Les secrets érotiques de la garrigue
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LES COUREURS ou LES SECRETS EROTIQUES DE LA GARRIGUE RiRi de Nîmes RESUME : Malgré un aspect austère, aride, la garrigue est accueillante quand on sait la découvrir. Sa chaleur peut vous mettre dans tous vos états. Vous y enfoncer peut vous faire perdre la tête. Si la garrigue pouvait parler, elle raconterait ce qu'il s'y passe !... Un jour où une bise soufflait, je l'ai écouté. Elle m'a confié quelques secrets, quelques histoires de tous ces gens qui la parcourent et qui s'y cachent. Les secrets érotiques de la garrigue, c'est la confirmation que les joggeurs sont aussi des coureurs... - Rien ne sert de courir - Son souffle court raisonne dans ses tempes. La température de son corps est montée rapidement mais il continue son effort. Il a commencé trop vite, il faut qu'il se préserve sinon il ne tiendra pas la distance. Le regard qu'elle lui a lancé, indique que sa défaillance est visible. Pourquoi faut-il toujours se mettre en compétition ? Surtout que là ce n'est pas ce qui est recherché ! Mais son petit coup d'œil en a dit long sur l'état de fraîcheur de cette fille. Pour se motiver, il fixe son cul. Un cul bien rond comme il les aime ! Les fesses flanquées de fossettes sont du meilleur effet et sursautent en rythme. La cambrure, juste marquée, met en valeur tout aussi bien son dos finement musclé. Elle semble inépuisable. Il la regarde bouger avec légèreté, un tantinet féline...

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Publié le 12 juillet 2013
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Langue Français

Extrait

 
 
 LES COUREURS
ou LES SECRETS EROTIQUES DE LA GARRIGUE
RiRi de Nîmes
Ma nu érgla tcepsaradi,el suèter ,ue est aa garrig etnnauqeuccallid 
RESUME : on sait la découvrir. Sa chaleur peut vous mettre dans tous vos états. Vous y enfoncer peut vous faire perdre la tête. Si la garrigue pouvait parler, elle raconterait ce qu'il s'y passe !... Un jour où une bise soufflait, je l'ai écouté. Elle m'a confié quelques secrets, quelques histoires de tous ces gens qui la parcourent et qui s'y cachent. Les secrets érotiques de la garrigue, c'est la confirmation que les joggeurs sont aussi des coureurs...
- Rien ne sert de courir -
  Son souffle court raisonne dans ses tempes. La température de son corps est montée rapidement mais il continue son effort. Il a commencé trop vite, il faut qu'il se préserve sinon il ne tiendra pas la distance. Le regard qu'elle lui a lancé, indique que sa défaillance est visible. Pourquoi faut-il toujours se mettre en compétition ? Surtout que là ce n'est pas ce qui est recherché ! Mais son petit coup d'œil en a dit long sur l'état de fraîcheur de cette fille. Pour se motiver, il fixe son cul. Un cul bien rond comme il les aime ! Les fesses flanquées de fossettes sont du meilleur effet et sursautent en rythme. La cambrure, juste marquée, met en valeur tout aussi bien son dos finement musclé. Elle semble inépuisable. Il la regarde bouger avec légèreté, un tantinet féline... Cela produit son effet car il accélère la cadence, tant pis pour son rythme cardiaque. Il se mets à son diapason. Trouver une harmonie lui procurerait plus de plaisir. Sait-elle tout l'effet qu'elle lui procure ? Ses jambes fuselées raffermissent son cul à chaque mouvement. Elle monte, elle monte, Il la sent s'éloigner... "Non, ne part pas sans moi !!" Elle ne l'entend pas. Forcément il n'a rien dit, concentré qu'il est sur ses efforts pour partir avec elle. Avec force il plisse les yeux dans une grimace. Il revoit le balancement de ses seins aux pointes dressées sous son débardeur moulant avant qu'elle ne se place devant lui pour lui offrir son cul. La queue de cheval, qui fouette son cou et ses épaules, est d'une sensualité rare. "Pourquoi ne m'a-t-elle pas parlé à cet instant ? Pour m'encourager, pour m'informer de son état ! Quelle frustrante indifférence !" Pense-t-il. Il se sent rouge d'efforts. La sueur ruisselle de ses cheveux jusqu'à