Le bilan énergétique de la France en 2012 : une consommation en baisse sous l’effet de la morosité économique
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Le bilan énergétique
de la France en 2012 :
une consommation en baisse sous
l’effet de la morosité économique

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Publié le 30 juillet 2013
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Langue Français

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COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
n° 168 Juillet 2013
Le bilan énergétiqe e la rane en   une consommation en baisse sous l’effet de la morosité économique
En 2012, la consommation finale d’énergie, corrigée des variations climatiques, baisse (- 0,7 %), sous l’eet de l’atonie de l’économie a consommation d’énergie rimaire ar la brance énergie est encore lus toucée (-  %), en raison d’une moindre roduction nucléaire et de la cute de l’activité de rafinage a baisse est également marquée dans l’industrie dans son ensemble et le secteur tertiaire, un eu moins dans les transorts es derniers restent ainsi le remier secteur consommateur d’énergie, devant le secteur résidentiel, et loin devant l’industrie, le tertiaire et l’agriculture e mi de la consommation d’énergie finale reste stable en 2012, à l’ecetion d’une nette rogression, en art relative, des énergies renouvelables termiques a roduction nationale d’énergie rimaire se tasse à 1 te, soit une baisse de 1 % ar raort au record de 2011 a acture énergétique de la rance établit en 2012 un nouveau record istorique, à rès de  milliards deuros (d€), en raison notamment de la ausse quasi générale du ri des énergies imortées ’augmentation des ri à la consommation alourdit également la acture des ménages
E tivité sro, lacF arcn,eatng enepas urieuspls anue enoz al ed sy parrquét maé, enod seisr céu ensite du  de e ,el ted t 21 er sceviau tdex ser anm yoned ançaiseseries rp xid ed elucer  e,0   às,ntoilcad  esino narelleartité ptivinsda, 12ntcon  u02 nial mondrastconté ocxeetuq eonimeancen Frropo métni eilatunneidim avec une évolution du produit intérieur brut  nulle etitouronne Si le commerce extérieur et, dans une moindre mesure, la consommation, soutiennent la création de ricesse,La natin ’énergie baie an en revance l’activité de la plupart des brances dette e ante l’économie, et notamment de l’industrie, recule a consommation d’énergie en est aectée en 2012 a consommation finale est aussi orientée à la baisse orrigée des variations climatiques, la consommation dans toutes ses composantes e repli de l’activité dans la d’énergie primaire repasse en eet sous la barre des cimie explique tout particulièrement la baisse à 12 tep 20 tep, soit un niveau inérieur à celui atteint au plus des consommations pour usages non énergétiques a ort de la récession économique en 200 a consommation consommation finale d’énergie pour usages énergétiques de la brance énergie est celle qui cute le plus   , corrigée des variations climatiques s’erite, de  0,  a sous l’eet combiné de la moindre production nucléaire consommation finale diminuant alors que le  est stable, et des dificultés du rafinage rançais tableau 1qui mesure le rapport de ces deux énergétique,  l’intensité En eet, en 2012, les quantités de pétrole brut rafinées grandeurs, diminue légèrement, d’environ  0,  en 2012
Tablea  – Réartitin e la natin ’énergie riaire ar age
En tep
éelle Crrigée e ariatin liatiqe  dont transormation dénergie  dont inale énergétique       dont inale non énergétique
Ta e riane annel ar anen  Entre Entre Entre Entre Entre        et  et  et  et  et      12, 22, 2, 2,0 2, 2, 1,2 1, 0,1  ,  0,2             ,1 ,2 , , , ,0 , 2,1 0,0 1,  ,0 1, 10, 10, 1, 1,2 1, 0, 1,1  0, 0,2  0, 10, 12, 1, 12,2 12, 12,0 0, 1,  2, 1,  ,1
Source  calculs SeS, daprès les sources par énergie
Service de l’observation et des statistiques
tatitiqeeeleentrablegr
