Correction du baccalauréat S Nouvelle–Calédonie mars
5 pages
Français

Correction du baccalauréat S Nouvelle–Calédonie mars

Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres
5 pages
Français
Le téléchargement nécessite un accès à la bibliothèque YouScribe
Tout savoir sur nos offres

Description

Niveau: Secondaire, Lycée
[ Correction du baccalauréat S Nouvelle–Calédonie \ mars 2004 EXERCICE 1 4 points Les autres égalités s'obtiennent de façon semblable. 1. M est l'image de A dans la rotation de centre B et d'angle + pi 3 ce qui se traduit par m ?b = ei pi 3 (a ?b) ?? m = ei pi 3 (a ?b)+b. 2. En utilisant les relations précédentes : a. Par différence des deux premières égalités m ?n = ei pi 3 (a ?c) et par différence des deux dernières : q ? p = ei pi 3 (a ? c). On a donc par transitivité m ?n = q ? p ?? ???NM = ??? PQ ?? NMQP est un parallélogramme. b. Dans la rotation de centre D et d'angle + pi 3 : A 7?? Q C 7?? P Par propriétés de la rotation (qui est une isométrie), AC=QP et (??? AC , ??? QP ) = + pi 3 . Demême dans la rotation de centre C et d'angle ? pi 3 , on a B 7?? N D 7?? P Donc BD = NP et (??? BD , ??? NP ) =? pi 3 ?? (??? NP , ??? BD ) = pi 3 .

  • relation de chasles ????

  • ??? ag

  • vecteur ???

  • ???? gma

  • ln2

  • ??