ses pieds en passant par la raie de ses fesses. "Et pour elle, est-ce pareil ? Pourquoi ne pas suivre une de ses gouttes de sueur de ma langue, l'insérer de le sillon de ses fesses, puis la récupérer sur son sexe. Parce que je suis haletant et que m'emprisonner entre ses cuisses signerait mon arrêt de mort !" Ses yeux se sont ouverts et du même coup embués de sueur. Il ne la distingue plus que derrière ce voile humide qui lui pique les yeux. D'un revers de main il cherche à l'évacuer et ne fait que l'écraser, voire en ajouter. C'est horrible, brûlant, mais il ne veut pas s'arrêter car il la sent partir. Il augmente son rythme tout en fronçant de nouveau. La sueur repartira peut-être comme elle est venue. Ses cuisses durcissent, son souffle devient court. Quand il rouvre les yeux c'est fini ! La joggeuse est loin et il explose, cassé en deux à la recherche de son souffle. Il les a perdus tous les deux, mais il a vaincu la côte abrupte. On se console comme on peut ! Le bas de son tee-shirt lui sert à s'éponger, surtout les yeux qui le piquent terriblement. Il trouve un angle plus sec et arrive à les soulager. Il s'accroupit à l'ombre d'un arbre pour profiter d'un peu de fraîcheur. Il récupère en se repassant les images de cette joggeuse sexy, parée d'un short moulant qui entrait entre ses fesses. Elle l'avait monter trop haut et il devait du même coup lui serrer l'entre-jambe. Même son débardeur était court et moulant !
"Elle a dû rater le lavage" sourit-il. Voilà qu'il en bande dis donc ! Un regard à droite et à gauche et il sort son sexe gonflé, remplit des soubresauts de son rythme cardiaque. Les couilles resserrées lui donne une dimension démesurée. Il le secoue pour faire tomber les boules au fond du sac, augmentant du même coup son excitation. Il s'assoie, adossé à l'arbre, en repliant ses jambes pour cacher son bambou flexible. L'air plus frais lui fait du bien et fait tomber sa température et du même coup sa raideur. Il joue avec lui en le faisant rebondir dans sa main comme pour le soupeser. Il regarde de nouveau le sentier, on ne sait jamais. Sa position stratégique domine la garrigue. Il se rassure en pensant ne pas voir quelqu'un arriver à cette heure-ci, sauf peut-être sa joggeuse qui reviendrait ! Rien que cette idée dresse de nouveau son roseau. Il s'emploie à le câliner, à l'étirer, à dégager le gland doucement en poussant jusqu'à ses bourses. Sa queue est dure, le gland rosé et gonflé tend sa fine peau luisante. Sa forme de casque prussien lui donne fière allure, mais son poids tend à entrainer la hampe. Soutenue par deux belles boules, l'ensemble reste harmonieux et il s'applique à pratiquer régulièrement une coupe rase des poils pour dégager la bandaison. Son va-et-vient s'accélère et il laisse tomber ses genoux sur chaque côté, ce qui déploie d'avantage son sexe rigide. Il ne peut s 'empêcher de jeter un œil sur le sentier, sans savoir si c'est de l'inquiétude ou l'espoir de la voir revenir. Rien. Il reprend de plus belle une masturbation qui n'était d'ailleurs pas arrêtée. Les images reviennent... "Que c'est bon de sentir ma raideur dans ma paume." Il imagine qu'elle le surprend de la sorte et sans mot dire, éjecte son short et colle son sexe humide sur sa bouche. Elle frotte ses lèvres avec force jusqu'à ce qu'elles soient entrouvertes, puis lui offre son clito à la succion. Il sursaute en entendant un bruit de feuilles et de branches écrasées. Il se redresse d'un bond en restant coller à l'arbre et enferme hâtivement son sexe dans son cuissard. Loin de le ramollir, la compression l'érige dans une érection redoublée presque douloureuse. "Me voilà bien avec cet étendard en travers du ventre" , pense-t-il en inspectant les alentours. Rien. Il tend l'oreille. Un frisson lui parcourt le corps. La peur ou la fraicheur sur son corps transpirant ? Il écoute encore en balayant une nouvelle fois les alentours. Les bruits venaient d'en face, il en est sûr. Un sanglier ? La garrigue c'est sympa mais c'est dense et la vision est limitée surtout à cet endroit. Il pense que la joggeuse ne s'amuserait pas à le mater ! Mais après tout ! Sait-on jamais. Le sanglier est plus probable. C'est incroyable, son érection ne diminue pas. L'image d'un sanglier le chargeant n'évacue pas celle de la joggeuse voyeuse. Sans doute parce que les bruits se sont arrêtés. "Le sanglier ne jouerait pas à cache-cache, enfin je crois !"   