Le int rn° 1 uillet 201
ette moindre évolution, par rapport à la tendance de long terme, et consommatrices d’énergie comme la sidérurgie, dans le tertiaire et, qui éloigne la France des obectis d’eficacité énergétique qu’elle s’était dans une moindre mesure, les transportsA contrario, la consommation fixés en 200, s’explique par l’atonie de l’économie En eet, lorsque les énergétique augmente dans l’agriculture, et, plus imperceptiblement, usines ne tournent pas à plein régime, les rendements sont détériorés dans le résidentiel a répartition sectorielle de la consommation finale Si la consommation finale d’énergie pour usages énergétiques se reste stable, malgré ces légères évolutions vec  tep, les transports stabilise ainsi depuis quatre ans autour de 1 tep, les évolutions demeurent ainsi le premier consommateur final d’énergie, uste devant sectorielles sont contrastées tableau 2 a baisse est ainsi le secteur résidentiel  tep, et loin devant l’industrie 2 tep, marquée dans l’industrie, notamment dans certaines brances très le tertiaire 2 tep et l’agriculture  tep
Tablea  – Cnatin finale ’énergie ar eter onnées corrigées des variations climatiques, en tep
onsommation inale énergétique ésidentieltertiaire  dont résidentiel
 dont tertiaire ransports ndustrie  dont sidérurgie griculture otal consommation inale énergétique onsommation inale non énergétique onsommation inale
Variatin annelle enneen        Entre  Entre  Entre  Entre  Entre  et  et  et  et  et 
,2 , , , , , nd nd nd 45,4 45,9 46,0 nd nd nd 22,4 22,9 22,6
2, 0, 0,2 , , ,2 , ,2 , , 2, 2,1 12,,0,1,0,0,, ,0 , , , , 1, 10, 10, 1, 1,2 1, 10, 12, 1, 12,2 12, 12,0 1, 1,1 1, 1,1 1, 1,
0,2 nd nd
2,  1,  ,0, 0, 0, 0,
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1, 0,0  1,1 0, 1,1 1, 1,1
0,0 nd nd 0,2 1, 2,0,2 0, 2, 0,
1, 1,2 1,9 0,  2,   1,2 0, 0,2 1, 0,
 0 2 , 0,3 1,0 - 0, 1,2  , 0,  0,  ,1  0,
Source  calculs SeS, d’après les sources par énergie
ans les transports, la consommation décroît de  0,1  en moyenne brance énergie, atteint son plus bas niveau depuis les années 10 par an depuis 200 a baisse aecte surtout les produits pétroliers ors En 2012, la baisse aecte toutes les énergies, mais particulièrement biocarburants, qui ournissent touours plus de 0  de leur énergie les énergies ossiles a seule augmentation est au crédit des énergies néanmoins renouvelables termiques, grâce au succès du « Fonds caleur » eur ’ensemble résidentiel – tertiaire concentre, en part relative, plus part dans le mix énergétique industriel augmente sensiblement, de près de 0  de la consommation finale énergétique e mix énergétique de deux points, à ,  en 2012 az naturel et électricité représentent s’y transorme ortement depuis quarante ans, et ce mouvement se cependant encore les deux tiers de l’énergie mobilisée par l’industrie poursuit en 2012  essor de l’électricité, déclin continu des produits uant au secteur agriculture – pêce, dont la part est stable depuis pétroliers et du carbon, eritement depuis les années 2000 du gaz quarante ans, il reste très dépendant des produits pétroliers qui naturel, progression des énergies renouvelables termiques représentent près des quatre cinquièmes des consommations vec 2 tep, la consommation énergétique industrielle, ors
Graiqe  – Réartitin e la natin finale énergétiqe ar re ’énergie onnées corrigées des variations climatiques, en 
   Mte 1 tep Énergies renouvelables arbon termiques  tep
 tep az 1 tep ctrici Éle té
étrole
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   Mte 10 tep Énergies renouvelables termiques 11 tep
az
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Électricité
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ommissariat général au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
étrole
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   Mte
arbon  tep Énergies renouvelables termiques 1 tep
az 2 tep Électricité  tep
étrole  tep
