Essais, non définitif, interaction non consciente des vies psychiques 14 novembre 2016

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• Publié par: chaussel21
• Publié le: 13 novembre 2016
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• Langue: Français

Extrait

Lundi 14 novembre 2016 Le texte tant ridiculisé et discrédité, clé USB et sauvegarde, il n'y a pas d'effet sans cause.

Titre : Transmission,Réceptivité et Interaction Mentale. (T.R.I.M plutôt que Psychique, en référence à vie psychique, pour éviter le jeu de mot TRIP, voyage en anglais)

1/Texte non officiel. (De 1985 à 2012, et années suivantes) Essai de formulation en amélioration du sens, garantie morale. Théorie, hypothèse, postulat, paradoxe, protocole, recherche fondamentale en sciences cognitives. Sigle T.R.I.M. À débattre au niveau des Droits Humains (Human Right).

2/ Ce texte est une garantie morale dans l'éventualité que ce qui suit fasse partie de la réalité. En considérant qu'il ait toujours existé une naturelle transmission" réceptivité et interactions" des contenus psychiques, en raisonnant dans l'absolu,pourquoi et comment préparer un communiqué officiel ? :

3/ Il faudrait optimiser un texte minimum et vocabulaire vérifiable qui stipulerait qu'il s'agirait bien d'une capacité réelle définie non réelle jusqu'à présent par les états et gouvernements actuels se basant sur la communauté scientifique. (sciences cognitives, budget de recherche et preuve scientifique par I.R.M fonctionnel non invasif).

4/ Qu'en fonction de la teneur et portée du sujet, cette information ne pourrait se faire que par le biais des services d'informations issus des états de chaque nation, région, département, municipalité (ou autres termes selon les pays) avec le concours des populations, préparation en coordination internationale quant aux difficultés de formulation et équivalences de traduction.

5/ Partie du texte qui préciserait qu'il n'y a pas de technologies en sciences exactes permettant de mettre en évidence cette "transmission, réceptivité et interaction psychique", qu'il n'est pas nécessaire d'attendre une évolution des dites sciences exactes pour aborder le sujet, qu'il s'agirait d'une exception qui confirme le principe que l'on ne doit se baser que sur ce qui est démontrable et indéniable.

6/ D'une part parce que la liberté de penser ; l'objectivité ; le libre arbitre ; l'autonomie ; etc., n'aurait jamais été garantie si cette capacité s'avérait réelle, aspect interactif non intentionnel, et d'autre part, garantie morale, l'on ne pourrait exclure qu'il y ait des applications à l'insu sans l'intention d'être décelé ou contre le gré, dans une période contemporaine où cela est encore défini non réel.

7/ Autre partie du texte qui préciserait que cette capacité étant inhibé par non information laïque, puisque définie non réelle, le sujet ne devrait être abordé qu'entre familiers de visu, de manière à n'induire que des associations d'idées de confiance, sans se censurer et sans rien refouler, en vrais réciprocité tant que ce n'est pas inscrit aux sciences humaines.

8/ De préciser que le but de ce communiqué serait de dissiper les craintes, les doutes et les ambiguïtés et non une incitation à s'y exercer ou à contraindre à se coordonner de pensée à pensée, si cela existe, tout en rappelant que l'usage des normes de communication laïques enseignées que sont la phonation et l'audition de visu ; l'écriture et la lecture ainsi que les documents audiovisuels y compris Internet qui abolit les distances, permettrait à chacun et chacune d'avoir une pensée intériorisée et autonome tout en bénéficiant consciemment des interactions, si cela était fondé (qui serait en partie l’origine de l'inspiration, à 300.000 kilomètres par seconde).

9/ Autre partie du texte qui préciserait, une fois inscrit aux sciences humaines, si cela s’avérait fondé, que les premières semaines, les premiers mois et les premières années comporteraient des réajustements au sein des nations et entre les peuples (populations) puisqu'il s’avérerait que bon nombre des difficultés sociales et des conflits seraient directement issus de cette "méconnaissance" en tant que "causalité première".

10/ Aucun texte officiel ne précise que cette capacité n'est pas réelle, il aurait pu être écrit : "Ce que nous percevons ce que nous pensons en nous même, ce qui s'y forme reste notre pensée personnelle qui n'est ni perçue, ni observée, ni dirigée, ni censurée". Il n'est pas fait mention non plus de coordination de pensée à pensée.

Il est des sujets ou l’auteur doit laisser place au texte, c’est le cas de ce document.

Modifier le Samedi 10 Novembre 2012, le 04 novembre 2016, le 13 novembre 2016