Il avance prudemment : - Va bien falloir que je bouge de toutes les façons dit-il tout haut. Cherche-t-il à se rassurer ? Il pénètre dans le maquis là où d'autres seraient partis en courant, mais il faut admettre qu'en état de stress, on a quelques fois des actes opposés à ce que l'on ferait en temps normal. Il progresse doucement, de chênes verts en chênes verts, s'en servant chaque fois comme de bâtons. Pas plus de sanglier que de joggeuse ! Et son
érection ne perd rien de sa vigueur, à tel point qu'il se demande s'il ne va pas se faire jouir ici de manière expéditive. Un nouveau craquement ! Il ne vois rien pourtant cela venait bien de là-bas, c'est sur ! Ca y est, sa curiosité le taraude, il reprend son cheminement silencieux. Il entend des chuchotements... non... des gémissements... les deux peut-être ! Il est un peu loin sans doute, il se rapproche. Y'a un mec !! Il l'aperçoit de profil ! Appuyé d'une main sur un gros chêne, il... il pisse ?! Il ne voit pas bien... Pris d'un doute ou plutôt d'une intuition, il se déplace discrètement... "Oh putain, il se fait sucer !!" Pour enfoncer sa queue, le type tire sur la tête avec son autre main et l'enfouit sous son ventre. Il aperçoit à peine la suceuse, cachée qu'elle est un peu par l'arbre un peu par la chemise ouverte du lascar. Il immobilise la tête et pénètre la bouche à grand coup de reins. Son activité contamine le voyeur et sa tumescence qui diminuait, réapparait de plus belle. Il saisit sa verge bien décidé à profiter de cette opportunité pour expédier sa jouissance. Le sucer part en arrière sous le savoir-faire de la suceuse. Le pantalon sur les chevilles l'entrave et il manque de s'effondrer dans l'humus. Sa chemise grande ouverte dégage un ventre proéminant que sa grosse queue dépasse pourtant facilement. "Mais c'est un mec !?! C'est un mec qui le suce !" Ce constat fait lâcher la queue au branleur qui ne tombe pas ! Qui aurait dit qu'un jour il se masturberait en regardant un homme en sucer un autre ? Le suceur n'abandonne pas et accompagne le mouvement. Il s'applique à pomper généreusement, glisse une main entre les cuisses du ventripotent et l'enfonce dans le creux de ses fesses. La queue du voyeur tressaute d'impatience et il est obligé de lui administrer les dernières secousses qui libéreront le liquide sous pression. Ce duo lui procure une excitation coupable et la vue de la tête qui s'enfonce à folle allure sur le membre gonflé, fait jaillir son sperme d'une longue giclée épaisse en se cambrant de plaisir. Trois, peut-être quatre contractions achèvent d'évacuer sa semence sous le regard du ventru. Sa bruyante jouissance l'a alerté sans le déconcentrer. Pire, ne l'aurait-il pas excité à son tour ?! Le bedonnant saisit le menton du suceur d'une main puis se branle de l'autre pour lui jouir dans la bouche. Le coureur s'éclipse pour les laisser finir et par gêne aussi. Il ne tient pas à être là quand ils vont être repus. Retrouvant le chemin, il se débarrasse de quelques feuilles et autres ronces agrippées à ses vêtements. Il s'aperçois alors de l'auréole sur son cuissard que sa queue lui a légué avant de ramollir. Sur le chemin, un couple d'anciens vient à sa rencontre. "M'ont-ils vu sortir du taillis ?" Il se sent incapable de courir, ses jambes sont aussi molles que ses couilles sont vides. "Ils vont croire que je suis aller pisser, oui ils vont croire ça !" Il avance, les mains sur les hanches, feignant la fatigue, à la recherche d'un second souffle. - Bonsoir, lance-t-il. - Bonsoir Monsieur, chantent en cœur les retraités souriants. "Et tu crois que je n'ai pas vu où tu as posé tes yeux, mamie ?!" pense-t-il.
