Baccalauréat S Antilles–Guyane septembre
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Description

Niveau: Secondaire, Lycée
Baccalauréat S Antilles–Guyane septembre 2004 EXERCICE 1 5 points Partie A 1. On a f (x) = e2 ? x ex ; f est donc le quotient de deux fonctions dérivables (la seconde ne s'annulant pas) : elle est donc dérivable sur [0 ; +∞[. f ?(x) = e?x+2 ? xe?x+2 = (1? x)e?x+2 qui est du signe de 1? x car e?x+2 > 0 quel que soit x ?R. D'où le tableau de variations : x 0 1 +∞ f ?(x) + 0 ? f (x) 0 e 0 Limites aux bornes : f (x)= e2? x ex . On sait que lim x?+∞ ex x = +∞, donc lim x?+∞ x ex = 0. Conclusion : lim x?+∞ f (x) = 0. L'axe des abscisses est donc asymptote à la courbe représentative de f au voi- sinage de plus l'infini. D'autre part f (0)= 0?e2 = 0 et f (1)= e1 = e. 2. a. Sur la calculatrice l'examen des deux courbes permet de conjecturer à l'unicité de la solution de l'équation f (x)= lnx sur l'intervalle [1 ; +∞[.

  • nues sur l'intervalle d'intégration

  • z?1 z

  • ?z ?

  • b?

  • ei π

  • écriture exponen

  • ?z ?

  • ??


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Publié le 01 septembre 2004
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Extrait

