Coluche, un film de François-Xavier Demaison
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Description

J’appelle les fainéants, les crasseux, les drogués, les alcooliques, les pédés, les femmes, les parasites, les jeunes, les vieux, les artistes, les taulards, les gouines, les apprentis, les Noirs, les piétons, les Arabes, les Français, les chevelus, les fous, les travestis, les anciens communistes, les abstentionnistes convaincus, tous ceux qui ne comptent pas pour les hommes politiques à voter pour moi, à s’inscrire dans leur mairie et à colporter la nouvelle.

Informations

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Publié le 27 février 2013
Nombre de lectures 122
Langue Français
Poids de l'ouvrage 1 Mo

Extrait

 v s pop o
COLCE C NDID U H T
J  ppe  e  es         s,  es  r sse  ,  es dro   s,  es    oo  q es,  es p d s,  es  e  es,  es p r s  es,  es je  es,  es v e  ,  es  r  s es,  es      rds,  es  o   es,  es  ppre   s,  es No rs,  es p   o s,  es  r  es,  es Fr     s,  es   eve  s,  es  o s,  es  r ves  s,  es     e s  o     s es,  es   s e   o -  s es  o v     s,  o s  e   q    e  o p- e   p s po r  es  o  es po    q es   vo er po r  o ,   s   s r re d  s  e r    r e e     o por er     o ve  e TOUS ENSEM LEPOUR LEUR FOUTRE  U CUL  VECCOLU HEC e eq p e r o e e r
Thomas Anargyroset Edouard de Vésinne présentent
François-Xavier Demaison
un film de Antoine de CaunesLÉaDrucker OLivierGOurmet LaurentBateau Jean-Pierre martins aLexanDreastier DenisPODaLyDÈssociètaire de la comédie française vaLeriecrOuzet serGeriaBOukine scénarioDiastÈmeetantOinedecaunesmusique originaleramOnPiPinchef opérateur thOmas harDmeier a.f.c cadreur BertOmontage christOPhe PineL casting michaëL LaGuensmontage son JÉrôme Wiciakingénieur du son thOmas Lascar upervision musicale vaLÉrie LinDOncostumes BernaDette strassmannet aGnÈs FaLquedécors aLain veissierassistant réalisateur PascaL saLaFaa.f.a.r directeur de productionPascaLBOnnet producteur exécutifFrÉDÉricBruneeLproductrice associée aLexia De BeauvOir librement inspiré de lœuvre de PhiLiPPe BOGGiO cOLuche paru aux éditions FLammariOn et de lœuvre de Jean-micheL vaGueLsy rOi De cœur histOire Dun mec POLitique paru aux éditions PLOnune coproduction ciPanGO - stuDiO 37et France 2 cinemaavec la participation de canaL+et cinecinemaavec la participation de la sOFica sGam ai cinema 1avec le soutien de la région iLe-De-Franceen partenariat avec Le centre natiOnaL De La cinÉmatOGraPhiewww.coluchelefilm.com
sommaireENtrEtIEN aNtOINEDE CauNES
ENtrEtIEN FraNçOIS-XaVIErDEMaISON
ENtrEtIEN EtDhOOEutaMraDSadeN aVrégSIYNrNOES
FILMOgraPhIESFDraEMOIS-XSaVOIEraI NLéaDruCkErCIPaNgOaNtOINEde CauNESLIStE artIStIQuELIStE tEChNIQuESoie le 15 ocobe 2008De : 143Distribution :Mars Distribution66, rue de Miromesnil - 75008 ParisTél. : 01 56 43 67 20Fax : 01 45 61 45 04Presse :Dominique Segall20, rue de la Trémoille - 75008 ParisTél. : 01 42 56 95 95Fax : 01 42 56 03 05Photos et dossier de pressetéléchargeablessur www.marsdistribution.com