- Tel est pris -
 Une sensation de liberté l'enveloppe, du bien être, nullement dû à la course par elle-même, simplement au fait d'être là, seule en pleine nature, sans personne à qui plaire. C'est un peu comme certains dimanches quand elle se vautre dans son canapé sans s'être lavée, affublée d'un horrible tee-shirt arrivant au ras des fesses. Et encore l'hiver c'est un vieux jogging élimé, mais si chaud et douillet. Cette pensée la fait sourire. Le soleil tape encore fort malgré l'heure avancée. La garrigue renvoie la chaleur accumulée et juste un filet d'air frais se fait sentir sporadiquement. "Cet ensemble commence à être un peu serré, je n'ai pas grossi pourtant ! Je suis tellement bien dedans. Il faudrait que je me retrouve le même. Peut-être dans une autre couleur !" Elle n'ose se l'avouer, mais son short serré lui procure de bonnes sensation s. Il lui comprime le sexe et pénètre la raie de ses fesses. Chaque foulée tire un peu sur son entre-jambe, introduisant entre ses lèvres le tissus souple déjà humide. Et la côte à gravir bientôt n'en sera que meilleure. Elle lèvera les genoux plus haut, offrant à chaque enjambée son sexe à ce frottement incendiaire. Si elle ne porte pas de culotte, c'est pour obtenir un contact maximum. Ressentir jusqu'à la couture du fond, là où elle forme un bourlet. Elle n'avouera jamais que lors d'une course son excitation était-elle, qu'elle s'est arrêtée et s'est masturbée à l'écart du chemin. La honte avec laquelle elle était repartie n'avait d'égale que la peur qu'on la surprenne. Depuis, elle repensait souvent à cette jouissance impétueuse, au plaisir violent qu'elle avait pris. Elle voulait retrouver ce frisson divin mais n'osait recommencer. Elle aurait aimé que Sébastien l'emmène dans la garrigue pour lui faire l'amour . Non ! Pour la prendre sauvagement, sans préliminaire, presque violemment. Elle imagine qu'un homme les regarderait dans ses ébats. Peut-être se masturberait-il à la voir jouir sous les coups de butoir ? Elle se sent moite, rouge, chaude... "C'est dû à la course"  s'imagine-t-elle. Elle refuse l'excitation qui pointe son nez. "Concentre-toi sur la course ma grande. Cela fait plus de quinze jours que Seb ne t'a pas appelé, il est passé à autre chose." Elle se sert de la course comme d'un alibi, l'effort comme d'un exutoire, pour évacuer le désir qui lui mange le ventre. Elle ne sait plus quoi faire pour arrêter de penser à cette volupté insatisfaite. De l'action, toujours de l'action, pour éviter de succomber à n'importe quelle force sibylline. Elle a imaginé tant de scénarios pouvant assouvir son besoin. Des idées infâmes qui lui filent la frousse rien que d'y avoir pensé ! Alors elle court, rageuse, fougueuse. "De toutes les façons, ce n'était pas un si bon coup que ça ! Les premières fois, comme tous ! Mais il est vite devenu ennuyeux, prévisible. Pire depuis peu il se suffisait d'une pipe Monsieur. Avachi dans MON canapé, sa queue dans MA bouche, et moi, comme une conne, qui lui bouffe SON sperme !!" Elle accélère la foulée sous l'énervement. Elle oublie le plaisir qu'elle y avait pris en se masturbant vulgairement toutes jambes écartées, engloutissant avec violence la bite gonflée, jusqu'à l'éjaculation qu'elle laissa, pour moitié, se répandre sur son corps dénudé.