Baccalauréat S Antilles–Guyane septembre 2004
EXERCICE1 Partie A
5 points
x 2 1.On af(x)=e×;fest donc le quotient de deux fonctions dérivables (la x e seconde ne s’annulant pas) : elle est donc dérivable sur [0 ;+∞[.  −x+2x+2x+2x+2 f(x)=exe=(1xest du signe de 1)e quixcar e>0 quel que soitxR. D’où le tableau de variations :
x0 f(x)
f(x)
+
1 0 e
+∞
0 0 x 2 Limites aux bornes :f(x)=e×. x e x ex On sait quelim= +∞, donclim=lim0. Conclusion :f(x)=0. x x→+∞x→+∞x→+∞ xe L’axe des abscisses est donc asymptote à la courbe représentative defau voi sinage de plus l’infini. 2 1 D’autre partf(0)=0×e=0 etf(1)=e=e. 2. a.Sur la calculatrice l’examen des deux courbes permet de conjecturer à l’unicité de la solution de l’équationf(x)=lnxsur l’intervalle [1 ;+∞[. Cf L 2
1
0 1 2 3 4 5 6 7 1
2 b.Sig(x)=lnxf(x) différence de deux fonctions dérivables sur [1 ;+∞[ 1  −x+2 est dérivable sur cet intervalle etg(x)= −(1x)e .Or d’après la x  −x+2x+2 question1.,f(x)=(1x)e0 sur [1 ;+∞[, donc(1x)e0 1 et comme>0,g(x)>0 sur [1 ;+∞[. x La fonctiongcontinue est donc croissante sur [1 ;+∞[. De plusg(1)= −f(1)= −e<lim0 etg(x)= +∞. x→+∞ Il existe donc un réel uniqueα>1 tel queg(α)=0⇐⇒lnα=f(α). c.La calculatrice permet d’appréhenderαau millième :α3, 005. Partie B 1.On intègre par parties avec : 2 −2x u(x)=x v(x)=e 1  −2x u(x)=2x v(x)= −e 2
Baccalauréat S
  Les fonctionsuetvsont dérivables et les fonctionsuetvsont continues sur l’intervalle d’intégration.  3 3 1 22x2x Donc I= −x×e+xe dx. 20 0 On intègre cette dernière intégrale à nouveau par parties :  −2x u(x)=x v(x)=e 1  −2x u(x)=1v(x)= −e 2   , les fonctionsuetvétant dérivables et les fonctionsuetvétant conti   3 1 22x nues sur l’intervalle d’intégration. On obtient finalement I= −x×e2 0   3 1 139 3 1 11 25 2x2x6666 xee= −eee+ = −e . 0 2 22 2 4 44 4 0  3 33 2 22x+4 422x4 2. a.On aV=π[f(x)] dx=πxe dx=πexe dx=πe×I 0 00 (en unités de volume).   3 3 b.L’unité de volume est égale à 4=64 cm. D’où   1 25  46 42 3 V=πee×64=16πe400πe2 574cm . 4 4
EXERCICE25 points   1. a.ABC estun triangle équilatéral. [BC ] est l’image de [BC] dans la rotation ππ i 3 de centre B et d’angles’écrit en notation complexe :cb=e (ab). 3 b.On obtient de même avec les deux autres triangles équilatéraux : π π ii ba=e (ca) etac=e (bc). 3 3 En ajoutant membre à membre les trois égalités précédentes : π   i   cb+ba+ac=e (ab+ca+bc)⇐⇒a+b+c(a+b+c)= 3 π i     e×0⇐⇒a+b+c(a+b+c)=0⇐⇒a+b+c=a+b+c. 3 2.Les points P, Q et R sont les centres de gravité ou les isobarycentres des som mets respectifs des trois triangles équilatéraux ; donc :  b+c+a c+a+b a+b+c p=,q=,r=soit en sommant :p+q+r= 3 33    b+c+a+c+a+b+a+b+c b+c+c+a+a+b+a+b+c = 3 3 3(a+b+c) = =a+b+c. 3    a+b+c a+b+c  3.On a donca+b+c=a+b+c=p+q+r=⇐⇒ = 3 3 p+q+q . Cette double égalité se traduit géométriquement par : les triangles 3    ABC, A B C , PQR ont le même centre de gravité.   4.D’après la question2.3p=b+c+aet 3q=c+a+bsoit par différence    3(qp)=c+a+bbca=(bc)+(ca)+(ab). De même 3(rp)=   (ac)+(ba)+(cb). π 5.A est l’image de C, se traduit pardans la rotation de centre C et d’angle 3 π i  3 ac=e (bc). De même B est l’image de C dans la rotation de centre A , π π i i 3 3 soitba=e (ca) et d’après la question1. a.cb=e (ab).   6.On a admis à la question4.que 3(rp)=(ac)+(ba)+(cb). Soit d’après la π π i i question précédente : 3(rp)=e (bc)+(ca)+(ab)=3e (qp), 3 3 ce qui signifie que R est l’image du point Q dans la rotation de centre P et π d’angle ,soit PQR est un triangle équilatéral. 3
EXERCICE3 (OBLIGATOIRE)
Antilles–Guyane
2
5 points
septembre 2004
Baccalauréat S
1 π π4π2π i iπi ii 3 33 3 1. a.On az=π=(1)×e=e×e=e=exponene (écriture E i 3 e tielle). 1 3 z= −(écriture algébrique).i . E 2 2 1 iθ  b.M(z)C1⇐⇒z=Donc l’imagee .MdeMa une affixez= = iθ e iθiπiθi(θ+π)(1)×e=e×e=e .Le pointMest donc le symétrique deM autour de O et l’image deC1est doncC1.   1 11 13 11 1 5π5π11π π i iπi ii 2. a.z= =(1)×e=e×e=e=e= −i= 6 66 6 K5π i 62 2 22 22 2 2e 3 1 i . 4 4 iθb.M(z)C2⇐⇒z=2e (avec0θ<2π). Donc son imageMa une 1 11 1 iθiπiθi(π+θ) image d’affixez= =(1)×e=e×e=e .Ceci signifie iθ 2e 22 2 1   queMappartient au cercleC.de centre O et de rayon 2 2 11z1 iθ  3. a.Avecz=1+e ,on az=, doncz+1= +1=. z zz En prenant les modules, on obtient : iθ    z1z1 e1   z+1= = ==. D’autre part       z zz z 11| −1|1   z=entraîne que|z= =| =soit la même expression      z zz z qu’au dessus.      On a donc bienz+1=z. iθ  b.Si un pointMa pour affixe 1+e ,son imageMa une affixeztelle que        d’après le résultat dua.z+1=z⇐⇒z(1)=zse tra0 qui  duit géométriquement par :MB=MO qui signifie que le pointMap partient à la médiatrice de [OB].
EXERCICE3 (SPÉCIALITÉ)5 points 1.Réponse : vraie. 4 002=2 004×1+1 998 2 004=1 998×1+Le dernier reste non nul est bien 66 . 1 998=6×336+0 2.Réponse : vraie.   p p qp qq pq 21=(2 )1=21 et ce nombre est divisible par 21 et par 21 m (cara1 est divisible para1). 3.Réponse : fausse. 6 Contreexemple : 21=63 est divisible par 9. 4.Réponse : fausse. 24×(70k144)+36(9924k)=108+816k=9. En fait on trouve que 24×(16)+35×11=1 et par suite que les solutions sont tous les couples (35k144 ; 9924k) oùkZ. 5.Réponse : fausse. SoitMun point du plan ; son imageM1parfvérifie AM1=3AM. Puis l’imageM −→1−−−→   deM1pargvérifie BM=BM1. OrM M=MA+AB+BM=MA+AB+ 3   11→ −−−→−−→11−−→2BM1=MA+AB+BA+AM1=MA+AB+BA×3AM=AB 3 33 33 6.Réponse : vraie. Les points invariants vérifientz=iz+(1i) soit avecz=x+iy,x+iy=
Antilles–Guyane
3
septembre 2004
Baccalauréat S
  x=y+1xy1=0 i(xiy)+(1i)⇐⇒ ⇐⇒qui est bien y=x1xy1=0 l’équation d’une droite.
EXERCICE45 points 1.Avec l’évènement M : « être malade » et T l’évènement : « être positif au test », en dressant un arbre de probabilités pondérées, on obtient :   p(T=p(MT)+pMT=0, 003×0, 5+0, 03×0, 997. p(MT) 0,003×0, 5 On a doncpT(M)= =0, 04680, 05. (ré p003(T) 0,×0, 5+0, 03×0, 997 ponse 4) 2.La boule subit une épreuve de Bernouilli avecn=3 etp=0, 3(ou 0,7). 3 22 3 On ap(R1)=;0, 3p(R2)=3×0, 3×0, 7p(R3)=3×0, 7×0, 3p(R4)=.0, 7 On obtient puisque les issues sont disjointes :p1=p(R1)+p(R3)=et0, 468 p2=p(R2)+p(R4)=(réponse 3)0, 532. 3.On calcule : 2 22 2 2 d=(0, 0930, 1)+(0, 1160, 1)+(0, 1020, 1)+(0, 1020, 1)+(0, 0942 22 22 0, 1)+(0, 0940, 1)+0, 0970, 1)+(0, 0950, 1)+0, 1010, 1)+(0, 1062 0, 1)=0,000 456. 2 On a 0,000 456<0,001 45 soitd<d9, donc il accepte cette hypothède avec un risque de 10 % de la rejeter.
Antilles–Guyane
4
septembre 2004
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