SYNOPSISAutomne 1980.Voilà plus de deux ans que Coluche triomphe tous les soirs au Gymnase, et que ses histoirescirculent des cours de récré aux bancs des universités en passant par les usines, les cafés, lessalons ou les prisons. Comme un fil invisible qui se faufilerait à travers le fameux tissu social.L’ex-petite frappe de Montrouge fait rire un peu tout le monde, les opprimés de leursoppresseurs, et certains des oppresseurs d’eux-mêmes. On peut exploiter le pauvre monde etaimer rire.Après s’être fait virer de Radio Monte-Carlo pour crime, il est vrai assez tentant, de lèse-majesté,l’idée lui vient, soufflée par Romain Goupil, que, finalement, la seule tribune où personne nepourra le censurer, c’est celle du candidat aux élections à venir.Élections dont on attend beaucoup, le principe d’alternance, capital pour une démocratie,n’ayant pas été appliqué depuis vingt-trois ans que la droite est au pouvoir.Encouragé par sa bande, puis rapidement par le public, Coluche se lance dans cette folleentreprise, avec une inconscience proportionnelle à son sens de la liberté, sans se douter dece qui l’attend au tournant, si l’on peut dire.Durant les quelques mois que va durer cette aventure, il va se frotter non seulement à larealpolitik la plus abrupte, mais aussi et surtout à lui-même, ou plutôt à une part de lui-mêmedont il ne soupçonnait peut-être pas l’existence.Voilà une histoire qui va agir comme le révélateur d’une société, et d’un homme que l’on avaittrop vite fait de résumer à son rôle de bouffon.C’est donc, tout simplement, l’histoire d’un mec soudainement investi d’une mission sans l’avoirdemandé et dont le poids va manquer, de peu, l’écraser.L’histoire d’une métamorphose.
Une coproduction Cipango, Studio 37 et France2 CinémaAvec la participation de Canal+, Cinecinema et de la Sofica SGAM AI CINEMA 1 etle soutien de la Région Île-de-France en partenariat avec le CNC
UN FIlM DEANtOINEde CAUNES
DEMAISON
FRANçOIS-XAVIERDEMAISON
Tros argys anhoma erpisnneTTnsénedouaeT ee Vérd d
NuaCNaSENIOtEErENtENtIe  drdtae  jailnv i éti xuaafnE stndu rock. On sétia terrtuoév sua pesitcrpres Darnad segoed enu s chr sesues)oniqnup e  tul suep  éllxuedus ea sis detefêoi fà s iur euG  shczel  bien déazan (sirèimerp al ruop Je: C Ad ?isfoe s ècs ru iuvl ae. Jmnasu Gyne auo selc noansiisler de Coluche.Vov-zr suocneértn ?ezua Q lndveasnoçnemmrap rap Codaon mnte.ini qu, iné gnsia qisum all ud euolucm. Cvaithe atn éc ahr coedxutu so dimsRa, èscevasel sum eicins du groupe Oderu steR manoP piamuf liuq draténttaan vmen  eitd setisem rél serovede Pbes  hera notiave skl tsué unr nc eînhaei wuaot enietvrénorme pur dun  secm iatsp n e connnesons,ditini iaj tnememitlque qasue qunuxud ri euq ejiance ! Donc je pee ,ead td snob epp achroCoé chluière manuneue d,iq  ,ulnouniac meseeuoy jdes aireilauq ej euq rès poteétais tuAattnj c noun . njele ut at anorps,segeva eD c
D s e I s d op r s e se o p e e , q v ro er e q q e d s e ro je pr re Ro er Lo s r ve e o p de r e r e q re- vo o p e e e sser e de , re S eve so C r s e o , r e e ros es v der res es de o e dr r e, es e o- j eso q o e rq e d s e v e de Co e, d de G re s e des e o s Dep s e o e o , s o re, q o e sse sor r de o pfin. Je le lis avec intérêt, d’abord parce ques r o p de e, d de, po r o re de so , q o o vre es e res J d e r es e q d e , e p q e e s ser, de se pr se er ve ode r d re erje ro ve q s es d p o ss e e o s pr s de e es, j sq o eq po v d e er e de s e do , o re o e Ce q se p sse pe d esau final, je ne vois pas l’utilité. Je ne voisq e q es o s r s or pro o d -Pour filmer Coluche, il fallait l’acteurpas pourquoi passer par la fiction pour ra- e  ,            perdre de        re  , de    po r r er Co e e - o ro o er e s o re q e o o pe r e, de so e, o reFr o -X er De opr s o s, o r d perso e q e o r e E po r o v