Elle oublie qu'elle s'est jeté sur ses couilles à pleine bouche en étalant le sperme sur son sexe inondé. Elle oublie qu'elle était prête à lécher la fente des fesses, à intro duire sa langue dans le trou sombre. Elle oublie qu'elle l'aurait fait si cet abruti ne s'était levé pour allé boire un coup. Elle se souvient seulement de la gêne qu'il lui a fait ressentir d'être vautrée de la sorte au milieu du salon. Elle se souvient seulement qu'elle a foncé rouge de honte dans la salle de bain. Elle se souvient seulement qu'il lui a crié : - Je prends la dernière bière, Tout juste s'il n'a pas terminé par "Faudra penser à en reprendre" ! D'abord heureuse que ce fût vraiment sa dernière bière, elle n'avouera pas que, le temps passant, elle prendrait bien un peu de plaisir avec ce membre qu'elle appréciait... Elle n'a pas vu le temps passé, voilà qu'elle aborde la côte. "Ralentis l'allure, tu vas exploser !" Surtout que la pente est raide, caillouteuse, avec quelques bosses qui cassent les pattes. "Le pauvre, il a l'air de peiner"  pense-t-elle en apercevant un coureur au milieu de son ascension. "Faudrait pas qu'il fasse une attaque au moment où je passe" sourit-elle. La différence de style est nette : elle, souple et légère, lui, à la peine et tout en force. Le gabarit n'est pas le même non plus, le gars est d'une silhouette plutôt massive, sans être gros il est un peu enrobé. Même si elle aurait gagné à avoir quelques centimètres de plus, son corps harmonieux, fin et proportionné le fait vite oublier. Inexorablement, elle grignote l'espace qui les sépare. Elle le dépasse tranquillement , lui jette un rapide coup d'œil pour vérifier son état.  "Oh, il est mignon ! Le pauvre a vraiment l'air de peiner. Je vais me glisser devant lui, peut-être cela l'aidera ! Allez mon gars accroche-toi !!" Il lui semble que la foulée du jeune homme en détresse se soit modifiée. Elle le sens sur ses talons. Elle entend ses pas lourds dans la rocaille, son souffle s'amplifier. "Oui c'est ça accroche-toi" Tel une dépanneuse, elle le remorque, le hisse jusqu'en haut de la côte d'une corde invisible. Emportée par la mission qu'elle s'est assignée, elle ne s'aperçoit pas qu'elle le lâche graduellement, fatalement. Quand elle réalise, il est trop tard. Un coup d' œil en arrière, il lui apparaît cassé en deux, puis elle disparaît dans le virage. "Il n'a pas tenu longtemps, il était vraiment mal en point ! le pauvre, je lui ai fait peut-être plus de mal que de bien ?!" Comme une révélation, il lui apparaît qu'elle vient peut-être de laisser passer une occasion de rencontre. Il était plutôt mignon et bien battu. "Il n'a même pas fait attention à toi, ma fille ! Tu te trouves attirante dégoulinante de sueur ? Et puis bonjour le parfum ! C'est pas du shalimar ! Et cette queue de cheval ridicule qui te donne l'air d'une petite fille ! Comme première rencontre, on ne peut pas rêver mieux !!" Puis elle commence à culpabiliser. Il a voulu la suivre et ça la tuer ! Il paraissait vraiment lessivé. Elle se retourne tout en courant. Personne.
"C'est dingue ! Pas possible, il a abandonné ! Voilà je l'ai découragé ! T'étonne pas après que les mecs te fuient !!" Elle se retourne de nouveau. Toujours rien et pourtant elle a une belle ligne droite jusqu'au virage. "Et si je retournais voir ? Après tout je suis libre de faire demi-tour, je ne vais pas courir toute la nuit !! " Après plusieurs pas d'hésitation, elle se dit que c'est maintenant car plus le temps passe moins elle le fera. Elle vire d'une longue boucle en trottinant, puis quand elle finit son demi -tour, elle continue sur place. "Des fois qu'il apparaisse" !! Elle s'élance de sa foulée habituelle : "Allez ma fille, faut savoir ce qu'on veut ! Il a du faire demi-tour aussi et profiter de la descente pour se refaire une santé. Mais je vais te rattraper mon p'tit gars !" Et elle accélère, motivée. A l'abord du virage, elle lève le pied prudemment. "On sait jamais, imagine qu'il soit étendu sur le sol ! Que tu sois obligée de lui faire du bouche à bouche !!"  Elle en pouffe de rire presque que bruyamment ! "Hou, le voilà !!" A la sortie du virage, elle l'aperçois entrer dans la garrigue. Elle ralentit incrédule. "Mais qu'est-ce qu'il fout ?? Déjà il tient sur ses jambes ! M'enfin, il est bizarre !" Elle trottine les yeux aimantés sur l'endroit où il a disparu. Quand elle arrive à la hauteur, elle s'approche, c'est plus fort qu'elle ! "Qu'est-ce que je fais ? Mais t'es un peu folle..." A peine s'entend-elle penser cela qu'elle est déjà entrée. Elle n'avait pas senti la sueur couler sur corps jusque là, mais d'un coup elle se sent moite... De la peur ? Elle n'avouera pas que son excitation prend le dessus alors elle accepte l'idée de la peur. Elle progresse doucement, aperçois une ombre, écoute, puis calque ses pas au rythme des bruits. Enfin elle le voit, de dos. "Qu'est-ce qu'il fait ? Il mate quelqu'un ?? Elle est bonne celle-là !" sourit-elle. Elle avance en s'écartant pour ne pas arriver droit dessus. Elle veut voir aussi ce qu'il regarde quand même ! "Mais qu'est-ce que c'est que ce mec ? " Elle découvre un autre homme en chemise à grands carreaux et de suite elle aperçois le froc sur les chevilles. "Ben ? C'est quoi ce truc ?" Elle en oublie le joggeur et se concentre intriguée sur l'homme qui s'agite. "Mais j'y crois pas, il se fait sucer ?? C'est pas croyable !!" Bien qu'aux premières loges, elle ne distingue pas la suceuse, cachée qu'elle est par la ma sse imposante du sucé. A grand coup de reins il s'enfonce dans l'orifice accueillant.
