la non vérité de la pensée libre

Voba

Description

Bref texte psychanalytique écrit entièrement en écriture automatique

Sujets

• Philosophie morale
• Psychanalyse

Informations

• Publié par: voba
• Publié le: 14 mars 2023
• Nombre de lectures: 51
• Langue: Français

Extrait

LA NON VERITE DE LA PENSEE LIBRE

Il est vrai que tant qu'on se soumet à la loi magistrale la bonté s'estompe,pour ainsi dire,le véritable décors ou l'envers de l'ombre paraît obscure.

Pourtant il me semble que l'impénétrable oubli de la science est inexorable. Un problème sans résultat concret ne serait déterminé que par la tragédie.

Il faut croire en ses ressources propres et multiples afin d' appréhender l'autre dans son ensemble. Sa singularité nous revois à notre image obscure que je pense n'être que le véritable objet de la faute. Si je m'en remets au symbole du faussé le paradoxe semble vide mais l'interprétation inéluctable. Cependant la recherche oblige l'homme à paraître maître, chose auquel le doute ultime se singularise.

Ainsi la méprisante affection de l'humain pour son semblable me paraît trouble. La vertu et l'honneur semblent la merci des vices. C'est pour cela noblesse oblige, que la vérité du juste sombre dans les lacunes de l'oubli, ou se mélangent haine et fantaisie Il paraît inopportun de déplaire tant la force est grande, c'est pourquoi je pense que fort probablement la grandeur d'âme ne repose que sur sa juste vision qui repose sur le miroir de l'être, le pitoyable n'étant que la manière d'y remédier.

C'est ainsi la non victoire des valeurs de l'esprit sur la force manipulatrice qui semble être le fondement de notre société dépourvue d'humanité. En se croyant proche de ce qu'on nomme la vérité.

Libérer ses souhaits les plus troublants,il est vrai ,enfin je le suppose,que dans la pénombre brille l' étincelle. Ainsi il faudrait croire en cette clarté proche.

Penser savoir, la conviction nous emmenant vers l'étrangeté du vrai qui nous fait chanceler, mascarade de liberté, ce qui fait l'or de la pauvreté. Ainsi de pitié, la compassion étant réservée aux riches, je pleure.