Source  calculs SeS, d’après les sources par énergie
Le int rn° 1  uillet 201  
Mi énergétiqe tabilié ntée e énergieA contrario, en 2012, les filières renouvelables retrouvent toutes renelable teriqela p11, ae un viroqiitsn sot inas busplva sèrpetta rioquliye  udoroitcy nuardartseé 10 1octn année 2près uneuelua sredoc s ue en 20 u final, les produits pétroliers, bien qu’en baisse  2,  entre 2011 compris pompage augmente de 2  en 2012, la séceresse des et 2012, sont touours la première orme d’énergie consommée, avec deux dernières années ayant pris fin es installations continuant leur un peu moins de 2  de la consommation finale énergétique, corrigée progression, l’électricité éolienne, potovoltaïque et l’énergie provenant des variations climatiques ’électricité et le gaz suivent ensuite, avec des renouvelables termiques et de la valorisation des décets respectivement 2  et 21  de l’ensemble Si le déclin du carbon augmentent toutes leur production en 2012 u total, l’ensemble des se poursuit en 2012 ,  du total, en revance les énergies filières renouvelables produisent près de  tep supplémentaires par renouvelables termiques et la valorisation des décets passent de rapport à 2011, atteignant au total 2 tep   tep pour les énergies ,0  en 2011 à ,  en 2012, soit près de 1 tep graphique 1  renouvelablesélectriques, et près de 1 tep pour les énergies eur nouvel essor est la principale évolution aectant les énergies renouvelables termiques et la valorisation des décets consommées à titre final u ait de la baisse, entre 2011 et 2012, de la consommation finalele etérier iqe en baie ai ne atreUn de toutes les énergies ossiles pétrole, gaz, et carbon, et de la orte i bn diminution de la consommation de la brance énergie, les émissionsénergétiqe q it directes rançaises de 2liées à la combustion d’énergie, estiméessolde des écanges pysiques continue à se réduire 2012, le  En de açon précoce par le SeS définitions l s’établit ainsi à 12 tep, soit 2 tep de moins qu’en 2011 es, diminueraient de ,1  Si, corrigée des variations climatiques, la consommation d’énergie exportations se contractent de près de  tep, en raison des dificultés baisse, en revance, en données réelles, elle reste stable, à 2 tep du secteur du rafinage rançais comme de la moindre disponibilité de sous sa orme primaire En eet, après deux années extrêmes du point la production nucléaire ais les importations diminuent également, de vue du climat 2010 la plus roide des deux dernières décennies, de presque  tep, les acats supplémentaires de carbon – pour les 2011 la plus caude depuis 100, les deux marquées par une besoins des centrales électriques  et de produits pétroliers rafinés séceresse prolongée, 2012 marque un retour à la normale, tant du ne compensant pas, loin s’en aut, le moindre appel au gaz naturel point de vue des précipitations que des températures a température importé et surtout la cute de 12  des importations de pétrole brut annuelle moyenne a été de 0,° supérieure à la réérence des trente éanmoins, la acture énergétique de la France établit en 2012 un dernières années nouveau record istorique, à , milliards d’euros courants d€ en 2012, dépassant celui de 2011 de  d€ Elle augmente pour toutes Une rtin natinale en légère baie arè le rersoit  d€, près de 2 d€les énergies    d€ pour le pétrole e en plus pour le gaz,  10 millions d’euros pour le carbon Seules nos exportations d’électricité atténuent la acture d’ensemble, mais a production nationale d’énergie primaire se tasse en 2012 elles diminuent de 2  en 2012 compte tenu du tassement de la à 1 tep, soit une baisse d’un peu plus de 1  par rapport au production nationale record établi en 2011 omme elle s’amenuise davantage que la a ausse des quantités importées pour les produits pétroliers rafinés consommation primaire réelle, le taux d’indépendance énergétique, et, dans une moindre mesure, pour le carbon pèse évidemment ais