"Qu'est-ce qu'elle prend, dis donc, c'est un peu limite, elle est bien consentante quand même ?" Aucune manifestation apparente. Elle est rassurée. Elle se dégage de cette scène subjuguante avec peine pour retrouver son coureur. "Oh ben d'accord ! faut pas se gêner !" En le voyant se masturber, la surprise laisse place à l'excitation. "Humm, bien monté le gars ! J'aimerai bien la sentir naviguer en moi !" Machinalement, elle porte sa main sur son sexe. Le short est trempé, mélange de sueur et de sécrétions vaginales. Par l'entre-jambe, elle l'écarte sur le côté pour s'administrer une caresse plus précise. Au contact de sa main, les lèvres s'ouvrent et lui provoque un surs aut de plaisir. Un bruit ! Elle s'accroupit sans réfléchir. C'est l'homme à la chemise à carreaux qui manque de s'écrouler en partant à la renverse. "La suceuse est déchainée dis donc ! " Elle retourne sur le coureur, qui lui aussi surpris, a lâché sa queue. "Hummm ! Qu'elle est belle, bien tendue ! Ca t'excite mon salaud" Elle laisse aller ses genoux à terre. Son short se tend et lui pénètre la vulve. "Oh c'est bon !" Elle glisse sa main par le haut du short à la recherche de son clito. Le joggeur reprend sa branlette de plus belle alors qu'une main est apparue entre les fesses du sucé. Elle ne sait plus où donner des yeux, elle se mord la bouche pour ne pas geindre, sa main astique vivement sa chatte en feu. La pointe de ses seins durcissent douloureusement. Le coureur tressaute de plaisir et son foutre gicle en longues saccades. "Oui vas-y jouis moi dessus !" Son corps est pris de tremblements, de frissons, de convulsions, de secousses diverses et variées, son visage se crispe, sa mâchoire se bloque, elle jouit, elle jouit, elle jouit, comme depuis longtemps cela ne lui était pas arrivé. Un liquide chaud lui remplit la main, coule sur l'intérieur de ses cuisses... "Mon dieu que c'est bon !" Elle retombe assise sur les talons. Elle voit le coureur repartir avec prudence. "Il est trop mi-mi !" pense-t-elle. "Nom de dieu..."  Elle démasque la confusion. Le costaud saisit par le menton un... mec ! "Pas croyable, ben ça alors, c'est bien la première fois que je vois ça !!" Elle avait déjà imaginé comment des homos devaient faire, mais de voir là, un mec en sucer un autre... Elle en parlait quelque fois avec des copines. Elles partageaient la même curiosité. Et là elle le vit, en direct ! A sa grande surprise, elle se sent de nouveau excitée, le type qui en tenant le menton se branle, ça lui fait de l'effet. Elle ne différencie pas si son excitation est due à sa position de voyeuse ou à la scène réellement. Peut-être les deux ! Pourtant Il n'est pas beau, enfin, il est surtout pas jeune, et puis se ventre !
