Y'a comme un hic pour le capitaine Tic !!
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Y'a comme un hic pour le capitaine Tic !!

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Le JoUrnal DU 11eQFestIVal Dues TransoeUropétenneis De ladCREA N°i6  VeneDreDI 19nMars 2o1o
20h30 -Salle Des Fêtes DU mesnIlEsnarD ConFérence IMpressIonnIste Le principe est simple : une heure, une œuvre. De quoi appréhender en douceur des notions de peinture im-pressionniste. Votre guide : Corinne Laouès, confé-rencière au musée des Beaux-Arts de Rouen. Mais pas question de rester enfermé entre quatre murs, les œuvres sont projetées dans des lieux au plus près des gens. Chaque conférence est ponctuée par des intermèdes musicaux au piano, interprétés par Michael Hrubý, musicien autrichien. Au PROgRAmmE Analyse De l'œUVreLes NyMpHéas BleUsDe ClaUDe monet
CORiNNE LAOuèS
dEmAiN 20h30 -Le 3 PIÈces À RoUen 1 FaUteUIl poUr 2 aU 3 PIÈces Comme à chaque fois lors des cafés-concerts jazz, le programme est riche et varié. Vous allez pouvoir dé-couvrir deux groupes complètement différents mais que la passion du jazz réunit. Michael Hrubý Trio :Michael Hrubý au piano, Albert Kreuzer à la basse et Klaus Zalud aux percussions. Ce trio autrichien alterne les standards de Charlie Par-ker, Antonio Carlos Jobim ou Miles Davis ainsi que les compositions de son dernier album « My Music ». Parax Band :ce groupe de cinq musiciens lituaniens joue sur de nombreuses scènes jazz, parmi les plus re-nommées de la capitale. Des compositions originales et un jazz qui mélange contemporain, traditionnel et funk.
PARAx bANd
miChAELhRubý TRiO
20h30 -Espace AraGon À OIssel Y'a coMMe Un HIc poUr le capItaIne TIc !! De l’amour, du drame, des rebondissements et un cocu… pas de doute,Les vivacités du Capitaine Ticest bien un Vaudeville. Mais attention, il peut révéler bien des surprises. Cette pièce méconnue d’Eugène Labiche gagne pourtant à être vue.
Peut-on imaginer un Vaudeville sans porte qui claque ? Oui, si sur scène, il n’y en a pas. Cela peut paraître surprenant et pour-tant… Grâce à une astucieuse mise en scène de Frédéric Viau, on peut voir derrière les murs transparents du décor, en ombres chinoises, les protagonistes et ainsi suivre leurs coups bas dans les couloirs. Et les magouilles, les rebondisse-ments, les duels, les gifles… il y en a pléthore. Il faut dire que le Capitaine Tic, per-sonnage principal de la pièce, est un sanguin. Démissionnaire de l’armée, de retour de Chine, il revient s’instal-ler dans sa famille chez sa tante. C’est là qu’il retrouve sa cousine Lucile,
perdue de vue depuis plus de dix ans. Le coup de foudre est immédiat. Leur romance pourrait être parfaite mais malheureusement, il y a un hic pour le Capitaine Tic : Lucile est promise à un autre, un austère sta-tisticien. Voici la trame burlesque de cette pièce qui dépeint parfaitement les mœurs de la société bourgeoise e du XIXsiècle. Écrites par Eugène Labiche, célèbre auteur du théâtre comique,Les vivaci-tés du Capitaine Ticest sa pièce la plus méconnue. Montée en 1862, juste un an après son écriture, elle est tom-bée très vite dans l’oubli. Moins mis en avant queLe Voyage de Monsieur Perrichon(1860) etLa Cagnotte(1864), ce vaudeville met pourtant habile-
ment en évidence les conformismes et les aspects ridicules propres aux bourgeois. Heureusement, la Compagnie Parciparlà a eu la bonne idée d’ex-humerLes vivacités du Capitaine Tic. Tout y est, même, chose plus rare, de nombreux intermèdes chantés. Le style est vif, enjoué, en costumes d’époque. David Dos Santos joue un truculent Capitaine Tic, Laetitia Richard et Angélique Fridblatt sont parfaites en bourgeoises soumises et Charles Lelaure est savoureux en secrétaire de la société de statistique de Vierzon. L’amour aura-t-il le dernier mot ? Vous le saurez en allant voirLes vivacités du Capitaine Tic!
20h30 -ÉGlIse SaInthIlaIre De RoUen OrcHestre en cHeF L’Orchestre Symphonique du Conservatoire Royal de Liège vous fait redécouvrir la période impressionniste en musique. Une période riche, moderne et audacieuse.
S’il y a un ensemble qui connaît parfaitement la définition du mot fidélité, c’est bien l’Orchestre Symphonique du Conservatoire Royal de Liège. Fidèle, car cela fait déjà cinq ans que cette formation se produit aux Transeuropéennes et l’histoire d’amour se prolonge e encore pour cette 11édition. Emmené par Patrick Baton, le directeur artistique, l’Orchestre Symphonique fait un très beau cadeau
au public des Transeuropéennes, en jouant parfaitement le jeu de la thé-matique de cette année : l’Impres-sionnisme. Au programme :Gymnopédies 1 d’Érik Satie et surtoutParade, le ballet surréaliste créé par Cocteau, sur une musique du compositeur né à Honfleur. Un ovni musical où des sirènes, des cliquetis de machines à écrire et des coups de sifflets ponctuent la mélodie.
Jouée pour la première fois à Paris au théâtre du Châtelet le 18 mai 1917, Parade déchaîneles critiques. Qualifié « d’outrageant pour le goût français », ce ballet marque pourtant un tournant pour son avant-gardisme. Enfin, l’Orchestre Symphonique du Conservatoire Royal de Liège pro-pose une création originale d’une jeune compositrice du conserva-toire, Gaëlle Yerneaux, inspirée de l’univers de Satie.
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