De l astrophysique à la genèse de la Terre
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De l'astrophysique à la genèse de la Terre

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DE L’ASTROPHYSIQUE À LA GENÈSE DE LA TERRE Une approche d’étude entre les textes de la Révélation et les découvertes de la science moderne. Par Mehdi ABDELOUHAB  Selon les estimations de certains scientifiques (astrophysiciens et géologues) la terre aurait existé, il y a de cela déjà 4,6 milliards d’années. Elle serait née selon un scénario plausible d’un disque de gaz et de particules riches en éléments lourds qui auraient gravi autour du soleil. Le disque de gaz aurait drainé des composés chimiques divers comme l’hydrogène moléculaire et l’hélium. Le carbone et l’oxygène ont sans doute été sous la forme de monoxyde de ne (C0). Le disque de gaz a dû générer d’autres gaz et composés chimiques. Des spécialistes de la prébiotique disent que l’oxydation de l’hydrogène moléculaire devrait en toute logique commencer lorsque la nébuleuse ait gagné une température et une pression de (10 puissances -5 ATM). Ils estiment que ce monoxyde de carbone ait servi de prélude à l’origine de l’eau sur terre. La respiration était à l’aube de la création du disque gazeux…  L’oxydation du monoxyde de carbone ne s’est déclenchée qu’une fois, la nébuleuse protosolaire ait établi son mode respiratoire.  Une fois ce mode fut établi, la nébuleuse put passer à l’oxydation des éléments en dissociant le disque gazeux. A ce stade le disque gazeux n’était qu’un miasme de fumée chargé de particules élémentaires.

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Publié le 19 octobre 2013
Nombre de lectures 71
Langue Français
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Extrait

DE L’ASTROPHYSIQUE À LA
GENÈSE DE LA TERRE

Une approche d’étude entre les textes de la Révélation
et les découvertes de la science moderne.


Par Mehdi ABDELOUHAB
 Selon les estimations de certains scientifiques (astrophysiciens et géologues)
la terre aurait existé, il y a de cela déjà 4,6 milliards d’années. Elle serait née
selon un scénario plausible d’un disque de gaz et de particules riches en
éléments lourds qui auraient gravi autour du soleil. Le disque de gaz aurait
drainé des composés chimiques divers comme l’hydrogène moléculaire et
l’hélium. Le carbone et l’oxygène ont sans doute été sous la forme de
monoxyde de ne (C0). Le disque de gaz a dû générer d’autres gaz et
composés chimiques. Des spécialistes de la prébiotique disent que l’oxydation
de l’hydrogène moléculaire devrait en toute logique commencer lorsque la
nébuleuse ait gagné une température et une pression de (10 puissances -5
ATM). Ils estiment que ce monoxyde de carbone ait servi de prélude à l’origine
de l’eau sur terre.
La respiration était à l’aube de la création du disque gazeux…

 L’oxydation du monoxyde de carbone ne s’est déclenchée qu’une fois, la
nébuleuse protosolaire ait établi son mode respiratoire.
 Une fois ce mode fut établi, la nébuleuse put passer à l’oxydation des
éléments en dissociant le disque gazeux. A ce stade le disque gazeux n’était
qu’un miasme de fumée chargé de particules élémentaires.






 Cette fumée gazeuse entrainée par la force de la gravitation permettait, à la
respiration, de faire son entrée triomphale, dans notre monde sidéral. La
giration du disque a réussi à faire sortir le carbone du cycle infernal de la
nébulisation en le rendant vital par oxydation. L’astre du jour, en tant que
grumeau thermodynamique circumbulait sur les tracées de sa destinée
sidérale. Il a lutté dans un effort considérable pour rassembler ses forces
thermonucléaires. Le soleil grandissant en volume continua à poursuivre la
décomposition des éléments volatils dans une croissance vertigineuse.

Les radiations du soleil ont peu à peu émergé des convections thermonucléaires
et ont fini par émettre de la lumière intense et avec elle tout le ballet des
gammes et des fréquences.

Les sursauts Gama et les aurores boréaux ont dû gagner les éléments
rassemblés du disque gazeux. L’ère du monde crépusculaire qui régnait en
maitre dans ce monde giratoire a peu à peu cédé et a donné place au monde de
la thermonucléaire.
Le jour naissant triompha par sa clarté. Le disque nébuleux finit par accepter la
destinée des particules élémentaires en les cédant aux tracées des voies
respiratoires de la thermonucléaire … Se sont là des thèses plausibles et des
scénarios fictifs que certains astrophysiciens défendent ou partagent. Ils
établissent des scénarios qui ne laissent pas indifférent l’exégèse musulmane,
dans la mesure où ces scénarios ou les simulations fictives permettent
d’entrevoir dans une lecture autre les versets relatifs à la genèse de l’univers.
Parfois la vulgarisation scientifique rend à son insu hommage aux déclarations
religieuses et justifient la véracité des versets coraniques. Pour la circonstance du thème développé, voici donc un verset qui
aborde de façon contigüe les processus déclenchant de la respiration à
l’astre du jour naissant.