calculé comme le ratio des deux, s’erite, à 2, , soit 0, point de ce bond est essentiellement dû à une augmentation presque générale moins qu’en 2011 des prix de l’énergie importée graphique 3 En eet, seuls les prix a baisse de la production nationale est presque entièrement du carbon et de l’électricité diminuent en 2012 imputable à l’électricité nucléaire, qui, avec 111 tep, diminue de plus de  tep, en raison d’une disponibilité moindre des centrales cette année a filière nucléaire assure ainsi   de la production d’électricitéGraiqe  – Pri en annel rançaise en 2012 – trois points de moins que l’année précédente ae énergie irtée production de pétrole en France, pour sa part, est presque divisée parEn euros 2012 deux en un an, ne représentant plus que 1 tep d’énergie primaire produite es autres productions nationales d’énergies ossiles gaz€t c€ Écelle de gauce €t naturel, carbon, déà complètement marginales, poursuivent leur00  déclin graphique 200  arbon
Graiqe  – Prtin ’énergie riaire En tep, données réelles, non corrigées des variations climatiques
10
12
100

0
Électricité nucléaire
arbon
az
étrole
2 Électricité ydraulique, éolienne et potovoltaïque 0 utres renouvelables et 10 1 10 1 10 1 2000 200 2010 décets Source  calculs SeS, d’après les sources par énergie
00
00
00
étrole brut
200 2 roduits pétroliers rainés 100 1 0 0 az 10 1 10 1 10 1 2000 200 2010 Source  calculs SeS, principalement d’après des données des ouanes
En moyenne sur 2012, le rent atteint un nouveau record istorique, à ,0 euros courants le baril €bl, la ausse du prix libellé en dollars se couplant à une nette appréciation du dollar visàvis de l’euro l augmente ainsi de  ,  en moyenne sur 2012 e prix spot du gaz sur le principal marcé de gros européen augmente aussi nettement,
ommissariat général au développement durable  Service de l’observation et des statistiques
Le int rn° 1 uillet 201    même si le rytme se ralentit par rapport aux deux années les températures de l’année avaient été conormes à précédentes  ,0  en 2012 après  ,2  en 2011 et la moyenne de la période de réérence 112010 Elle  1,  en 2010 permet de mieux analyser les évolutions Émissions de 2issues de la combustion d’énergie ossileUne atre énergétiqe enne ar énageconcentrant   des émissions totales de 2et environ qi agente e rè e  erde gaz à eet de serre en France, elles0  des émissions sont calculées de açon simplifiée pour cette publication es prix à la consommation des énergies augmentent par rapport aux inventaires oficiels e SeS applique dans le sillage de la ausse des cours et cotations sur les des acteurs d’émissions moyens aux consommations marcés de gros a ausse est certes moitié moindre que d’énergies ossiles produits pétroliers, gaz et combustibles les deux années précédentes  ,2  en 2012 mais deux minéraux solides, ors usages non énergétiques es ois et demie supérieure à l’évolution générale des prix inventaires oficiels en matière d’émissions de gaz à En 2012, les dépenses courantes d’énergie des ménages eet de serre, et de  en lier, ont appel 2particu à une augmentent ainsi de   par rapport à 2011 a acture métodologie plus complexe, nécessitant des données annuelle s’élève à  200 euros en moyenne par ménage, détaillées disponibles avec un an de décalage es deux presque 200 euros de plus qu’en 2011 tableau 3divergent aussi par leur périmètre et le découpage  calculs ette augmentation est essentiellement due aux sectoriel Enfin, dans les inventaires oficiels comme dans dépenses d’énergie dans le logement cauage, eau l’estimation rapide du SeS, ne sont mesurées que les caude sanitaire, cuisson, usages électriques, qui émissions de 2ec àtsceri,set d q iutisétcviux aes ae dudir bondissent de 11  utre la poursuite de la ausse des se ont sur le territoire our une estimation des émissions prix de l’énergie, les températures légèrement moins de gaz à eet de serre engendrées par les importations, clémentes