so -p s de o e d o re e po pro o dedain un film sur un homme confronté à ses dC v o , o s es re s r vpo r q o sse des e dre e s- o r d o s, r , s r e o e de ve D s e O d o o p e- p eJ v q e do e res s r o d po q e q es e e r so- e e pre er s r o e o re e rC e, je s s pe pr s o s r orsnance aujourd’hui et à ce moment-là, fina- s r e e p r ode , e se pos d -opourquoi moi spectateur irais-je voir un film e e , j d o prod e rs e e q es o q v jo er U es rJe d e do , d s q es o esse e e p sq e s s e r, pre er e ps M s e e e psil n’y avait pas de film. Sur certains projets, e e L d e se e er er e je pr e p re LES MORSURESo pe er, s p s I e e d s q q e q e ose re s rDE L U E, N po o MONSIEUR N e o d e p e d r er Co e, e e p r ode d p ss e des es 70e e o re rd re p s e r e s r o po r es 80 (q e je e p s eD S CCORD P RF IT, o o e o p sq e j s vo r so sj s es), e e o v e e Fr e    q      ,   e  o   e  ore,      per o    e o p so s es e pe d des o s s e, o Co e s e e o j e req or q e e e re Q e - ee des o s U jo r, o d re e r de s-d s rr re (r res) - s r e Co e q eq o re e e e , M e L e s, ve q j v s r -j d r , q e j e, e do p ro evaillé sur mon précédent film, m’a dit : «Va q e r e e e jo rd ors j dC J e es perso es p s r es vo r De so G Mo p r sseréfléchis et à un moment, bingo, je me dis : q e v e, o p e es, q voq es, ve - I jo dep s s o s, o e o s s es e s r L o re , e q pre e v e r s e o rdo er pe Je v s vo r e spe -q e q e ose r o er s r Co e, o orps e e e e e , p r - e de Fr o s-X v er, s s rop s vo r   es       rre o r de   oses q    e d p s-     re e   (r res)  E  de       e      re   q o       e dre - je  o    ss  s j s e 
p re e p r P r F re o p e jo rd po q s r re o p s pro r e Co e, r s  e o e r r e - o e odro e - e q v de e re d s spe de re s de espr de s r e U e r, o e o de de e r e e e r e d d es r es, de orde , d so ss o , ppe o e  o  pr s des   e -pe  s  s e  s  doeq   oe   po      eQ  e    d,     se s propre d   er e  o p ow ro dC   Ce    d     o e   e  r  e e    r    e e   d  po vo r, s  s       r  e r jo  ss     D     s  pr s M   68,    Fr   e  dr eo  o e r  q    e  por      os,   q  o   , d        r e  d  oo   e  seo     s e s Quand on vous propose de réaliser un film de    poq e       redeve  e d        e e  ppe  d   r  E      o  re  o s d r   e e F p-   or  r ee  r C o      o   e   e  e  e p r o e, q e  e e  d e pes s ors d s q e q e q s s es re ro v -ded d r -se o es res d s r e e de s D s pr sro    e, j     s pre e r  J     o jo rs      M   68,   s  v  e   e v e q e    se re e  e    dC      d p r   es prod   e rs, Edo  rd  e v s espr , e v s o , e r s o er po r de o I q e e, de V s e e T o s r ros, e oJ’étais un lecteur fidèle de Hara Kiri. Led e re o d e re Pro r e p sser e s r o q s o o d o e de ppe es po r o d s e e e- C es q e q e ose de er ree s r o de r J e e o p e e r E e es d e rs or e des p e C es d e d er o re erde, de re ro ver e r e do opr v pr s re RMC (e s rr d o o sq e e j v er 1980, Co ees re er pr s do e jo rs d e e )e de po vo r er o es es s sposs es M s o jo rs - o d so s e p sso ve - ve re rd, po de v e, o e re s r so , e e v e eso de dro e de pr s- erre E do v q e q e ose d e r s d s e ppeVo e r reAdC : C’était difficile d’y croire. Il n’y avaitp s o re de e d pro r eE  rev    e,  e q e s     d d   re provoq e,  es so e p Co e e r -ord re e pop re, o e s e re d p s
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