Ce verset est cité à la sourate intitulée : « Hyper rotation du soleil »,
verset (18).
Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux

« Lorsque la nuit décline sa finitude,
Et lorsque l’aube dégage sa respiration ! »

Lorsque l’ère du monde crépusculaire cédait de son espace stellaire
pour être gagnée par les rayons du monde de la thermonucléaire. Les
mécanismes de dissociation venaient de triompher pour concéder au
processus de la respiration les éclats du jour.
Ce scénario développé par des astrophysiciens comme Hubert Reeves,
nous incite à revoir ce verset dicté par le Coran. On est tenté de
s’interroger sur ce qui rend tributaire la respiration au jour et le jour à
la nuit ? Or, on sait que la genèse de la nuit nous renvoie aux rayons intenses
du Big bang qui ont au cours des générations stellaires, cessées
d’émettre de leurs éclats pour retomber dans un monde crépusculaire.
Le rayon fossile de 3,5 Kelvin est le signe révélateur de cette genèse du
monde céleste.

Le jour qui répond à une autre dynamique stellaire est intimement
tributaire de la thermodynamique nucléaire des astres. Le soleil, en
tant qu’astre stellaire relaye par ses rayons lumineux un autre mode
d’oxydation sur terre, celui de la respiration.
Il est dès lors parfaitement légitime de s’interroger sur ce qui rend si
identiques les résultats de la science avec les textes de la révélation ?

L’une des plus belles découvertes de la biochimie est d’avoir élucidée
la façon progressive dont se feraient les oxydations et les réductions.

Les processus respiratoires en sont les premiers à livrer leur secret,
dès lors les études sur la photosynthèse s’engageaient dans de bonnes
voies. La plus élémentaire notion que l’on puisse avoir de la
respiration se résumerait en ceci : Le vivant absorbe de l’oxygène et dégage du gaz carbonique.
Du point de vue chimique la notion de respiration fait appel aux
grandes voies biologiques de dégradations.
Les chercheurs du pré biotique ont fini par entrevoir la manière
dont le vivant aurait agi. La vie serait donc une dégradation
progressive des énergies, en passant en travers de tous les
intermédiaires oxydoréducteurs...

Les particules naissant des oxydoréducteurs dans le nuage gazeux
réussissent à décomposer les éléments du disque gazeux et à les
reconstituer en des éléments rassemblés.
Depuis donc cette genèse, les éléments rassemblés poursuivent
continuellement leur trajectoire circumbulante autour de l’orbite
solaire. La Terre qui n’est à ce stade d’évolution de notre système solaire qu’un
grumeau en trajectoire autour du soleil passa progressivement du
stade de la proto-Terre à la Terre que nous connaissons.
La masse de la Terre aurait accumulé de la matière jusqu’à ce qu’elle
ait supporté des poids et des pressions titanesques. Une quantité
énorme de chaleur se dégageait d’elle. Son antre enfermait et enferme
encore une foule d’éléments radioactifs. Elle s’habillera par voie de
conséquence d’une graine, d’un noyau, d’un manteau et d’une
lithosphère. Les particules restantes qui sont composées, de
micrométéorites et de météorites, des projectiles venant de différents
horizons continuent de s’abattre sur elle (la Terre). Les
micrométéorites et de météorites apportent avec elles, une bonne
partie aussi des composants de l’univers sidéral.
La Terre disposée dans sa trajectoire à une bonne distance du soleil,
réussit son refroidissement du fait du vide interplanétaire. Quelques
millions d’années plus tard, la croûte terrestre, par vague successive
se solidifie en surface. De la ligne de Moho, elle franchit le seuil du
shift, c'est-à-dire au plus bas niveau de la terre. Les points chauds de
la Terre construisent les couches basaltiques puis granitiques.
L’orogenèse relayera le reste.
LE GRAND DEGAZAGE…
Cette genèse de la Terre s’était poursuivie en même temps que la terre
libérait les gaz qu’elle renfermait. Les bouches d’émissions volcaniques
comme des fumerolles s’ouvraient à la surface de la lithosphère. Les
flots de laves chassés violemment par les gaz fusaient et dégoulinaient
des bouches béantes des premiers volcans. Des bruits assourdissants
d

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