qu’en 2011 peuvent expliquer un recours plus le lecteur pourra se reporter utilement à « ’empreinte important au cauage carbone de la consommation des Français  évolution de a dépense de carburant dépasse en 2012 la moyenne 10 à 200 »,e point surn° 11  mars 2012 de 1 00 euros par ménage a ausse est touteois es unités  l’abitude est de mesurer les quantités contenue en 2012 comparée à la orte ausse de 2011 d’électricité ou de gaz en iloatteure  ais, pour  1,  contre  11,  l’année passée, du ait d’un très agréger les diérentes énergies, l’unité commune est la net ralentissement de la ausse des prix, divisée par trois « tonne équivalent pétrole » tep ans ce document, u total, les ménages rançais consacrent ainsi on utilise soit le téraatteure , ou mille milliards 1 milliards d’euros courants à leurs acats d’énergie en de atteures, soit le million de tonnes équivalent 2012, soit plus de   de leurs dépenses totales pétrole tep En énergie finale, 1  est équivalent à 0,0 tep ou 1 tep  11,  Tablea  – Déene enne en énergie ar énage En euros courantsrances energ balance or 2012 decreasing     consumtion in a deressed economic climate Électricité, gaz et autres combustibles 1  1  1 2 1 2 1 02 arburant 1 2 1 20 1 2 1 0 1 02rances final energ consuption, corrected or cliate otal énergie  0 2 0 2 20  01  20ariations, dropped in 2012 -0, as a result o the Part an la natin e énage en slo-oing econo riar energ consuption Électricité, gaz et autres combustibles ,0 , ,1 , ,b the energ sector as the ost aected -5 , arburant , ,1 , , ,oing to loer nuclear poer production and a drop otal énergie , ,0 , , ,1in refining actiities here as also a ared drop in Part an la natin eetie en industr as a hole and in the tertiar sector, slightl Électricité, gaz et autres combustibles ,1 2, ,1 2, ,2less so in transport his latter sector reained the arburant 2, 2, 2, 2, 2,ain energ consuing sector, ahead o the residential otal énergie ,0 , , , ,1and ar ahead o industr and agriculture hesector  compris consommation à prise en carge collectivecon Source  calculs SeS daprès nsee, omptes nationaux base i reained stable in 2012,final energ suption 200, et SeS, omptes du logement 2012ith the eception o a sharp increase in the proportion o energ ro reneable theral sources ational priar energ production settled bac at 136 toe, representing a drop o 1 in relation to the record o Définitin2011 rances energ bill in 2012 reached a ne record leel at around €69 billion, priaril because o the Énergie primaire  énergie finale  l’énergie primairequasi-general increase in the prices o iported energ est l’énergie ournie par la nature vant d’être livréehe higher consuer prices also increased the bill or au consommateur comme énergie finale, elle peut êtrehouseholds transormée et transportée Entre les deux, il y a la brance énergie dont l’activité est retracée dans le bilan par un cangement de nature d’énergie une centrale électrique r en air brûle du gaz, par exemple, et produit de l’électricité, parP l des consommations et par des pertes de transormation ne version beaucoup plus complète et détaillée du bilan et d’aceminement de l’énergie 2012 est disponible sur le site internet du SeS ans l’énergie finale, il aut mettre à part les usages non pérneemrgièértieq upelsa suttiiqliusaesn,t  lee pétirsole ou le gaz comme matière Céline Rqette SOeS ngra a consommationcorrigée des variations climatiquesest une estimation de ce qu’aurait été la consommation si
Ciariat général a éeleent rable Service de l’observation et des statistiques our oltaire 20 a éense cedex el  diusionsoescgdd developpementdurable gouvr Fax  0 1 0 1 1 0 Direter e la bliatin  Sylvain oreau Réater en e  nne ottin Crinatin éitriale  atricia epérant Cnetin  aterine rosset mpression  ialec, ancy France
ISSN 21001 Dét légal uillet 201
statistiquesdeveloppementdurablegouvr
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