? associé à f est involutif ; le déterminer. 2. Quel est l ?ensemble des points invariants par f ? 3. Soit g la symétrie affine d'endomorphisme associe ? qui laisse invariant le point A de coordonnées(0 ; 1 ; 2).

  • équivalence des propositions p1

  • antécédents par f0

  • repère orthonormé direct

  • privé de zéro

  • représenterles points

  • affixe


Sujets

Informations

Publié par
Publié le 01 juin 1980
Nombre de lectures 36
Langue Français

Extrait

[Baccalauréat C Dijon juin 1980\
EX E R C IC E1 3P O IN TS 1.Soitfla fonction numérique de la variable réellex, définie par x f(x)=log¯tan¯ 2 où log désigne la fonction logarithme népérien. Déterminer l’ensemble de définition def, ainsi que la fonction dérivée pre mièref. 2.À l’aide d’une intégration par parties, déterminer la valeur exacte du réel Z π 1 3 I=dt. π2 costsint 6
EX E R C IC E2 3P O IN TS E désigne un espace affine associé à un espace vectoriel V de dimension 3, rapporté ³ ´ au repèreO,ı,,k. Soitfl’application affine deEdansEqui, à tout pointMde coordonnées (x;y;z) ¡ ¢ ′ ′′ ′ associe le pointMdont les coordonnéesx;y;zsont : x= −x+z y= −2x+y+z+2 z=z+4. 1.Démontrer que l’endomorphismeϕassocié àfest involutif ; le déterminer. 2.Quel est l ?ensemble des points invariants parf? 3.Soitgla symétrie affine d’endomorphisme associeϕqui laisse invariant le point A de coordonnées(0 ; 1 ; 2). Soittla translation de vecteur 2ı+4+4k. Vérifier quef=tg=gt.
PR O B L È M E13P O IN TS 2 Dans tout le problème, (a,b) est un couple donné, élément deR{(0, 0)}.On dé signe par : ³ ´ PO,un plan affine euclidien rapporté au repère orthonormé directı,. Pl’ensemble P privé de l’origine O. Ciliser les nol’ensemble des nombres complexes privé de zéro (on pourra ut tationsρetθpour désigner respectivement le module et un argument d’un élément deC. A le point dePd’affixe 1. ¡ ¢ Pour tout couple de pointsM,MdeP, d’affixe respectivezetz, on associe le ′ ′ point d’affixez z, notéMΔM. On définit ainsi une loi de composition interne dansP. Partie A
Le baccalauréat de 1980
A. P. M. E. P.
1.Soient Q et Qles points dePd’affixe respective µ ¶ π π5π5π z=cos+i sinetz=2 cos+.i sin 3 36 6 ′ ′ Représenter les points Q, Qet QΔQ . ¡ ¢ ⋆ ⋆ 2.Démontrer que (P,Δ) est un groupe commutatif isomorphe àC,×. Quel est son élément neutre ? 3.On appellefl’application deRdansPqui, à tout réelt, associe le point a,b at M(cosd’affixe eb t+i sinb t). Démontrer quefa,best un homomorphisme de (R,+) dans (P,Δ). Le point Qatil des antécédents parf0,b? Lorsqueaest non nul, Q atil des antécédents parfa,b? En déduire que l’applicationfa,bn’est pas surjective. Pour quelles valeurs de a l’applicationfestelle surjective ? a,b 4.On appelleCa,bl’image deRparfa,b. Reconnaître les ensemblesC0,betCa, 0. ¡ ¢ Démontrer queCa,b,Δest un sousgroupe de (P,Δ). Partie B Dans cette partie seulement,aest un réel strictement positif,bun réel quelconque. ¡ ¢ Soituqla suite arithmétique de premier termeu0=0, de raisonr, réel stricte qN ment négatif. ¡ ¢ Pour tout entier naturelq, on désigne parMqle pointfa,buq, dont l’affixe est notéezq. π 1.On donne, dans cette questions seulement,a=1,b=1,r= −. Représenter 4 les pointsM0,M1,M2,M3,M4et construire les segments £ ¤ Mq,Mq+1,q{0, 1, 2, 3}. On prendra 10 cm pour unité de longueur. q aqr ¯ ¯ 2.Vérifier quezq=zet quezq+1zq=e|z11|. 1 n1 X −−−−−→ que la suite (vngénéral) dvverge En déduirenNe termen=°MqMq+1°con q=0 vers
(1cosbr) ar L(r)=1+2 e. ar2 (1e ) Quelle est la limiteLdeL(r) lorsquertend vers 0 ? Partie C Dans cette partie, on cherche l’ensembleSdes similitudes directesSde centre a,b O qui laissentCa,bglobalement invariant, c’estàdire telles queS(Ca,b)=Ca,b. Étant donné un élémentSdeSa,b, on notekson rapport,ϕune détermination de la mesure de son angle, en radian.
1.SoitMun point quelconque de P, démontrer queS(M)=S(A)ΔM. 2.SoitMun élément deCa,b. On considère les trois propositions : P1:S(M) appartient àCa,b P2:S(A) appartient àCa,b
Dijon
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juin 1980
Le baccalauréat de 1980
P3: il existe une réelTet un élémentλdeZtels que ½ aT e=k bT=ϕ+2λπ.
A. P. M. E. P.
Démontrer l’équivalence des propositions P1et P2, puis des propositions P2 et P3. 3.En déduire queSa,best égal à l’ensembleSdes similitudes de centre O, de a,b aT rapport e, dont une détermination de la mesure de l’angle estbT, lorsque TdécritR.
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