  • dx en application de la relation de chasles


Informations

Publié par
Publié le 01 mars 2004
Nombre de lectures 23
Langue Français

Extrait

[Correction du baccalauréat S Nouvelle–Calédonie\ mars 2004
EX E R C IC Epoints1 4 Les autres égalités s’obtiennent de façon semblable. π 1.M est l’image de A dans la rotation de centre B et d’angle+ce qui se traduit 3 π π i i parmb=e (ab)⇐⇒m=e (ab)+b. 3 3 2.En utilisant les relations précédentes : π i a.Par différence des deux premières égalitésmn=e (ac) 3 et par différence des deux dernières : −−→ π i 3 qp=e (ac). On a donc par transitivitémn=qp⇐⇒NM= PQ⇐⇒NMQP est un parallélogramme. πA7Q b.Dans la rotation de centre D et d’angle+: 3 C7P ³ ´ Par propriétés de la rotation (qui est une isométrie), AC = QP etAC ,QP= π +. 3 π De même dans la rotation de centre C et d’angle, on a 3 B7N D7P ³ ´³ ´ ππ Donc BD = NP etBD ,NP= −⇐⇒NP ,BD=. 3 3 3.s il ait deux; il faut qu’en pluOn sait déjà que MNPQ est un parallélograme côtés consécutifs de même longueur et perpendiculaires. Or NP = QP⇐⇒AC = BD d’après la question précédente. ³ ´³ ´³ ´³ ´ ππ D’autre partNP ,QP= ⇐⇒NP ,BD+BD ,AC+AC , QP= ⇐⇒ 2 2 ³ ´³ ´³ ´ ππ π π3π4π π BD , AC= −BDNP ,AC ,QP− =− ⇐⇒= − − = 2 23 36 66 ³ ´ π AC ,BD=, toutes ces égalités étant moduloπ. 6
EX E R C IC Epoints2 5 Partie A 1.La somme des coefficients est : 1+1m+2m1+1m=26=0 quel que soitm. Le barycentreGmexiste donc quel que soit le réelm. 2.On a G1=(B, 0), (G ; 1), (D ; 0)}; 1),bar {(E=bar {(E ;1), (G ; 1)} qui est tout simplement le milieu de [EG]. 3.On a G0=(B, 1), (G ;; 1),bar {(E1), (DOn a donc par définition; 1)}. −→−→−→1G0E+1G0B1G0G+1G0D=0⇐⇒2G0A+AE+ABAG+AD=0 . −→Or AE+AB+AD=AG ,donc l’égalité précédente devient 2G0A=0⇐⇒ G0=A. G0=1), (B,1), (G,A entraîne que A est le barycentre de {(E,1)}1), (D,= bar {(I,3), (G,1)} par associativité des trois points E, B et D. La dernière relation montre que la barycentre A est aligné avec les points I et G.
Correction Terminale S
A. P. M. E. P.
4.Par définition du barycentre : −−−→ −−−→−−−→GmE+(1m)GmB+(2m1)GmG+(1m)GmD=0 soit en faisant intervenir le point A grâce à le relation de Chasles ³ ´³ ´³ ´ −−−→ −→−−−→GmA+AE+(1m) GmA+AB+(2m1) GmA+AG+(1m) GmA+AD= −→ 0 soit en développant (1+1m+2m1+1m)GmA+AE+(1m)AB+(2m1)AG+(1m)AD= −→ 0⇐⇒ −−−→2GmAmAB+2mAGmAD=0 car dans le pavé : AG=AB+AD+AE Comme AB+AC=AD , la relation devient : −−−→2GmAmAC+2mAG=0⇐⇒ ³ ´ −−−→mGmA=AC2AG 2 −→ Or AC=EG=2O2G donc on a ³ ´³ ´ −−−→m−→m−→GmA=2O2G2AG⇐⇒GmA=2O2G+2GA⇐⇒ 2 2 ³ ´ −−−→m−→ GmA=2O2A⇐⇒GmA=mO2A⇐⇒AGm=mAO2 2 Cette dernière égalité montre que le point Gmappartient à la droite (AO2) et plus précisement que le point Gma pour abscissemsi le repère choisi est le couple (A, O2). NAinsi on retrouve que G0a pour abscisse 0, donc est égal au point A et que G1a pour abscisse 1 et est donc égal au point O2. 5. a.O2est le milieu de [EG], donc la droite (AO2) appartient au plan (ACGE) ; on vient de démontrer queGmappartient à la droite (AO2) : doncGm appartient au plan (ACGE) et enfin O1étant le mileu de [AC] appartient lui aussi à ce plan. Conclusion : les points A, C, E, G, O1, O2etGmsont coplanaires. b.I étant le centre de gravité du triangle EBD, appartient au plan (EBD). De même la droite (EI) appartient à ce plan. Gmappartient au plan (EBD) s’il est barycentre des trois points E, B et D. Il faut donc que le coefficient de G (dans la définition deGmsoit nul, 1 donc quem=. 2 © ª 1 1 On a donc G1le barycentre de {(E,) soit1), (I, 1)}bar (E,), (D,1), (B, 2 2 2 c’està dire en fait le milieu de [EI]. 1 ConclusionGmappartient à (EI) si et seulement sim=. 2
Partie B
1.On a immédiattement : A(0 ; 0 ; 0), B(1 ; 0 ; 0), C(1 ; 1 ; 0), D(0 ; 1 ; 0), E(0 ; 0 ; 1), G(1 ; 1 ;1). AG (1 ; 1 ; 1),EB (1 ; 0 ;(0 ; 1 ;1), ED1), . Or AGEB=11=0 et AGED=11=0. Le vecteur AGétant orthogonal à deux vecteurs non colinéaires du plan (EBD) est donc orthogonal à ce plan. L’équation du plan (EBD) orthogonal au vecteur AG (1 ; 1 ; 1) et contenant le point B(1 ; 0 ; 0) est : M(x;y;z)(EBD)⇐⇒1×(x1)+1×y0)+1×(z0)=0⇐⇒x+y+z1=0.
Nouvelle–Calédonie
2
mars 2004