"Il m'excite quand même le salaud !" Il lâche le foutre sur le visage de cet homme plus jeune, plus mince. Si la première giclée est apparente, les autres sont absorbées par la bouche gourmande. Bien que l'envie d'une nouvelle masturbation se pointe, elle décide de s'éclipser en se demandant si elle devait rejoindre le coureur. "Comment le prendrait-il, si je lui montre ou dit que je l'ai vu se masturber, en regardant des mecs en plus ?! Oui d'ailleurs, c'est bizarre que cela l'ait excité ?" Perdu dans ces interrogations, elle ressort de la garrigue alors qu'il démarre juste en marchant. "Mince ! Il ne paraît pas décider à courir ! Houla, et le couple de p'tits vieux qui arrive !! Han, j'espère qu'il ne vont pas croire qu'on était tous deux ensemble dans la garrigue !! Holala et mon short est tout trempé" s'aperçoit-elle en scrutant son entre-jambe. Et la voilà de nouveau accroupie, faisant mine de relacer ses baskets. Elle change de pied en s'impatientant. "Bon alors ils activent un peu !" - Bonsoir Madame, font-ils enfin à sa hauteur. -Bonsoir messieurs dames, répond-elle, en se dressant d'un bond pour démarrer aussi spontanément. "A nous deux mon petit coquin !"
- La raison du plus fort - 
  C'est déjà très excité que Thierry débarque dans la garrigue. Il vient de visiter une cliente qui l'a énervé dans tous les sens du terme. Ce n'est pas ce qu'il préfère rencontrer un nouveau client, faire un devis, marchander... Mais cette fois la femme était plutôt gironde et accueillante. "Faut bien des avantages à être artisan" se dit-il ravi. Il avait mis la chemise et le jean propre, comme pour le banquier. Sinon habituellement c'était short treillis et tee-shirt pouilleux qu'il expédiait rapidement, surtout quand les beaux jours venaient. Il aimait être torse nu, montrer sa peau mate et sa puissance. Il était pourtant ventru et n'avait rien d'un chippendale. Mais il savait en imposer de sa gro sse voix rocailleuse et sa haute stature. Sur les chantiers c'est comme ça, si t'aboies pas sur les gars, ils n'avancent pas ! disait-il toujours. La femme l'avait bien allumé quand même. Après lui avoir expliqué son projet, il se retrouvait à terre pour prendre certaines côtes. Et bien la femme n'arrêtait pas d'aller et venir dans sa robe légère, un peu trop courte, un peu trop transparente. "La salope !" pestait-il intérieurement, "elle veut se faire culbuter ou quoi ?!"  Son braquemart gonflé dans le froc, il se chauffait tout seul à la voir tourbillonner de la sorte. "J'vais la casser en deux sur la table si elle continue ! En même temps si elle me tourne au tour comme ca quand je bosse, ça va me gonfler !" Il se relevait en deux temps sans savoir si c'était la gêne de son ventre dilaté ou de son sexe qui l'était tout autant. - Voilà ma p'tite dame... - Vous me trouvez si petite, le coupait-elle. Petite mais qui n'a pas peur des gros costauds, concluait-elle. Ho, faut pas lui parler comme ça au Thierry. S'en était suivi un échange de vannes contenues. Il ne voulait pas s'emporter, les affaires sont dures en ce moment et les clie nts ne courent pas les rues. Sa femme lui disait souvent de fermer sa gueule, parce qu'elle aussi en avait de la gouaille. Quelques fois, les séances étaient folkloriques à la maison, c'était à qui hurlait le plus. Il n'avait pas peur de lui lancer : - Tu vas prendre un gros coup bite tout à l'heure, tu gueuleras pour quéke chose ! Les enfants étaient habitués et ne faisaient même plus attention, même si cela les marquerait pour leur vie entière ! Et le fait est, Thierry lui fermait son clapet au lit, à coup de reins ! Et quand vraiment elle l'énervait trop, il la sodomisait, défonçait est plus le mot. Il adorait la prendre en levrette et plus elle refusait, plus ça lui plaisait. Le seul truc con : elle ne suce pas !  se disait-il souvent. Oh il avait essayé plus d'une fois, rien à faire ! Alors il abandonna de peur qu'elle lui morde... elle était capable ! Et cette cliente, houlala, c'était moins deux qu'il lui en mette un coup pour la calmer ! Il vient donc faire un tour dans la garrigue parce qu'il sait que dans ce coin y'a des mecs qui sucent. Une bouche c'est bouche, un cul c'est un cul, pensait-il. Et y'en a qui sont fort ! Mieux que les gonzesses ! Hey ils savent ce que c'est, ils en ont une entre les jambes !
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