Correction Terminale S
A. P. M. E. P.
¡ ¢ 1 1 2.Comme O2est le milieu de [EG], O2; ;1 . 2 2 −−−→ Comme AGm(x;y;z), ces trois nombres étant les coordonnées du pointGm, −−−→−→ l’égalité trouvée à la partie A : AGm=mAO2se traduit par : m x= ¡ ¢ 2 m mm y=. DoncGm; ;m. On sait que la distance deGmau plan 2 22 z=m est donnée par : m m ¯ ¯¯ ¯ m+ +m1|2m1| +y+ xGmGmzG 2 2 = =p. 2 2 2 1+1+1 33 ½ |2m1|3 2m1=1 ou On a donc= ⇐⇒|2m1| =1⇐⇒ ⇐⇒ 3 2m1= −1 3 ½ m=1 ou m=0
EX E R C IC E3
11 points
Partie A : étude d’une fonction µ ¶· ¸· ¸·µ ¶¸ 2 22 X1 11 91 9 2 1. a.P(X)= −2X− +1= −2X+− +1= −2X= −− +2X− −= 2 48 48 416 µ ¶µ ¶µ ¶ 1 31 31 2X− +X− −= −2X+(X1). 4 44 42 · ¸ 1¡ ¢ 1 On sait queP(X)<0 sauf sur; 1P(X)Ê0, avecP− =P(1)= 2 2 0. x2 b.En posantX=e ,f(x)=1+X2X=P(X). Le signe defest celui de P(X), mais avecX>0. Donc pourX]0 ; 1[,0<X<1⇐⇒x>0,f(x)>0, f(0)=0, pourX>1⇐⇒x<0,f(x)<0. c.La courbeCcontient donc l’origine. x2x 2.Comme lim e=lim e0 et=0, limf(x)=1. x→+∞x→+∞x→+∞ Ceci montre que la droite d’équationy=1 est asymptote horizontale à la courbeCau voisinage de plus l’infini. 2x 3.On factorise edans l’écriture def(x) : ¡ ¢ 2x2x x f(x)=e e+e2 . x2x2x x Comme lim e=0 etlim e=0, lim e+e2= −2. x→−∞x→−∞x→−∞ 2x D’autre partlim e= +∞et par produit des limites :limf(x)= −∞ x→−∞x→−∞ 4. a.fétant la somme de fonctions dérivables surR, est dérivable surRet ′ −x2x f(x)= −e+4e . ′ −x2x2x x2x b.f(x)= −e+4e=e (4et comme ee )>0, quel que soitxx R, le signe def(x) est celui de (4e ). x x c.On a (4e )=0⇐⇒e=4⇐⇒x=ln 4=2 ln 2 ; x x (4e )>0⇐⇒e<4⇐⇒x<par croissance de la fonction ln ;2 ln 2 x x (4e )<0⇐⇒e>4⇐⇒x>2 ln 2par croissance de la fonction ln. On en déduit le tableau de variations :
Nouvelle–Calédonie
3
mars 2004
Correction Terminale S
A. P. M. E. P.
x−∞2 ln 2+∞ f(x)+0 9 8 f(x) −∞1 x2xx 5. a.Les abscisses des points communs vérifient 1+e2e=1⇐⇒e2x2x xx x 2e=0⇐⇒e (e2)=0⇐⇒e2=0⇐⇒e=2⇐⇒x=ln 2. Donc A(ln2 ;1). b.Sur ]− ∞2[,; lnf(x)<1 donc la courbeCest sous la droiteD; Sur ]ln 2 ;+∞[,f(x)>1 donc la courbeCest au dessus de la droiteD. 6.Une équation deTest : 1 M(x;y)T⇐⇒yyA=f(ln 2) (xxA)⇐⇒y=1+(xln 2). 2
D
5
7.
T
Partie B : étude d’une suite
C
5
1.Cette aire est égale à la différence : Z Z ln 2ln 2 ¡ ¢£ ¤ ln 2 x2xx2x A=ln 2×1f(x)dx=ln 21+e2e dx=ln 2xe+e= 0 0 0 1 1 1 ln 22 ln 202×0 ln 2ln 2+ee+0e+e= − =. 2 4 4 2. a.Quel que soit le natureln>0,n1+ln 2Êln 2et on a vu que pour xÊln 2,f(x)Ê1. Donc chaque terme est l’intégrale d’une fonction positive sur un inter valle [a;b] tel quea<b: c’est donc un nombre positif.
Nouvelle–Calédonie
4
mars 2004
Correction Terminale S
A. P. M. E. P.
b.Chaque terme est égal à l’aire de la surface limitée parC, le droitey=1 et les droites verticales d’équationsx=(n1)+ln 2ety=n+ln 2. 3. a.On a vu que pourx>ln 2,la fonctionfest décroissante. Donc : (n1)+ln 2ÉxÉn+ln 2f(n+ln 2)Éf(x)Éf[(n1)+ln 2]⇐⇒ f(n+ln 2)1Éf(x)1Éf[(n1)+ln 2]1. b.Par intégration des trois fonctions positives sur l’intervalle [(n1)+ln 2 ;n+ln 2] Z Z n+ln 2n+ln 2 [f(n+ln 2)1] dxÉf(x) dxÉ (n1)+(ln 2n1)+ln 2 Z n+ln 2 ¡ ¢ f[(n1)+ln 2]1 dx⇐⇒ (n1)+ln 2 f(n+ln 2)1ÉunÉf[(n1)+ln 2]1. c.PournÊ2, on a montré quef(n+ln 2)1ÉunÉf[(n1)+ln 2]1, donc f(n+1+ln 2)Éun+1Éf(n+ln 2)1, donc par transitivitéun+1Éun. Donc la suite (un) est décroissante. d.La suite (un) est décroissante minorée par zéro : elle est donc conver gente vers une limite supérieure ou égale à zéro. 4. a.Sn=u1+u2+u3+ ∙ ∙ ∙ +un= Z ZZ 1+ln 22+ln 2n+ln 2 [f(x)1] dx+[f(x)1] dx+ ∙ ∙ ∙ +[f(x)1] dx= (11)+ln 2(1)+(ln 2n1)+ln 2 Z n+ln 2 [f(x)1] dxen application de la relation de Chasles ln 2 b.Snest donc égale à l’aire de la surface limitée parC, l’axe des abscisses et les droites verticalesx=etln 2x=n+ln 2. Z Z n+ln 2n+ln 2 £ ¤ n+ln 2 x2xx2x c.Sn=[f(x)1] dx=[e2e ]dx= −e+e= ln 2 ln 2ln 2 1 11 1 nln 22(n+ln 2)ln 22 ln 2n2n e+e+ee= −e× +e× + −= 2 42 4 1 11 n2n e+e+. 2 44 n2n Comme lim e=lim e0 et=0, n→+∞n→+∞ 1 limSn=. n→+∞ 4
Nouvelle–Calédonie
5
mars 2004
  • Univers Univers
  • Ebooks Ebooks
  • Livres audio Livres audio
  • Presse Presse
  • Podcasts Podcasts
  • BD BD
  • Documents Documents